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demain

  • Aprés débat 64.

    Ainsi donc encore une fois, notre pays sort divisé de cette épreuve.

    Bien sur chacun prétend avoir gagné, moi je  (parfois je m’engage) trouve que les restes de cette grande bouffe, parfaitement indigeste.

    Vainqueur, vaincu, que l’affaire soit jouée, ou qu’une surprise de dernière minute…Et alors après guignol, le peuple voudra du concret.

    Conciliabules et invectives, ce n’est pas ça qui stoppera le chômage demain.

    Néanmoins demain, il faudra retourner au boulot, demain il faudra continuer d’acheter son beefsteak, le lait du petit, et le pain.

    Demain les banques continueront d’imposer leurs agios et autres intérêts.

    Demain, pour certain le café aura un goût plus amère, ou, trop ou pas sucré.

    Demain, chefs ou collègues voudront que le travail soit fini avant que d’avoir même été commencé.

    Demain les gosses râleront car ils ne veulent toujours pas manger des haricots vert.

    Demain il faudra faire réparer la chaudière qui est tombé en panne, ou le lave vaisselle ; bref, les ennuis continuent.

    Demain ne pas oublier qu’il faut emmener le chien chez le véto, eh oui ça fait déjà un an, et il faut aussi le vacciner.

    Demain il faudra faire bonne figure et sourire aux vannes des collègues.

    « tiens tu as mis une chemise rose aujourd’hui, pourquoi ?; Oui pourquoi, » même vous ne savez pas, comme ca parce que à cinq heure du mat dans le noir, j’ai pris la première sur la pile.

     

    Enfin  après demain sera le week-end, enfin !, juste un peu moins de stress….

    Bon alors à demain.

  • Suite 58 : Dis Papa, comment on reconnaït un chef ?...

    Le ciel semblait avoir fini sa grande lessive, quelques gouttes tombaient encore d’un nuage mal essoré.

    La terre se lave de nos ignominies. Elle balais nos relents se débarrasse de ces effluves, elle se nettoie de vos turpitudes. Elle tient à retrouver son côté midinette, a moins que jeunes soubrette elle accède à vos attentes. Aspire à vous donner le meilleur d’elle-même. Ces caprices mesurent vos souillures.

    Et vous être doué de pensées d’où jaillit la réflexion, vous, dit civilisé, éduqué, aujourd’hui vos querelles intestines, vos minables escarmouches, il vous faut salir, gâcher, vous prétendez que les crottes de nos chiens défigurent votre superbe agencement, ces espaces parfois plantés net comme tiré au cordeau, pas un plant ne dépasse et vos OGM, ou engrais, pesticides débarrasseront les herbes folles, à moins qu’elles ne soient mauvaises, en tout cas disgracieuse.

    Pas une feuille ne doit dépasser, vos vigiles pro-nature surveillent, coupent, taillent, nivelle, calibre.

    L’homme se veut, ordonné, fier puissant, il régente.

    Dame nature à ses règles lesquelles se laissent aller, des arbres semés par le vent prospèrent et croissent, insolites ils égaient nos campagnes, nos forêts. La fleure du pissenlit viendra rompre la monotonie des pelouses. Les trèfles aussi sortiront  du lot, faisant un tapis de ces millions de brins.

    L’individu parfois pousse aussi de travers, voilà qui fait alors ces petits délinquants, à moins que plus grave, quelques tares les sortent des réseaux, de ces têtes biens pleines ; bien faites, et superbement éduqués, deviennent violeur, escrocs.

    Nous ne sommes pas toujours égaux devant la naissance, certains prétendront mieux réussir, quand d’autres seront à la merci de leurs concitoyens.

    La maladie, comme l’âge fait partie de cette différence.

    La nature humaine à aussi ses mauvaises herbes.

    Pourtant notre civilité nous permet d’effacer ces difformités.

    L’éducation est sensée mettre tout le monde sur un pied d’égalité, c’est aller un peu vite, et, comme il y à des grands des petits, il y aura certains ayant plus de facilités, et d’autres. Pour faire du bon pain il n’est pas besoin d’avoir fait l’Ena, ni sciences Po ou bien Polytechnique.

    La valeur des individus ne se mesure pas à son degré d’instruction, mais à sa faculté de s’en sortir, voir de s’adapter.

    Il en est de même de nos frères de couleur, qu’importe cette pigmentation de la  peau, qu’importe leur choix religieux, ni leur manière de vivre.

    Comme tous ils travaillent, éduquent leurs enfants, les arbres de la forêt ne sont pas tous identiques. Pourtant ils poussent, parfois mélangent leur cimes, certains iront tout droit, d’autres de travers.

    L’homme roseau pensant va aussi de travers et aura des écarts, même nos super cerveaux ont parfois des déviances, faut-il s’en accommoder. ?

    Trouver le juste équilibre et  celui qui saura gérer tout cela, tous ceux là.

    Que  notre Starcosy ayant plaidé pendant cinq ans, la cause de la réussite, et ait mis hors du chemin tout ceux en désaccord, ou  de  pensée différente.

    Le changement c’est maintenant, assure Huch sui à son tour propose de changer de remèdes, fini les potions de cheval, revenons en aux remèdes de grand mère….

    Puisque le mal est fait, il nous faut essayer, et chercher les traitements qui nous redonnerons goût, à la vie, et rendra au pays une certaine normalité, et un art de vivre une simple sécurité.

    Plaideurs orgueilleux ou gens de biens, même s’ils n’en ont pas.

    La juste cause, le vrai choix c’est celui de l’humain, de l‘éducation, du développement, du vivre ensemble.

    Moi j’en veux.