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enfin

  • Chambre 56 . Encore un jour sans, ca vient .

    Hardi petit, haut les cœurs.

    La victoire est au bout, et cette ombre qui plane, ne saurait cacher ce soleil même s’il est encore voilé.

    Parler, toujours, convaincre porter haut le drapeau, fier flambeau, étendard ou fanion, il indique cette nation, laquelle revendique, et tremble dans l’attente.

    Porteur de notre espérance, ne trompe pas ces braves, gens de biens. Tu porte la flamme de tout un peuple, et chacun encourage ton irrésistible ascension.

    C’est bien une adhésion qui te pousse, et le courage de cette nation, tu entres dans l’histoire, représente, et porte cet élan, ne les abuses pas.

    Ta tâche sera rude, soit juste, sincère, redonnes à tous ces braves, enthousiasme et courage.

    Reconstruit ce pays que d’autres ont mis à mal.

    Si la peine est rude, devant l’ampleur ce cette fabuleuse mission, tu peux compter sur pleins de talents et de nombreuses richesses, si tu sais leur parler, si tu veux aider, ils accompagneront ta réussite.

    Sans oublier du travail pour tous, et que celui-ci bénéficie à ses gens ordinaires, et non à des castes qui ne prétendent qu’à entasser des richesses, et piler les nations.

    Stop aux rémunérations mirobolantes, avec les salaires de ces gens là, il y a de quoi faire vivre et travailler des centaines de bons et braves, bras, mains tètes aussi.

    Ces richesses porteuses d’espérance s’offrent à toi, accompagne les dans la réussite.

    Les pauvres sont riche d’espoirs, et cette jeunesse oublié, avec des perspectives tu verras ils sont biens, redonne leur justes quelques valeurs moral surtout.

    Tu vois il y à du boulot ; il faut simplement s’y mettre.

     

    A Suivre…

  • Chapitre XXXXIV. La peau de l'ourse !

    Oh peuple de Franche, oh toi bon peuple, qui a su porter haut le drapeau de la révolte, toi fruit de cette terre d’élection, voire de prédilection, te voici une nouvelle fois à un tournant de ta vie, tu avais en son temps pris la Bastille, et bien d’autres bastion.

    Tu avais porté la révolte des faibles des opprimés, tu avais sur le sang de tes barricades construit cet avenir qu’une nouvelle fois nous prétendons glorifier.

    Peuple digne, fièr te voilà porteur d’espérance nouvelle ; déjà avant même le grand soir et ses théoriques suffrages tu nous montres ton choix, tu retrouves cette foi !

    Pas encore nominé te voilà donc choisi, élu, Oh ! La terrible aventure, enfin une nouvelle espérance, cette reconnaissance que dis-je cette renaissance, il te faut la pousser et même la finaliser ; Demain de tes urnes doit sortir cet : Enfin changement, l’espoir à trop attendu tu ne peux nous tromper.

    Oui nous sommes là attentifs, nous étions en confiance, nous voilà presque trépignant de l’impatience du vainqueur qu’il te faudra assumer.

    La course se poursuit pourtant bien loin devant, tu caracoles en tête et nous crions ta victoire comme nous devançons l’arrivée.

    Tiens bon, tant de vies prétendent à ta réussite.

    Si nous craignons quelque trouble fête, rassure nous, ta logique implacable, ton chemin bien tracé, sera pour nous l’espoir promis et l’avenir assuré.

    La route sera longue et la tâche ardue, reste bien dans tes pompes et garde toi de quelque frilosité.

    Que n’est il trop tôt si ta victoire certaine, tu nous semble déjà porteur de cet espoir, de la liesse populaire.

    Je tremble d’attendre le verdict final, je rêve de nous réveiller ce 7 mai, un jour plus tard, dans un matin peut-être encore frisquet, comme nos convictions.

    Réchauffe notre devenir, tu peux changer la vie.