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ca sent le cochon

  • Chapitre VI (le chef fait monter la sauce)

    Suite 6…..(comme au Carlton.)

     

    Un grand moment attendait ce soir notre ami Starcosy, il allait enfin rentrer dans la reine et affronter le bon peuple de son pays.

    Il était une nouvelle fois sur un plateau de télé, et sur toute l’antenne à deux il espérait bien remonter au Top Chef du Master plat, il allait ressortir la sauce qui avait donné de si bon résultat en 2007, et puis les les Franchinais qui avaient la mémoire courte auraient oublié toutes les belles promesses qu’il avait fait et jamais réussi à tenir ; et en bon stratège, il allait défendre sa cause et plaider qu’il n’avait pas eu assez de temps qu’il lui fallait un deuxième service pour finir de mettre ce petit peuple au pied du mur, n’avait’ il pas réussi avec le peuple Grec ? ( c’est ce qu’il s’imaginait alors que c’était plutôt la Chandelière Allemande Markel qui avait fait le salle boulot, ) mais en bon usurpateur notre ami  prétendait tirer les marrons du feu Allemand. Un feu d’ailleurs bien nourri.

    Donc ca tirait dans tous les coins et il ne sut que bien après qu’il avait été battu par Docteur House, une cuisante défaite, lui qui voulait redonner la parole aux victimes  il avait loupé l’occasion.

    Pourtant en bon chef il voulait que la sauce suprême et s’il devait vendre chèrement sa salade, il ne voulait pas en faire un plat principal.

    Alors il fit son mea culpa, faisant rejaillir ses erreurs sur la Princesse de Clèves son ancienne amante, il se serait laissé emporté voulant se rendre intéressant à ses yeux, comme chacun sait depuis il a couché ailleurs, et il a retrouvé la raison.

     

    Hutch, interrogé sur le repentir de Starcosy, prétendait qu’il attendait d’abord l’assentiment du bon peuple Frappais, que s’il recevait les césars du meilleur artiste il ne resterait pas muet  et prendrai ca pour un Oscar, que s’il était nominé il ferait des claquettes le jour du jugement dernier. Il était sur de son bon droit et savait être patient. Que de toute façon sa conduite à gauche ne pouvait que le mener au sommet de notre pays, en se contentant de gravir le Mont de piété, et qu’il était prêt à affronter la jument du dernier.