Chapitre XV. (Histoire de contre temps).

Notre compère Starcosy, voulant se rappeler aux bons souvenirs des salariés de Sarcilor Mitrail. Après  tants de vaines promesses, et de rendez vous manqués leur assura avoir trouvé17 millions  de gros sous récupéré sur le tréseuropéen pour faite repartir l’usine.

Que tout était en ordre, mais qu’ils allaient quand même devoir attendre que lurette soit passée, pensez donc nos gros bras de chez Sarcilor Mitrail y voulaient pas l’entendre de cette oreille, ils ont plusieurs fois entamé des négociations avec leur président, mais là le candidat allait trop loin.

Seulement celui-ci n’était jamais là, bref  nos p’tits gars y s’en ont eu assez et sont venus demander des comptes à Dieu le père, et voir St Nicholas, celui-ci les reçu à coups de bouteilles de gaz, là ou il y a de la gène y a pas de plaisirs et en en chœur ils ont assuré qu’on ne les rependrait pas, que c’est lui qui avait mis le feu au poudre.

Qu’ils allaient rentrer dans leur usine, fabriquer des millions de clous qu’ils allaient semer sur le pavé Paritien, il y aurait pleins de gens crevé et cela allait bouchonner tout Parits…

Nicolas devrait bien les rencontrer et depuis on reconnaît le vieil adage «  à la St Nicolas y a des clous qui poussent partout ».

Et Starcosy de son coté éructait mais je leur avais dit de venir lundi.

C’est un sale coup pour la S N C F* qui s’est trompé de train.

Pareil pour Starcosy  ne savait plus ou donner de la tête et craignait pour son train de mesure qu’il envisageait de prendre et qui risquait de dérailler.

Tout ceci risquait de finir mal, surtout pour lui.

 

*Saint Nicolas et Cher François.

 

A suivre……