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douce et apaisante

  • G8, G20 ; Et nous on goûte l'eau!

    Avez-vous déjà essayé de vous lancer depuis un plongeoir qui, fait 8, puis 20 m, Lui ne l’avait jamais fait et tout de go il dû, dame le monde le regardait, tous ces gens dirigeant de ceci, de cela, et chacun attendait qu’il se reçoive dans un grand flop ! ; Eh ben même pas ; Là aussi, mission accomplie.

    Raspoutine lui s’était déballonné, c’est dire si l’exploit est méritoire.

    Et notre François grand seigneur reçut les honneurs.

    Autre flop, pourtant la mise en scène relevait d’Hollywood, et les médias en grandes pompes avaient été prévenu, ce sera magistrale : Le beau, le grand, le séduisant Mark Zuckerberg, devait récupérer des milliards, mettre en bourse son agenda perso ou presque, fut-il agrée par des millions d’internautes, et ben il aura pas ramassé le gros lot, juste récupéré sa mise, bon ils parlent de bulle informatique, à suivre, de tout façon c’est pas parce qu’il à notre trombinoscope sur son truc, qu’il faut qu’il se croit arrivé le petit Marc. Même s’il connais les je ne sais plus combien des copains de Starco, m’enfin les pauvres.

    Bon pas grave erreur de jeunesse, et puis à trop vouloir, enfin il n’est pas à plaindre. Et il apprend encore la vie ; bonne formation.

     

    Histoires de changer de sujets, je voudrais rendre un vibrant hommage à tous ces gens de la Météo, pari gagné, la pluie ce matin en Bretagne devait arrivée en Ile de France en fin de soirée idem en Seine et Marne, préconisaient-ils .

    Dix sept heure trente mon chien fidèle comme toujours accompagne mes pas, nous cheminons, allant porter notre marche de promenade de l’autre coté de notre Marne, puis retour, une dizaine de kilomètres à travers bois, plaines, bord de l’eau, il n’y à pas de plus sympa détours pour cheminer, allant au gré de nos déambulations, certes le soleil n’était pas de la partie en ce samedi tranquille, les familles protégeaient leurs loupiots devant la télé ou autres distractions sagement à l’abris de toutes les intempéries intempestives prévus.

    Personne pour distraire notre sortie, ces chemins de détours que nous connaissons par cœur, la tête en l’air scrutant la cime des arbres à la recherche de quelques excentricités de dame nature, nous avions à peine aperçu le soir descendre plutôt que d’habitude, et que nous importe, puis quelques gouttes fraiches nous portèrent comme un apaisement, les grandes herbes, la forêt profonde, de ce vert qu’une bonne dose de pluie peut peindre ainsi.

    Tant de vert sur une même palette, tous ces mélanges harmonieux entre la jeune pousse et la fragile agonie d’une autre déjà fatiguée.

    Feuilles de milles états, du chêne pourpre, aux cèdres sombre, ou noir du Liban.

    Feuilles, aiguilles ou autres ficèles qui s’entremêlent entre terre et ciel, et ces troncs dressés  entre les deux, leurs lourdes ramures qui brassent l’air, ou s’agitent doucement.

    Et l’eau qui crépite, se pose sur ces feuilles puis s’égouttent.

    Un lointain grondement nous laisse présager la montée en puissance d’un orage à l’approche, et ce parfum subtile et profond qui prend des senteurs nouvelles, «  oh le bruit doux de la pluie, par terre et sur les toits ».

    Cette pluie change notre décor, il semble se fondre, prend des odeurs qui nous imprègne, une goutte sur les lèvres c’est un ruisseau de fraicheur. Nous baignons dans cette humidité, nous y lavons nos soucis, au sol déjà l’eau ravine la terre, se frayant un chemin pour évacuer, pour balayer la poussière. Cure bienfaitrice, apaisante.

    Un dernier virage nous sortons de cette verdure, un petit bout de chemin, et l’abri, la maison, les serviettes, le chien d’abord, il dégoutte, s’ébroue, et cours chercher sa balle.

    Ma tignasse humide ensuite, bof l’eau de pluie rend le teint pur et doux et laisse le cheveu soyeux.

    Voilà c’était notre sortie  au, file de l’eau et au gré des courants.

    «  il pleut sur la ville comme il pleure dans mon cœur… pour un cœur qui s’ennui oh le chant de la pluie ».