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et semon qui

  • Article 62. Le grand débat-lage !

    Franchaises, Franchais, mes chers concitoyens. Gageons que ces termes ouvriront le débat.

    De mea-culpa, en promesses, toutes les variantes, tous les appels du pied serviront nos deux protagonistes.

    Pensez leur avenir, votre avenir en dépends, Cinq nouvelles, parfois longues, pénibles, douloureuses  années, nous engagent.

    Serez vous raides dans vos bottes, imperturbable devant tant de basses ignominies.

    Ou esprit volatil, prêt à changer d’idées, d’avis au gré des détours de cette diatribe.

    Faut-il comme le prétendent, journalistes, sondeurs, perturbateurs de vos certitudes ; prétendre que vous puissiez changer d’idées comme de chemise aux détours d’une phrase.

    Seriez- vous versatiles, sans fondement, sans racines sans attaches, disposé, prédisposé, à virer casaque, à tourner, le dos aujourd’hui, à ce que vous fûtes hier, ou à ce que fût votre hier ?.

    Sans être devin, grand vizir, ou quelque autre clairvoyant, ces extralucides de la pensée versatiles.

    Ces faiseurs de sens, de bon, et de contre sens, doublant aux feux de la bienséance.

    Perdus dans cette marée de mots passées ; et des démons à venir.

    Inquiétante division entre l’absurde et le réel, c’est à voir.

    Quels seront les points de chute de ces cerveaux pas finis pour les uns trop étriqués pour d’autres simples esprits chagrins.

    Ah le désenchantement, oh ! la vindicte populaire !.

     Que Faut-il attendre d’une telle confrontation, le bien sort-il grandi ? le mal finit-il par l’emporter.

    En médecine Oui, dans votre politique, vos mots seraient plus forts que nos maux !

    Faut-il, encore entendre De Gaule ce grand Général, mais simple président, parler à votre égard de peuple de moutons.

    Ce n’est pas possible que vous vous laissiez condamner sur un simple débat..

    Les certitudes existent qui ont déjà parlées.

    Cinq années qui peuvent se jouer en deux heures et demie. Et ce débat intérieur vous poursuivre, vous persécuter, que vous ne sachiez plus penser.

    Oui ces joutes oratoires, ces jeux offerts, à vos yeux comme à vos oreilles ne peuvent déterminer votre jugement, tout un vécu à dû laisser ses traces.

    Ces marques indélébiles ne peuvent se laver en si peu de temps.

    Seules les girouettes vont le sens du vent. Vous, être pensant, accepteriez de tourner  bêtement.

    Demain, comme aujourd’hui, le sort en est jeté.

    Et dimanche, nous seront fier, débarrassé et libéré de notre histoire pour affronter l’avenir.

     

    A Suivre…