Chapitre XXXXI. Les fonds de tiroirs !
Terrible le combat de ces hommes politiques, encore quelques jours, et que ne feraient ils pas pour récupérer 1 point ou un point et demi sur les indécis, les ceux qui n’ont pas d’avis, hésitent entre la poire et le fromage, entre le petit sec et le grand mou ; je veux parler du camembert ou du chèvre.
Alors irez-vous soutenir, Machin ou Chose ?
Ce ne sont pas nos intellectuels, ni nos Artistes ; Non plus que nos chercheurs, Professeurs, gens de lettres, de sciences, ce ne sont pas les chefs d’entreprises, petites ou grandes, non ceux-ci ont déjà fait leur choix, leurs idées sont arrêtés, leur certitudes aussi.
Pour les chômeurs il semblerait d’après certaines études d’opinions que ceux là ait aussi déterminé leur choix ; Ils ont envie et intérêt que le système perdure voir s’améliore.
Les jeunes, voilà une autres affaires, ils sont à classé en deux catégories ; les ceux qui ayant fait quelques études ont acquis des références, avec une maturité de réflexion, et leur détermination seront souvent le reflet du milieu familiale.
Pensez donc des années baignées dans le confort des certitudes qui sont transmissent en héritage, du rejet de la différence, de la haine de l’autre, du fondé de ces expatriés, ex de quelque part, qui ne vivent pas comme nous.
Des années de critiques, de petite vie repliée sur son soi.
Ces petites gens étriqués ayant leur gentil petit boulot, parfois devenu, où dans la poche du « petit chef ».Ceux là même qui mettent et s’en glorifie leurs enfants dans des établissements « privés ».
Béni-oui oui de tous les pays unissez-vous.
Ceux là, aigri ayant grandi avec une pseudo croissance, et les restes des deux blocs ; vous savez ils sont devenus les : Ceux qui se sont fait tout seul.
Face à ceux qu’ils nomment assisté, car eh oui, ils touchent qui le chômage, d’autres des subsides, voir les Allocs.
Alors que toutes personnes ayant plus de deux enfants perçoivent ces fameuses allocations familiales, eh bien ils iront reprocher aux autres de vivre sur le dos de ces fameuses pensions.
La caste des nantis, contre celle des exclus, Ceux qui vivent en pavillon contre ceux qui résident en HLM.
Ce n’est pas pour rien que certains préconisaient le miroir aux alouettes de la possession, ils en avaient fait leur campagne, chacun son chez soi, le rêve du petit proprio.
Les dures et cruelles situations, les questions des transports, du conjoint, de l’emploi tout simplement ont changé la donne, pourtant que n’ont-ils fait rêver avec leur maison à moins de cent mille euros ; avec leur mirifiques prêts à taux zéro, et toutes ces campagnes de pub ; de quoi vous culpabiliser d’être pauvre.
Le « comment vous n’êtes pas propriétaire » dit avec dédain !.
Donc autres préalable, autres circonstances « vous habitez la banlieue » mon pauvre !. Et en plus vous êtes fonctionnaire.
Encore un avatar supplémentaire, encore ces restes d’idées reçus, préconçus
Voilà cette frange de la population comme ils disent, promu, et il y à aussi les déçus, vouées aux extrêmes après avoir été illusionnées. Ou faisant la masse informe de ces gens de « gôche », un peu mou à la manière de Hutch.
Et l’autre « douce Franche, doux pays de mon enfance » avec leur certitude, leur garantie, leur parfois système d’auto… bien à droite, des valeurs sûrs, incontournables ceux pour qui l’ont fait chanter la Marseillaise, fière d’en être….
Face à eux le « bon peuple »
Après le bloc de l’Est face au bloc de l’Ouest.
L’autre séparation, la droite, la gauche.
Bien sur Confucius ne me démentira pas tous n’est que clivage, le bien, le mal, le pour, le contre, le blanc le noir.
Donc raclant les fonds de tiroirs nos deux héros ; Ils ont déjà voués aux gémonies les huit autres candidats postulants, cherchent à en imposer, à se démarquer par le nombre, par la force, la puissance.
De quel coté sortira le ballon au milieu de cette mêlée.
Encore quelques jours et vous saurez…..
A suivre…