Chapitre 69. Ouf enfin. Adieux Starco !.
Parodie d’une vieille chanson de J Brel, Adieux l’Emile, dans le Moribond ; on t’aimais pas bien…(reportez vous à votre youtube habituel.)
Bon on va pouvoir tourner la page, et oui comme tous les feuilletons, certains perdent leur acteur fétiche, même JR à eu sa fin Merci et tant mieux !.
Cruel perte, pas toujours ; pour les Dr House, Desesppérate je ne sais quoi !… ou tant d’autres séries Américaine (désolé cela ne fait pas parti de mes centres d’intérêts)
En tous les cas, Starco ne prépare pas une nouvelle saison, comme ils disent.
Alors notre choix reste de retrouver Hutch, de suivre ses aventures ; nos deux compères définitivement séparés. N’est ce pas là, la vie de beaucoup de couple.
Voilà les nouvelles bases sont posées.
Et déjà, nous retrouvons celui-ci, pas encore aux commandes du pays, mais nouant contact, cherchant à composer son équipe, prenant le pouls.
Il investit le personnage avant que d’entrer en fonction, comme essayant l’habit avant de le porter.
On n’entend que les commentateurs réclamer le nom du futur premier ministre ; Nombres des éventuelles possible rejettent une nomination, le futur président pas encore investi il à raison de ne pas dévoiler ses combinaisons de gouvernement, bref cette envie de toujours vouloir devancer les choses.
A chaque jour suffit sa peine, et si nos journalistes, commentateurs ne savent pas de quoi parler, certes ils ont une image à tenir, et devant les médias le silence n’existe pas dommage.
Ils ont pourtant suffisamment repassé ces derniers temps l’image de Giscard disant son « au revoir », et l’interminable silence qui en suivit, la porte étant plus loin qu’imaginé.
Alors gens de télés-radios, on ne vous demande pas de vous taire, non, mais déjà de ne pas dire n’importe quoi histoire de combler, ensuite, au lieu d’accélérer votre débit, pressé que vous êtes, apprenez à vous délecter des événements, à jouir de situations, à nous laisser digérer les éléments du langage.
Réapprenez votre métier, redonnez lui la noblesse qu’un Jacques Chancel offrait, et à ses intervenants, et à son auditoire.
Ah la classe, la sérénité.
Allez réfléchissez à cela, à demain.