Chapitre 68. Chapeau !.
D’abord, 20 h. une immense clameur monte de la rue, les radios la télé annonce.
Ensuite bla !... bla…
….on attend le nouveau président, ça y est il arrive, il fend la foule, la place de la Bastille est noir de monde.
Même le chien doit savoir qu’il se passe quelque chose de pas ordinaire, lui toujours si prompt à venir aux nouvelles pour sortir, ce soir, il est zéro h et plus il ne moufte pas, attends patient, comme, nous qui regardons, écoutons ce déferlement de commentaires, de témoignages, de directe, de..enfin ça y est.
Oh ! certes le score, s’il est suffisant, n’est guère très brillant ; 51,7 %et 1 115 000 électeurs d’écart entre les deux.
N’empêche Starcosy à reconnu sa défaite, à annoncé, qu’il remerciait les électeurs…
Qu’il souhaitait bon courage à la France, qu’il se retirait mais gardait un œil…
Pendant ce temps Hutch, traversait la France, fendait les foules, des milliers de poignées de mains, des centaines de millier de supporters, des moments de longues et terribles incertitudes pour les journalistes commentateurs postés, au quatre coin de l’hexagone comme sur la place mythique de cette Bastille ; Ainsi Trente et un an après un autre François, Mitterrand lui, il est l’objet de toutes les attentes des Français, surtout ceux réunis là ce soir.
Ce soir chez nous il est tard certes, et les rues sont déserte, elles sont entièrement livré à mon chien ; lequel comme à son habitude, va collecter ses messages aux pieds de chaque arbre.
Donc ce soir mots magique, respect, merci, et à demain.