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ah la musique des mots

  • Il attendait son carrosse, elle attendait ses chevaux….

    Ah la vieille histoire, ces ritournelles d’antan ou l’on comprenait même les paroles et ou celles-ci même légères glorifiaient le populaire.

    Aujourd’hui les chanteurs n’ont plus de voix, seule leur musique concert de klaxonne, voir de casseroles, semble devoir  remplacer, ce flot que nos radios déverse.

    Y compris les vieux crooners américains les quels  semblaient revivre ou la chevauché fantastique, ou cette longue balade des cowboys derrière leurs troupeaux.

    Patience la jeune génération aime les paroles, aime les mots.

    Certains de nos banlieues confondent RAPS et musique, rythmes et mélodie.

    Ils apprennent, encourageons lés, même si leurs rituels leur semblent sortis des ghettos noirs, ils se réapproprient  leur ancestralité. Et puis  si on attrape les mouches avec du vinaigre, il faut bien leur laisser cette part d’individualité, qu’ils revendiquent.

     

     

    Bien sur je m’égards, nous sommes loin du Mali et de ses turpitudes Militaro-guerrière.

    Cà y est nous avons tel le dragon terrassé abattu un chef de la guérilla, un responsable, à la manière Israélienne  de frappes ciblées.

     C’est comme au bal trappe dans le temps, vous visé, tirez sur votre cible et parfois heureux vous vous écriés ; « Ca y est je l’ai eu ».

    Comme nos mirages aujourd’hui, j’imagine la liesse du pilote, et bien même pas le geste étudié, le regard fixe, ils sont tendus sur leur cible, pourtant celles-ci se trouvent à des kilomètres.

    Maison explosée, village rasée.

    S’ils y avaient des habitants sur la lune ils ferraient pareil pour aller la conquérir, pour prendre leur place.

    Les camions avancent dans le sable du désert ; lls sont là pour faire avancer les hommes, progresser les troupes.

    Devant l’ennemi, invisible se repli, attention là bas cette dune, une cache peut-être alors les avions pilonnent.

    Les canons eux aussi ont une portée de plusieurs kilomètres, leur cible visée par GPS, touché, coulé.

    Comment faire face, résister.

    Ah ça y est les Etats Unis d’Amériques entrent en guerre, leur chef Obanania à décrété, non la mobilisation générale, mais que un de leur avion cargo viendrait porter main forte à nos chasseurs en les ravitaillant en vol. "  Allo la terre, mission accompli, mes réservoirs sont pleins, je vais où maintenant " ?

    C’est là, un geste d’une portée internationale. Personne ne s’y trompe.

    D’ailleurs Amerkel envisage de nous envoyer deux avions pour porter les casses croute de nos guerriers.

    .Cela s’appel la coopération internationale ; Un peu ce que nous avions fait précédemment en Irak, ou en Afghanistan ; Mais nous c’était pour  apprendre la méthode des autres. Maintenant nous la mettons en application.

    Je vous le dit le mieux c’est encore l’enseignement.

    Seul l’ouverture des esprits, et l’enseignement des méthodes globales, permettra de combler, voir de remplir ces cerveaux ignares.

    Ah la musique des mots face au bruit du fusil.

    Il faut pousser nos petites têtes à comprendre les autres, à comprendre l’histoire, à,  par l’apprentissage de la langue, des langues, pouvoir éclairer les esprits obscures.

    Montrer, prouver, justifier que certains arguments, ne sont pas que non sens, voir, des valeurs inhumaines.

    Que le bien de l’ensemble passe par des débats, des discussions, que nul ne détient la science infuse, ni la vérité ; Néanmoins,  plus on apprend, plus on peut prétendre savoir.

    Nos philosophes, comme nos scientifiques trouvent que l’on ne sait jamais rien, que c’est avec les autres que l’on peut apprendre.

    Ce sont des sages.

    Nos militaires sont « aux ordres », nos politiques ;Aux ordres de la finance, des puissances….

    On n’en n’est pas sorti.

     

    A Suivre..