Et si nous revivions l’époque du Sarkhollande ?
Ainsi soit-il nous avions cru nous en débarrasser, ben non, Que s’est-il passé, quand, comment eut lieu cette fission de l’atome Hollande en Sarko.
Comment celui-ci battu se retrouve aux affaires avec le masque de Hollande ?
Ah magie, la tète de l'un, la politique de l’autre.
Tiens même leurs ministres sont interchangeables et si semblables.
Le premier, Héros passe partout où : Fillon nous à lui.
Au budget Baroin ; Chahuzac, même combat. À L’intérieur, Gléant, versus Valse, deux teigneux. Pareil pour le ministre des prisons Rachida, Taubira deux de la légion étrangère.
Bon je n’insiste pas, pour les portes parole du gouvernement Deux couvertures de magasines, beau sourire, belle petite gueule, pour faire craquer les récalcitrants ; Je ne les nommerais pas ayant oublié leurs Curriculums. Mais issu du magasine Elle.
Enfin, moi je suis un détracteur, certes je déforme, je tergiverse, je conspue, j’ironise, je blasphème, j’anathème, je tranche, fend et pourfend, rien ni personnes ne trouvent grâce.
Ma force c’est de n’être rien, de n’attendre rien.
Ma plume s’amuse, mon verbe se joue de votre situation, minable pantin, mais je ne prétends pas tirer les ficelles, je vous laisse défaire les nœuds de vos pseudo-contradictions...
Oui je m’interroge sur cet effet de copier, collé, d’un homme, d’une équipe, d’une politique.
La place laissée par nos institutions n’autorise -t’elle qu’une si petite lucarne, un angle si restreint pour permettre une ouverture sur l’homme, l’individu, ses richesses, mais non ses petites pensés, de comprendre que le système laisse si peu de place au changement, a d’autres possible.
Aidez -moi !.......Vous avez du talent pour disserter devant micros et médias, vous savez, expliquer l’inexplicable faire avaler les couleuvres.
Sommes-nous dirigés par des clones ou par des clowns ?
De toute façon qu’importe, leurs visées sont les mêmes, ils sont le marteau, vous êtes le clou .Aussi leur cinéma, leurs atermoiements, leur faux semblant, bref tous autant qu’ils soient ils nous les casses, nous les brises.
Nous ne supportons plus ces énergumènes politi-chien..
Ils me dégoûtent. ALLEZ salut.!