Chapitre XXXI. Franco-Franchais !

Certes la campagne bat son plein et chacun cherche à plumer l’autre, le dénigrant, le ridiculisant, nos guignols experts en persiflage et roueries de tous genres, s’en amusent et dramaturges les situations.

Ils se prétendent le pouls de l’opinion, et ridiculisent cette pauvre Emilie Joly, bref sans leur prêter une excessive importance il ne faut pas minimiser leur responsabilité.

Cependant une notion reste abstraite et absente des minauderies de nos marionnettes, c’est l’Europe et cet environnement qui nous dirige.

D’aucuns savent que nos élus, nos dirigeants son à la solde de cette oligarchie économico-prolitique.

Nos pays, nos peuples sont trop imbriqués dans cette construction.

Et là dans les discours, dans les cantines de nos postulants candidats, combien veulent et reprendre un minimum de décisionnaire, de commandement de volonté et d’en imposer, mais de faire que cet état souverain puisse garder un peu de faire et de son savoir faire.

La communauté Eux-ropéene nous dirige, rappelons nous à eux, ce n’est pas à Bruxelles, ou Delhi en Inde de savoir si notre savoir faire et juste, bon et pérenne, ni rentable.

Ce n’est pas ces étrangers qui ont droit de vie ou de mort sur nos entreprises.

Les Métals ; les Contis avant et combiens d’autres disparus chomeurs, ont raison de prétendent avoir un outil de travail et un savoir faire inégalés et de vouloir et le garder et le faire fonctionner.

Ils ont raison de se battre pour garder leurs emplois menacés pas ces potentats despotes.

Cette Eux-rope qui veux se partager notre réseaux ferré, comme elle à absorbé notre Electricité de Franche, ils viennent piller nos richesses puis ferment nos usines.

Ce n’est pas cette Eux-rope qui doit dire notre niveau de retraite, qui doit imposer la redistribution du courrier, car elle sent là un marché juteux, et sait beaucoup d’argent à gagner.

Les personnes âgés qui dans nos campagnes attendaient et comptaient sur le facteur, comme elles attendent le boulanger.

Ah nos campagnes désertes, plus de médecins des kilomètres pour aller trouver une pharmacie.

Même les cafés ont disparues, les transports en communs aux oubliettes pas assez d’usagers.

Alors pour naître, pour se soigner des, « ben non plus rien, si vous chercher à vous plaindre, prochain tribunal 120 Km. ou plus. »

Ne pleurez pas, il vous reste les choux et autres carottes que vous aller produire dans ce petit champ qui jouxte votre maison, une chance n’est-ce pas !.

Merci encore à cette vendeuse de pain, qui cinq jours par semaine vous amène le journal, pour voir, la vie des autres, pour connaitre, les heures d’ouverture de la mairie, du cimetière, ou l’office de l’église.

Et puis avec la télé vous n’êtes pas si seule ma bonne-mère ! Vous pouvez même voir et entendre votre président ! Et vous distraire, plus belle la vie, vous soigner par Docteur House interposé, Oh la chance, et en plus vous avez le mirage du loto…

Oui vous avez aussi entendu parler de leur internet, pour vous c’est comme le serpent de mer jamais vu, tout juste si vous savez que ça leur permet de communiquer.

Pourquoi y peuvent pas se voir ?.

Alors hommes de biens, demain il faudra redonner vie à tout cela, il faudra reconstruire ce que vous avez détruit, il faudra recréer des réseaux qui ne soient plus virtuels.

A vous Monsieur le futur président, et nous vous souhaitons bon courage..

Mais de quoi je me mêle moi j’y connais rien.

 

A suivre….