Pointure XXXXIII. Vingt Chênes cette année là !
Le lendemain sur cette place historique, ou rappelons le nous fut guillotiné la Reine en mille sept cent et quelque d’où le nom qui lui fut donné plus tard le boulevard de la reine, il s’agissait bien sur de Marie et Toinette sa fidèle servante qui voulut partir en même temps que sa noble maitresse.
Les serviteurs de l’époque suivaient leurs maitres jusque sur les chafauds.
Aujourd’hui la place à retrouvée son calme, c’est à peine s’il reste quelques coquelicots sur les pelouses au bord de du fossé qui sépare cet antique château, aujourd’hui centre de recrutement de l’armée. Et toujours ces affiches annonçant la venue prochaine du cirque Barnum. Lesquelles restent accrochés à des troncs d’arbres, il faut dire que la veille, les passants ne pouvaient pas approcher cette place tellement celle-ci était noir de monde ; un peu du style noir désir avant le grand soir.
Bien évidement le retentissement de ce super spectacle avait dépassés les limites de la place et on en entend encore les échos, surtout dans la presse d’opinion.
Il n’en reste pas moins important que le retentissement de ce mouvement de foule fera date dans l’histoire, et dans les souvenirs des témoins venus écouter la prestation de notre orateur, lequel entama d’entrée le grand chant du Trouvère quand il approche des murs de Troie et qu’il sait que derrière la belle Ophélie de Winter attend le retour de son valet parti à Lombre chercher une copie de sa rivière enchantée.
Oh le super tableau qui devrait être accroché sur le mur du Douvre au pied du Cas Rousselle à coté la tour de garde.
Pour en revenir à notre Gland mou qui à une tête de nœud comme disent les droitistes, il est reparti en campagne du coté de Carmina Burana, la ville qui vit la naissance de Chaures.
Partout ou il intervient trépasse l’idée du méchant petit garnement, et l’on ne retiendra de ses péroraisons que l’idée qu’il faut changer quelque chose dans le décor..
Cette méga bousculade qui prit la place de court laissa pantois les chaud-sio démocrates qui aspirent au grand soir.
Pourtant ils savent que les lendemains seront rudes et les corps mis à l’épreuve par la très haute finance qui refuserait de payer les pots cassés, voir les sacrifises.
Il faudra faire le coup de force et imposer nos vues à nos voisins Lallemand et les autres Trésor-Eupéen.
Enfin l’histoire retiendra qu’il fallait se lever tôt pour remuer les foules.
Nos deux Ex-cogriffes réussiront ils la prouesse de ramener à eux cette populace désabusée, surtout les ex-clus qui sont sortis du troupeau.
Enfin nous verrons si les Brebis quelque peu égarées sauront retrouvé le chemin de la breuvoir, et reprendre du poil de la bête, à moins que l’autre ne leur tondent l’haleine sur le dos.
Amis rêvons à des jours meilleurs, mais chassons que pour cela il faudra changer les genres, et pas mal d’idées.( C’est pourquoi il faut chasser les idées noirs.)
A Suivre…Nos deux A.Colytes seront-ils retrouver l’espoir ?