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Chapitre XXXXIV. La peau de l'ourse !

Oh peuple de Franche, oh toi bon peuple, qui a su porter haut le drapeau de la révolte, toi fruit de cette terre d’élection, voire de prédilection, te voici une nouvelle fois à un tournant de ta vie, tu avais en son temps pris la Bastille, et bien d’autres bastion.

Tu avais porté la révolte des faibles des opprimés, tu avais sur le sang de tes barricades construit cet avenir qu’une nouvelle fois nous prétendons glorifier.

Peuple digne, fièr te voilà porteur d’espérance nouvelle ; déjà avant même le grand soir et ses théoriques suffrages tu nous montres ton choix, tu retrouves cette foi !

Pas encore nominé te voilà donc choisi, élu, Oh ! La terrible aventure, enfin une nouvelle espérance, cette reconnaissance que dis-je cette renaissance, il te faut la pousser et même la finaliser ; Demain de tes urnes doit sortir cet : Enfin changement, l’espoir à trop attendu tu ne peux nous tromper.

Oui nous sommes là attentifs, nous étions en confiance, nous voilà presque trépignant de l’impatience du vainqueur qu’il te faudra assumer.

La course se poursuit pourtant bien loin devant, tu caracoles en tête et nous crions ta victoire comme nous devançons l’arrivée.

Tiens bon, tant de vies prétendent à ta réussite.

Si nous craignons quelque trouble fête, rassure nous, ta logique implacable, ton chemin bien tracé, sera pour nous l’espoir promis et l’avenir assuré.

La route sera longue et la tâche ardue, reste bien dans tes pompes et garde toi de quelque frilosité.

Que n’est il trop tôt si ta victoire certaine, tu nous semble déjà porteur de cet espoir, de la liesse populaire.

Je tremble d’attendre le verdict final, je rêve de nous réveiller ce 7 mai, un jour plus tard, dans un matin peut-être encore frisquet, comme nos convictions.

Réchauffe notre devenir, tu peux changer la vie.

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