Opus débat 63.
En deux mots, l’un en sort "Prosident", l’autre finira "condidat".
Tout ça pour ca....
On va enfin en finir et passer notre tour.
A suivre...
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En deux mots, l’un en sort "Prosident", l’autre finira "condidat".
Tout ça pour ca....
On va enfin en finir et passer notre tour.
A suivre...
Franchaises, Franchais, mes chers concitoyens. Gageons que ces termes ouvriront le débat.
De mea-culpa, en promesses, toutes les variantes, tous les appels du pied serviront nos deux protagonistes.
Pensez leur avenir, votre avenir en dépends, Cinq nouvelles, parfois longues, pénibles, douloureuses années, nous engagent.
Serez vous raides dans vos bottes, imperturbable devant tant de basses ignominies.
Ou esprit volatil, prêt à changer d’idées, d’avis au gré des détours de cette diatribe.
Faut-il comme le prétendent, journalistes, sondeurs, perturbateurs de vos certitudes ; prétendre que vous puissiez changer d’idées comme de chemise aux détours d’une phrase.
Seriez- vous versatiles, sans fondement, sans racines sans attaches, disposé, prédisposé, à virer casaque, à tourner, le dos aujourd’hui, à ce que vous fûtes hier, ou à ce que fût votre hier ?.
Sans être devin, grand vizir, ou quelque autre clairvoyant, ces extralucides de la pensée versatiles.
Ces faiseurs de sens, de bon, et de contre sens, doublant aux feux de la bienséance.
Perdus dans cette marée de mots passées ; et des démons à venir.
Inquiétante division entre l’absurde et le réel, c’est à voir.
Quels seront les points de chute de ces cerveaux pas finis pour les uns trop étriqués pour d’autres simples esprits chagrins.
Ah le désenchantement, oh ! la vindicte populaire !.
Que Faut-il attendre d’une telle confrontation, le bien sort-il grandi ? le mal finit-il par l’emporter.
En médecine Oui, dans votre politique, vos mots seraient plus forts que nos maux !
Faut-il, encore entendre De Gaule ce grand Général, mais simple président, parler à votre égard de peuple de moutons.
Ce n’est pas possible que vous vous laissiez condamner sur un simple débat..
Les certitudes existent qui ont déjà parlées.
Cinq années qui peuvent se jouer en deux heures et demie. Et ce débat intérieur vous poursuivre, vous persécuter, que vous ne sachiez plus penser.
Oui ces joutes oratoires, ces jeux offerts, à vos yeux comme à vos oreilles ne peuvent déterminer votre jugement, tout un vécu à dû laisser ses traces.
Ces marques indélébiles ne peuvent se laver en si peu de temps.
Seules les girouettes vont le sens du vent. Vous, être pensant, accepteriez de tourner bêtement.
Demain, comme aujourd’hui, le sort en est jeté.
Et dimanche, nous seront fier, débarrassé et libéré de notre histoire pour affronter l’avenir.
A Suivre…
Voilà, les défilés, les rassemblements, les manifestations, chacun sont appellation, chacun son désir, chacun sa place, tous la même attente, montrer sa force, son pouvoir de rassemblement, de persuasion, après les urnes la rue, avant le urnes faire face, faire front, foire bonne figure, mettre ses forces en ordre de bataille ; Tel les guerriers romains, nos foules offrant le sacrifice de l’autre, toutes les forces en ordre de marche, les généraux dans un dernier combat, après avoir dressés les plans, passés en revu les troupes, vont dans un ultime sursaut bouter l’autre hors du jeu.
Ces batailles portent des noms illustre de Trocadéro, Opéra, Denfert, à moins que Nevers sié plus aux puristes. Tous ces hauts lieux prorogeront-ils la dynastie Starcosy.
A moins que l’ère Hutch-Nollande arrive, et porte le retour du changement.
Quoiqu’il en soit, les commentateurs commentent, les foules hurlent ; les septiques attendent, d’autres s’en fichent.
Mais chacun y va de son couplet, se son anathème, de son arrogance.
Les sondeurs hésitent, peut être ben qu’oui ; Peut être bien que non.
Ils ne veulent plus se mouiller, ils vous parleront de la versatilité du choix de l’opinion pas certaine, de ce coté aléatoire, voir de l’incertitude, de l’imprécision.
Certes cette science pose le problème de la question ?
Et puis un sondage ne fait pas l’opinion.
Encore quatre soirs et nous saurons, Les probabilités, en question.
Attendre, ne pas vouloir savoir.
Wait and see, messieurs les Anglais.
En attendant, Starcosy porte plainte, encore et toujours, son Altesse sérénissime ne supporte pas d’être mis au banc des accusé. Comment le financement de sa campagne, comment les sondages commandés pour un oui, pour un non, et pour n’importe quoi !.
Alors il faut qu’il en profite, » vous comprenez, Monsieur le juge, ils ne pouvaient pas m’accuser j’étais dans le cadre de mes fonctions, et couvert par l’immunité du chef de l’état « !.
Oui il est temps que cela cesse.
A Voir !.
Et voir non, mais écouter demain la joute de nos deux héros devant les caméras, ultime affrontement, ils auront droit aux arrêts de jeux.
Augurons que ce soir, ils auront pris forces comprimés déstressant, relaxant, juste pour les aider à dormir.
En attendant demain au boulot, il serait temps que les travailleurs travaillent, la French à besoin d’eux.
Et tous ces jours fériés encore à venir, voilà qui n’est guère propice à notre reprise économique, ni à notre développement, salle temps pour la balance extérieur.
C’est pas comme çà qu’on va retrouver la croissance, regardez Lallemagne, elle au moins !.
Et d’ailleurs c’est vrai nous n’avons entendus parler des manifestations, qu’en Nespagne, en Grèche, ben alors et Leurope dans tout ça. ?
A Suivre…