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  • Repos 60. La fëte du travail!!!

    Retrouvons nous dans la rue : au choix des manifs, rassemblements, ou autres amusement, à la mode Starcosy.

    D’abord, retrouvons nous au hasard, dans cet hôpital parisien, tiens mieux même pour y venir, comme  pour aller à cette manif vous vous êtes rendu au métro, :

    -          Bonjour madame la caissière, comment vous n’allez pas à la manif je voudrais un billet pour Denfert, »

    et elle :

    -           Eh non hélas je suis réquisitionnée, je travail ! .

    Bon ah oui, sur le quai tant de gens heureux, c’est braves travailleurs les autres jours ; vous leur demandez alors aujourd’hui pas de boulot, vous allez à la manif, bien sûr ! …

     -  C’est pas qu’on aurait pas voulu, seulement voilà le petit il à marché sur une bouteille cassé, résultat, les urgences, ils ont du le recoudre, et là on va le voir !. 

    Implacable logique, vous vous tournez vers un autre, appareil photo en bandoulière, les enfants déguisés, styles retour de chez Disney, idem,

    -          Et vous alors vous partez à la manif !.

    -            la manif, quelle manif, non on va au salon de la navigation de plaisance, ou pour d’autre, la foire de Paris, bref, encore loupé !

    Saurons nous trouver dans cette foule, un, voir des personnes allant à la manif.

    Essayons encore pourtant quoi, il paraît que l’UMP, à réservé 350 trains pour amener des gens pour cette super manif, tous à la tour Eiffel ! alors faudrait bien qu’on en, trouve au moins un. Remarques c’est jolie la tour Eiffel, c’est vrai ça fait bien plus de trente ans qu’on n’y à pas mis les pieds, c’est peut être l’occasion !...

    Mais pour aujourd’hui notre lieu de villégiature c’est pour nous aussi l’hôpital mémé qui s’est cassée le col du fémur est en train de se remettre et d’apprendre à marcher avec des béquilles, eh bien je ne sais pas si vous avez déjà essayé, mais pas facile, alors pensés à 78 ans…

    Bon voilà pourquoi ils bossent à l’hôpital, voila pourquoi les infirmières ne sont pas dans la rue, même si elles ont fort envie de s’y trouver de dire leur ras le bol de leur conditions de travail, de montrer qu’on à beau être cœur et corps dévoués aux autres à nos prochains, on n’en à mare, cadences, sous effectif, les malades pas toujours facile, mais les toubibs non plus ! et rentrée chez nous on à pas finie il y à les gamins !.

    Oui pas une vie, oui, c’est pour elle que je vais aller à cette manif, pas aux Champs Elysée, ni au Champs de mars, non juste Denfert-Rochereau Bastille. Oui il y aura des drapeaux rouge manquerais plus qu’on s’affiche pas. C’est ça la lutte des peuples et des travailleurs, vous savez ceux qui bossent, pas comme les patrons à Starcosy, eux y se salissent pas les mains ; même pour signer des chèques !la encore ils ont des délégations de pouvoir, pas con ces fainéants, ils font bosser les autres !

    Il n’y a peut-être qu’à la maison, mais de toutes façons bobonne elle ne le voit pas souvent, les gamins ils savent juste que leur père est président, ils disent même qu’il travail beaucoup ; Tu parles, ils font surtout bosser les autres.

    Bon alors cette manif on y va !.

    En effet il serait temps qu’on se remobilise, il va falloir repartir au combat, il faudra bien qu’il comprenne Hutch qu’il fera pas ce qu’il veut il lui faudra compter avec nous.

    Avec Starco, on avait essayé, plus de 3 million dans la rue contre sa retraite, enfin pour qu’il arrête de nous faire bosser jusqu'à ce qu’on soit mort, Ah ben comme ca les caisses de retraite c’est tout bénefs, le bonheur des assurances tu comprends pourquoi ils voudraient tellement que tu cotises à des trucs privé.

    Tiens comme à l’hôpital, ce qui rapporte au privé, ce qui coute au publique.

    Ca aussi il faudra bien que Hutch y fasse queque chose !.

  • Département 59. Comme un lundi.

    Expression biblique, leitmotiv des travailleurs près de la machine à café.

     Là les langues se délient, l’humeur se laisse-aller, certains craignent, tu imagines si, au cas ou, non je n’ose pas l’envisager ; Tu as vue la tête d’intel, alors vont-ils enfin sortir ce plan, tout le monde s’y attend, tu vois les dégâts ; Ou encore, moi j’ai de la chance tu sais avec mon beau père….depuis le temps qu’on voulait le faire….Oh les enfants sont grands, il serait temps qu’on pense un peu à ,nous !...finalement c’est bien fait, c’est vrai que cette affaire,  ça n’est pas de chance, tu te rends compte ressortir ce truc, trop gros.

     Ou toujours « alors chef, on prépare son déménagement, ben dame, les riches »…et la petite pin bèche, je suis sur qu’elle à voté Mesrine….. C’est ça leur brain storming comme ils disent. bah moi  ça m’est bien égale, tiens je suis sur qu’il écoute ce qu’on dit !. Bon faut y aller, à plus !......

     

    Lundi noir en Afrique, la NASA compte sur sa fusée, le ciel s’éclaircie…..En Colombie, les Farqs après avoir fini par relâcher tous leurs otages viennent de faire une nouvelle victime un journaliste…le vent à soufflé à jusque 157 Km/ h arrachant des arbres, des fils électriques sont à terre, le téléphone est coupé, les agents de ERDS qui avaient été mis sur le pied de guerre travaillent d’arrache pied…. Machin, célèbre inventeur de la carte à puce est mort, ses puces lui survivent. Tombé dans le domaine public cette innovation ne lui aura rapporté qu’un succès d’estime, pourtant il aura vécu toute sa vie à chercher…. Le premier mai, c’est l’histoire de ses travailleurs de la soie, qui avaient un jour de congé que chaque année lorsqu’ils changeait d’employeurs.. Obama est chargé de faire rire les foules, il y réussit cette année encore mais n’à pas dit «  à l’année prochaine ». PPDA, n’aura pas de fauteuils à l’académie, il n’a pas obtenu le nombre de voix…Tout cela, tout un monde en quelques phrases, des vies réduites en trois mots.

    Tous ces faits qui nous prennent, trier, garder, archiver, rien ne doit nous échapper, l’homme surhumain doit tout posséder, tout connaître, son ordinateur central emmagasine.

    Dans une semaine la French aura changé de président !...Ah bon, alors le petit, ouf c’est fini, enfin, ça y est il dégage, remarque il le dit un peu quand devant tel sportif, il dit que chacun fait son parcours, que un autre viendra remplacer le premier…. Angéla M ; comme la banque Centrale Européenne ont déjà avalisé ce changement des données….Et semblent vouloir accepter une certaine forme de relance, tout en estimant….

    L’Espagne manifeste, le pays ne sait plus comment sortir de la crise, le roi lui ne sait comment occuper ses journées, fini l’Afrique et ses chasses mirifiques.

    Pour les éléphants et autres gros gibiers, cela fait un prédateur de moins.

    Le téléphone sonne : «  Bonjour, vous êtes bien madame Machin.. Oui je me présente, je suis Angélina… je vous appel pour vous dire que vous avez été tiré au sort, que vous voudrez bien vous rendre à l’hôtel Sofitel de Prouteau les Combines pour y retirer votre lot » ! Foutaise et conneries, je renchérie à la dame, «  c’est gentil de m’avoir appelé, justement je pensais à vous, et me disait qu’une petite rencontre au Sofitel serait l’idée géniale, que j’y avais pas pensé, mais comme elle si alors je veux bien… »

    Zut loupé, déstabilisée elle raccroche.

    Dehors défile dans un énorme panneau, la lessive 0%.

    Oh coup de génie vendre un bidon vide, laver avec rien au moins voilà de quoi préserver la planète, merci Perfide.

    Bon allez dodo, demain sera un nouveau jour, demain qui sait !....................

  • Suite 58 : Dis Papa, comment on reconnaït un chef ?...

    Le ciel semblait avoir fini sa grande lessive, quelques gouttes tombaient encore d’un nuage mal essoré.

    La terre se lave de nos ignominies. Elle balais nos relents se débarrasse de ces effluves, elle se nettoie de vos turpitudes. Elle tient à retrouver son côté midinette, a moins que jeunes soubrette elle accède à vos attentes. Aspire à vous donner le meilleur d’elle-même. Ces caprices mesurent vos souillures.

    Et vous être doué de pensées d’où jaillit la réflexion, vous, dit civilisé, éduqué, aujourd’hui vos querelles intestines, vos minables escarmouches, il vous faut salir, gâcher, vous prétendez que les crottes de nos chiens défigurent votre superbe agencement, ces espaces parfois plantés net comme tiré au cordeau, pas un plant ne dépasse et vos OGM, ou engrais, pesticides débarrasseront les herbes folles, à moins qu’elles ne soient mauvaises, en tout cas disgracieuse.

    Pas une feuille ne doit dépasser, vos vigiles pro-nature surveillent, coupent, taillent, nivelle, calibre.

    L’homme se veut, ordonné, fier puissant, il régente.

    Dame nature à ses règles lesquelles se laissent aller, des arbres semés par le vent prospèrent et croissent, insolites ils égaient nos campagnes, nos forêts. La fleure du pissenlit viendra rompre la monotonie des pelouses. Les trèfles aussi sortiront  du lot, faisant un tapis de ces millions de brins.

    L’individu parfois pousse aussi de travers, voilà qui fait alors ces petits délinquants, à moins que plus grave, quelques tares les sortent des réseaux, de ces têtes biens pleines ; bien faites, et superbement éduqués, deviennent violeur, escrocs.

    Nous ne sommes pas toujours égaux devant la naissance, certains prétendront mieux réussir, quand d’autres seront à la merci de leurs concitoyens.

    La maladie, comme l’âge fait partie de cette différence.

    La nature humaine à aussi ses mauvaises herbes.

    Pourtant notre civilité nous permet d’effacer ces difformités.

    L’éducation est sensée mettre tout le monde sur un pied d’égalité, c’est aller un peu vite, et, comme il y à des grands des petits, il y aura certains ayant plus de facilités, et d’autres. Pour faire du bon pain il n’est pas besoin d’avoir fait l’Ena, ni sciences Po ou bien Polytechnique.

    La valeur des individus ne se mesure pas à son degré d’instruction, mais à sa faculté de s’en sortir, voir de s’adapter.

    Il en est de même de nos frères de couleur, qu’importe cette pigmentation de la  peau, qu’importe leur choix religieux, ni leur manière de vivre.

    Comme tous ils travaillent, éduquent leurs enfants, les arbres de la forêt ne sont pas tous identiques. Pourtant ils poussent, parfois mélangent leur cimes, certains iront tout droit, d’autres de travers.

    L’homme roseau pensant va aussi de travers et aura des écarts, même nos super cerveaux ont parfois des déviances, faut-il s’en accommoder. ?

    Trouver le juste équilibre et  celui qui saura gérer tout cela, tous ceux là.

    Que  notre Starcosy ayant plaidé pendant cinq ans, la cause de la réussite, et ait mis hors du chemin tout ceux en désaccord, ou  de  pensée différente.

    Le changement c’est maintenant, assure Huch sui à son tour propose de changer de remèdes, fini les potions de cheval, revenons en aux remèdes de grand mère….

    Puisque le mal est fait, il nous faut essayer, et chercher les traitements qui nous redonnerons goût, à la vie, et rendra au pays une certaine normalité, et un art de vivre une simple sécurité.

    Plaideurs orgueilleux ou gens de biens, même s’ils n’en ont pas.

    La juste cause, le vrai choix c’est celui de l’humain, de l‘éducation, du développement, du vivre ensemble.

    Moi j’en veux.

  • Chambre 57. La suite, j'ouvre une porte !.

    Elle avait traversé ma vie un jour comme ça en courant. Je n’avais pas marqué cette présence.

    Comme à mon habitude, mon chien accompagnait mes ballades, comme chaque jour, nous faisions corps avec cette nature, la terre humide des sous bois, ces pelouses, tant de jeunes pousses dans cette immensité à perte de vue, à n’en plus voir la fin, Tiens ils ont plantés des tulipes, oh ces taches rouge sur cette ile ; Et nos pieds nous portaient, insensibles ils allaient de l’avant.

    Un pas, encore un autre, Tes bords, toi Marne coulant sereine, rarement emballée, tu poursuivais cette tranquille assurance, rarement trop pleine, tu savais porter les flots de tempétueux orages, ou impassible, nulle pluie ne semblait t’atteindre, juste se mêler en toi ; et  tu ne semblais jamais débordé.

    Paisible tu coulais des jours heureux, tes berges, toujours à découvert, montraient le mal que tu te donnais pour être au niveau.

    Souvent aux files de tes maigres courants, tu laissais voir tes fonds, et ces souches à fleurs d’eau, reposoirs à oiseaux.

    Des Cormorans stoïques semblant se sécher toutes ailes déployés, ou tes canards se coursant, d’un vol saccadé, derrière quelques femelles, tout n’était que jeux. Ces cygnes lourds frappaient l’eau pour appuyer leur envol, puis ces cris rassembleurs, comme pour évacuer une zone, peut-être trop risquée ; A moins qu’ils ne noient leur long coup, la tête en plongée fouillant ces fonds nourriciers.

    Chaque jour je cheminais, tu courrais, nos échanges pour civilisés qu’ils fussent, restaient ce salut, simple marque de respect, partagés entre eux foullées.

    Juste un bonjour échangé au gré de tes  souffles court, comme un ce cri d’oiseau semblant nous pousser «  plus vite, plus vite !.. »Pourtant tu as stoppé, tu es venus offrir un baisé, affirmer ce besoin de connaissance, de  partage.

    Dans un souffle, juste un répit, simple bol d’air.

    Cet élan que tu as renouvelé, juste une embrassade, simple clin d’œil quand l’un s’offre une évasion, et l’autre marche vers son destin, imperturbable, cette course s’emballe.

    Parfois je t’attends, t’espères, aucun signe, nulle détour qui nous permette cette rencontre, ces retrouvailles.

    Alors dans mes tribulations il demeure cette recherche, je t’espère, et chaque lendemain une nouvelle errance, des tours pour essayer de te revoir, tu sais j’ai de la suite dans les idées !.

    De toutes façons nos destins se retrouveront forcément, au gré d’un simple détour alors saurais-je capter ton besoin, je ne te cours pas après, je marche à mon rythme, je serais encore cette pause, ta recherche d’un nouveau souffle.

     

    Et toi très tendre amie, tes mots, propositions m’invitent, aux détours d’un autre chemin, ou tu t’offres, comme tu proposes ces petits festins, rencontre provoquée ou pour un simple passage, juste une visite, tes sous entendus, des mots équivoques que je fais mine de n’avoir pas percuté.

    Braves tu t’offres presque, et moi penaud, je fais celui qui ne comprends pas. Je passe à coté, je fuis même pourquoi ?.

    Toute ma vie j’ai esquivé, toute ma vie j’ai joué, je me suis refusé, j’ai triché.

    Et si j’avais  moi aussi, ce désir cette envie, alors c’est elles qui se refusaient.

    Cruelles turpitudes, J’y ai laissé, aux files de ces années passés, plus que des regrets, et tout ce temps perdus.

    Et ma vie qui est resté sur le bas côté ; je m’en suis contenté.

    Aujourd’hui, il est temps je déchante, je m’ennui, je me sens oublié.

    Trop tard, je suis passé, j‘ai laissé ma vie sur l’autre rive.

    Et si je me retourne, mes regards vers ce vide me laissent tellement songeurs.

    Alors demain, oui à demain.

     

    A Suivre….

  • Chambre 56 . Encore un jour sans, ca vient .

    Hardi petit, haut les cœurs.

    La victoire est au bout, et cette ombre qui plane, ne saurait cacher ce soleil même s’il est encore voilé.

    Parler, toujours, convaincre porter haut le drapeau, fier flambeau, étendard ou fanion, il indique cette nation, laquelle revendique, et tremble dans l’attente.

    Porteur de notre espérance, ne trompe pas ces braves, gens de biens. Tu porte la flamme de tout un peuple, et chacun encourage ton irrésistible ascension.

    C’est bien une adhésion qui te pousse, et le courage de cette nation, tu entres dans l’histoire, représente, et porte cet élan, ne les abuses pas.

    Ta tâche sera rude, soit juste, sincère, redonnes à tous ces braves, enthousiasme et courage.

    Reconstruit ce pays que d’autres ont mis à mal.

    Si la peine est rude, devant l’ampleur ce cette fabuleuse mission, tu peux compter sur pleins de talents et de nombreuses richesses, si tu sais leur parler, si tu veux aider, ils accompagneront ta réussite.

    Sans oublier du travail pour tous, et que celui-ci bénéficie à ses gens ordinaires, et non à des castes qui ne prétendent qu’à entasser des richesses, et piler les nations.

    Stop aux rémunérations mirobolantes, avec les salaires de ces gens là, il y a de quoi faire vivre et travailler des centaines de bons et braves, bras, mains tètes aussi.

    Ces richesses porteuses d’espérance s’offrent à toi, accompagne les dans la réussite.

    Les pauvres sont riche d’espoirs, et cette jeunesse oublié, avec des perspectives tu verras ils sont biens, redonne leur justes quelques valeurs moral surtout.

    Tu vois il y à du boulot ; il faut simplement s’y mettre.

     

    A Suivre…

  • Chapitre 55. Le changement c'est maintenant !.

    Reprenons simplement ce slogan de campagne, et prônons le sens qu’il nous indique. Comme pour accompagner la suite de notre regard sur ; Les vitupérations de l’un, face à la force persuasive et tranquille de l’autre.

    Rare déferlement de haine, de violence, de saloperies ; surement que l’enjeu est à la taille, non des hommes mais des arguments utilisés.

    Donc Hutch à, je pense l’avantage de rester digne, d’avancer ses  projets, d’essayer de convaincre, au point que le déferlement de Starcosy, ses grossièretés, ses apitoiements quant aux électeurs du Front National, font passer au second plan, la sincérité du candidat socialiste.

    Il est certain, je l’espère que tant de reniements, tant de bassesse du clan de la droite ne pourra que se retourner contre ceux-ci.

    Le peuple de French excédé par des années de Starcosysme, saura montrer le 6 mai, et son attachement à la démocratie, et porter à la direction du pays, à la responsabilité des affaires, un homme propre honnête, digne ; à contrario de l’autre qui baigne et patauge dans les affaires.

    Cette probité passe par le respect  des valeurs, par l’écoute des travailleurs, des simples gens.

    Hommes de bons sens courage encore 11 jours, et enfin une autre France verra le jour, il serait temps.

    Juste un mot sur cette affaire dont je ne saurais dire le nom, peu importe, un policier tire et atteint mortellement un « dangereux individu » qui s’enfuyait.

    Touché dans le dos ! Vous avez beau protester, essayer de justifier la légitime défense, le file est trop gros, sans compter que expliquez nous ?  nos policiers gens de la bac, ne sont sensés ne posséder comme arme style Teisers ou autres flashball , ce n’est pas le GIGN, ni les autres corps d’elites équipés eux de pistolets : Alors Touché coulé !.

    Bien sûr la police manifeste, certes ses hommes sont comme tous passible devant la justice, de la présomption d’innocence, mais qu’un juge, devant la gravité des faits prenne des mesures conservatoires de mises en examen, en attendant que cette même justice fasse son travail. Et alors Normal rien à dire.

    Donc stop à votre déferlement d’invectives, et à votre simagrée de protestations.

     

    A suivre….

  • Chapitre 54. La chasse est ouverte !

    Certes elle l’était depuis longtemps et nos ministres de l’intérieur, successifs ne se sont pas privé, pour, poursuivre, chasser, enfermer, renvoyer des gens « indésirables ».

    (que l’on ne veut pas, car ils ne correspondent pas à leurs, à nos critères).

    Qui es tu pour juger ainsi, Ah un grand hôtel restaurant, du genre Fouquet’s qui emploie, irrégulièrement, des travailleurs non déclarés, sous payés, comme au bon temps de la traite des nègres !.

    Que l’on, que vous par vos discours, vos actions stigmatisiez, des populations entières ; Roms, Arabo-musulmans. C’est vrai que certaines viandes sont moins chères que d’autres. Et dans vos supers marchés l’intérêt passe avant tout.

    Seul trouvent gré à vos yeux la race Blanche, blonde, a l’Allemande ; Ca ne vous rappelle rien ?

    Après avoir prétendu que ces hommes, ces femmes volaient le travail des Franchais, après avoir cherché à relever haut le drapeau de l’identité nationale.

             Puis avoir sous entendue que certains, trop à vos yeux étaient aidé, et donc encore des nuisibles.

    Maintenant vous entendez, séparer les travailleurs, des chômeurs, des oisifs !

    Tristes sir qui avez donnés vos voix et tous les arguments au front national pour vivre, croitre et embellir, plus  prospérer.

    En 2007, ce même petit jeu, vous avait rapporté, aujourd’hui, ces  électeurs reviennent à leur extrême d’origine. Et vous êtes là à quémander, à minauder pour retrouver leurs suffrages, plaidant que le parti en question n’est pas illégitime, que sa candidate avait raisons et toutes les raisons de jouer dans votre jeu, de se positionner pour égarer, tromper, illusionner les foules.

    Vous vous attendez avec quelques pirouettes, retrouver ces gens que vous avez volontairement mis sur un chemin de travers, mais parallèle au votre, réserve de voies, réserve d’énergies, ou poires pour la soif ?.

    Certes ces esprits simples trompés abusés se sont fourvoyés.

    Pourtant tous ces honnêtes citoyens, ne vous reviendrons pas, la bassesse à ses limites, peut-être pas chez vous.

    Oui ces gens, des jeunes des vieux, des travailleurs dépités de la politique, de votre politique, de vos abus, de vos simagrées.

    De tous ces malheurs que vous nous avez apportés.

    Allez disparaissez du vent, dégagez tous ces Starcosistes.

    Demain la France retrouvera son image dans le monde.

    Un autre visage, enfin, rendra son crédit à nos talents, à nos esprits, à nos humains.

    Vivement demain !

    Il nous faudra rouvrir les écoles que vous avez fermés, recréer toutes cette activité perdue, disparue.

    Aller à demain tous le monde !.

  • Chapitre 53 La vie quoi !

    Ah ces petits matins qui déchantent, enfin l’humeur n’est pas au top ; Peut-être les agapes de la veille, à moins que ce ne soit, à retardement un reste de ce résultat, Oh putain ces élections.

    Attends j’ai l’impression de prendre ça comme une défaite personnel, bon sang je n’y suis pour rien, je suis sûr que mes mémés ont voté Marines.

    Oui ces petites vieilles, oh gentille, bien vrais.

    Raciste, évidement, éduquées pas trop, le genre de discussions qui tournent autour de : »alors qu’-est ce que tu mange à midi ?, moi ce sera… », je m’en fou de ce quelles bouffe, et l’autre qui surenchérit toujours, « eh ben moi je »….j’exècre les moi je.

    Eh oui mes compagnes de sorties le matin, comme on dit petit tour les chiens : « Oh ça fait la quatrième fois qu’il fait sa crotte depuis ce matin ! »

    Oh merde, compter le nombre de fois que, eh oui,….  « et toi tu fais quoi à manger »… ?

    Moi je reste muet, je m’en fou, je rentrerais ouvrirais le frigo je verrais bien, j’improviserais.

    Et toujours la sempiternelle « t’as entendu aux infos »… Ben oui sûrement, mais lui dire que mes centres d’intérêts ne sont pas les même ; ses histoires de bouffe, de crottes et de chiens écrasés.

    Pitoyable, mais voilà c’est mon monde mon environnement, mes voisins, mes rencontres.

    On choisi pas sa famille, ses voisins non plus, il faut bien se tenir compagnie, et oui des petits vieux comme moi, avec leur mal de dos, ou dans les jambes ; Aujourd’hui, c’est mon épaule, je sais moi aussi, le temps disent-elles et mon rhumato qui est en vacance ! je leur dit qu’elles ont qu’à prendre des médocs, « avec tout ce que l’avale déjà, mais avec mon estomac je peux pas prendre n’importe quoi, tu comprends, et que je suis obligé pour mon asthme, sans compter mon diabète » oh la pauvre !.

    La dernière fois elle avait voté Sarko, bon évidement il l'a déçu, «  Alors lui plus jamais, tu as vu cette montre à cinquante cinq mille euros, un cadeau de Carla comment on peut porter çà la mienne tu te souviens je l’ai eu avec les points U. »

    Ben oui, moi aussi j’ai une montre acheté chez Lidl, six euros, eh oui, pas le même monde !.

    L’important c’est d’être à l’heure, même si cela n’a plus guère d’importance, encore que cette obsession de devoir entendre, écouter les infos pour se tenir informé, sentir l’opinion, cette fenêtre ouverte sur le monde ; de se sentir vivant participant, alors moi je me joue de ces arguments, de leur, maintenant voici la météo, alors après on attend ,la mettez bas, évidement encore demain le soleil se lève à… c’est une chance, il pourrait rester coucher, se mettre en grève ou prendre des RTT, t’imagines.

    Bon pendant ce temps nos Starco et Hutch rivalisent eux aussi, « moi je lui propose trois débats, histoire de voir ce qu’il à dans le ventre « !. Et en bon chef il relève que ses presque ex ministres eh bien ca tirent un peu dans tous les coins, remettre de l’ordre, re -prendre le devant de la scène, s’affirmer, se positionner, se faire entendre et se faire voir. Il veut encore croire qu’il peut gagner ; Et ma foi qui sait ! Oh non, pas encore…

    Et l’autre Hutch, sui prend le train comme monsieur tout le monde, c’est ça le populaire, il y en a un qui en cause, l’autre qui fait.

    L’un, l’autre, encore douze jours, non je ne puis m’extraire, attiré malgré moi, comme ces soleil, la fleur qui se tourne vers l’autre le vrai, celui qui éclaire, réchauffe.

    Je regarde spectateur passif certes, néanmoins je colle à la roue de notre vécu ce quotidien.

    Eh toi le chien, on y va, tu as du courrier au pied des arbres….

    A suivre…