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Feuilleton - Page 15

  • Chat Pitre V (les écuries d'Augias)

    Une autre affaire fit grand bruit, on se souvient comment le berger Allemand de Starcosy, la gratieuse Merkelita ; or celle-ci déclara dans un édito de ses journaux qu’elle s’opposerait à toute promenade dans son jardin par notre  valeureux Hutch, il ne fallait pas que celui-ci risquât de marcher dans les crottes.

    Celui-ci répliqua que ca n’avait pas d’importance il attendrait pour venir se promener dans les jardins de la weirmart que ceux-ci fussent nettoyés, comme les écuries d’Augias ; et que d’ailleurs il préférait les sorties en France, donc un pétard dans un verre d’eau, si ce n’était toute la très droite Française  poussée dans ses extrêmes par Plaute Gléant en tète stigmatisait l’étoffe de héros de notre  porte drapeau.

    Et à propos de pétard nos acolytes de droite ne voulaient pas en entendre parler, alors que notre ami Hutch ne se résignait pas à l’envie d’en brûler un petit,  histoire d’encourager la consommation

    Starcosy bégueule prétendait n’avoir jamais ô grand jamais touché à çà, il jurait ces grands dieux, ceux de la sainte Autriche en tète.

    Pendant ce temps, retrouvons notre Hutch, quasi National, en effet il avait acquis  une prestance, avec l’aura laissé par les résultats des différents sondages il se voyait montant les plus hautes marches du podium, mais il restait en bute avec les journalistes et les footballeurs, pour ces derniers on comprenais, ils allaient tous devoir s’expatrier au Quatar ou au Munich de Bayern, voilà qui leur posait un vrai problème de conscience, pourtant nombreux étaient ceux qui ne gagnaient pas des sommes mirifique et peu d’entres eux risquaient de payer le fameux impôt dite de la vaches maigre.

    Et les journalistes me direz vous, de leur coté aucun danger, seuls ceux voulant aller faire le pitre en Syrenie, ou dans quelques pays au aboie risquait leur vie, les autres confortablement installé dans leur salle de rédaction, pas très loin de la machine à café mettant une dernière touche au pli de leur pantalon lequel devait être le plus droit et impeccable pour la conférence de rédaction.

    Celle-ci devait faire le point sur la manière de plaisanter, sur tout ce qui peut être récupéré quand ça dépasse au delà des 75 %.

    Allait on devoir tondre les moutons ou leur laisser de quoi passer l’hiver, et raccourcir la profondeur des poches, mesure qui permettrait à nos richissimes de ne plus pouvoir s’en mettre plein les fouilles.

    Question cruciale  par ces temps de disette.

    Une autre mesure, lancé par quelques déçus dans leur ménage était le mariage des genres, fallait il marier les Homologues, en sachant qu’ils ne seraient plus anonyme.

    Une affaire pas bien sorcier, mais chacun avait sur la question son point de vu.

    Starcosy était Antilibéral et Hutch plutôt démocrate car la aussi une question divisait allait-ils pouvoir faire des enfants, et chacun y allait de son discours, » mais que diront’ ils plus tard de leur état de fils de la nation, et comment allait on reconnaître ses petits ?

     L’autre arguait que « de toute manière un papa et une maman, homme ou femme c’était pareil. »

     

  • Chapitre IV (les plateaux télé)

    Dans ces batailles le passage obligé restait les plateaux de télé,  ceux qu’on nous sert le soir devant notre écran plat ;

    là notre Starcosy montait sur ses grands chevaux, «  je vais vous dire la vérité, vous me connaissez, vous savez que je n’ai jamais raconté des histoires, vous ai-je déjà menti, vous savez les Français nous regardent, ils savent que je suis là pour les servir, la vérité est qu’ils ont besoin de moi, l’Europe à besoin de moi demandez à cette bonne Madame Merkelita.

    Déjà j’ai sauvé la Grèce de la faillite, alors vous pouvez me faire confiance. Bien sur ce ne son pas nos braves commentateurs avec leur air ingénu de chérubin qui oseraient contredire ce stratège.

    Vives la Raie Publique, vive lui, le petit roitelet.

     

    L'autre Notre Hutch, même s’il était quelque peu ramolli par les projecteurs semblait se fondre dans le décor et il voulait que l’avenir du pays ce soit lui.

    Il avait pour cela déjà recommandé d’augmenter le plafond du livret d’épargne, que diable les pauvres s’ils n’avaient pas d’argent pouvaient au moins penser qu’un jour ils en auraient, aussi la nouvelle fut accueillie avec liesse.

     

    Pour faire bonne mesure notre Starcosy imagina lui aussi redonner du pouvoir d’achat à ses compatriotes, aussi il commença par prévoir de faire augmenter de 30% la hauteur des maisons, au moins les gens auraient de l’ombre, et pourraient stocker la nouriturre.

    Ensuite il voulait faire travailler plus les professeurs, s’ils opéraient plus ils gagneraient plus CQFD ; c’est comme ça qu’on arriverait à stopper l’hémorragie de la vache molle et cela redonnerait le morale au troupeau.

  • Chapitre III (vive la campagne)

    Pendant ce temps Hutch Mollet ne s’en laissait pas compter, et ne se démontait pas et lui aussi parlait de la France tranquille, il alla même annoncer qu’il remettrait en place un gouvernement des droits de la femme, qu’il fallait que celles-ci retrouvent leurs places, bien sur en premier lieux à la traite des vaches, n’était ce pas là le fleuron de notre pays, et comme aurait pu dire  François Bé route, les deux mamelles de la France, de là à dire que la femme est un peu vache.

     

    Toujours l’air enfariné il pérorait, fière de sa place de premier de la classe ; sa basse cour prétendait récolter le grain semé depuis son arrivé à la campagne, lui aussi allait discuter le bout de gras avec les électeurs, il avait mis en marche la machine de son Parti Serein, et attendait de récolter les fruits, pour faire des confitures.

    Il savait que la moisson serait bonne, mais il lui fallait garder la ligne.

  • Chat Pitre II (tous pour un)

    Donc Starcosy trouva l’histoire des vaches quelque peu exagérée, Comment s’indigna t’il donner aux restos du Cœur, mais quel outrage, du coup il indiqua vertement qu’il ne tolérerais plus aucune vache, veau, cochon, fussent ils à l’ail, dans les cantines de la Trépublique, heureusement que sa femme la douce  Starlita,  Scarlàtine  Burundi, Vivaldi, et touti, ne consommerait plus hors des limite du département, et que la chasse aux Vaches étrangères allait être menée de haute lutte par le bon, brave en valeureux Plaute Gléant, un vieux de la vieille qui avait fait son rizzoto en chine, aussi il fallait pas lui en compter il savait ou étaient les étrangers et qui profitait de la gamelle.

    Donc après son coup de colère, notre Starcosy monta sur toutes les scènes de France et de Navarre, pour expliquer son programme.

    La foule nombreuse, et chaleureuse comptait les recrutés de l’agence d’intérim local, le staff des anciens de la légion UMP, L’Ecloppé en tète forcément il lui manquait une case ;  Starlita et ses bonnes œuvres, les anciens de Chez Carla Kerfeld, que des copines d’ailleurs toutes étaient sans voix, mais assuraient la claque.

    Oh le beau parterre, il ne manquait que les fleurs, mais en cette saison !  la ville avait refusé de les sortir, et ils durent faire sans.

    Biens sûr l’Ecloppé protesta et décréta qu’il allait faire un musée de la résistance, que face à la marée humaine attiré pas les frasques de notre Starcosy la France ne pouvait que partager ses valeurs d’autant qu’elles étaient toutes tréspublicaine voir même basique, avec sa femme il connaissait la chanson.

    Ainsi de routes en déroute, il égrenait ses chapelets partisans et la campagne allait un train d’enfer…..

  • Chapitre I (de Bordeaux au salon de la Griculture.)

    StarCosy,  et Hutch Mollet.

     

    Suite de notre célèbre feuilleton.

    Chapitre One.

     

    Ainsi retrouvons nos deux compères, ils se sont pour l’instant séparé et battent la campagne

    Hier souvenez vous notre héro StarCosy voulait visiter Bordeaux la ville de son ami Juperstitieux, celui qui rêvait d’envahir la  Syrénie.

    Seulement un terrible et fâcheux comité d’accueil ayant eu vent des affaires les  attendait et ce fut un magistrale lancé d’œufs qui les reçu.

    Nos  héros dépités durent battre en retrait et se protéger, ils rentrèrent  alors tout simplement se réfugier dans un bistrot  « Au père Tranquille ».

     

    Pendant ce temps, Hutch Mollet en campagne lui aussi, gambadait fièrement dans un poulailler, pas très loin de la ferme célébrité du coté de la porte de Versailles, là il fut devant l’ampleur de toutes ces carcasses animal pris d’un doute et décréta que Cent vaches pour un agriculteur, c’était normal, bien : mais au delà cella deviendrait un luxe et il proposa d’entré de taxer à 75 % toutes bêtes supplémentaires, voilà qui rapporterais de la viande pour les restos du cœur. Tollé générale dans la mezzanine des horribles journalistes lesquels prétendaient donner de la voix.

     

     Ne ratez pas demain la suite de notre super production

    Starcosy et Hutch Mollet.

    Et merci de votre aimable acceuil.

     

  • Chapitre Zero. Présentation, Avis de l'auteur.

    Cette histoire est une histoire vraie, bien sûr travaillée en pastiche, mais nous noterons que nos protagonistes, peuvent continuer dignement à servir l’histoire et faire perdurer le célèbre feuilleton de notre jeunesse.

    Toute loufoquerie ressemblant à la vérité ne pourra pas être reproché  à l’auteur.*

     

    • NDLR