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Feuilleton - Page 7

  • Chapitre 69. Ouf enfin. Adieux Starco !.

    Parodie d’une vieille chanson de J Brel, Adieux l’Emile, dans le Moribond ; on t’aimais  pas bien…(reportez vous à votre youtube habituel.)

    Bon on va pouvoir tourner la page, et oui comme tous les feuilletons, certains perdent leur acteur fétiche, même JR à eu sa fin Merci et tant mieux !.

    Cruel perte, pas toujours ; pour les Dr House, Desesppérate je ne sais quoi !… ou tant d’autres séries Américaine  (désolé cela ne fait pas parti de mes centres d’intérêts)

    En tous les cas, Starco ne prépare pas une nouvelle saison, comme ils disent.

    Alors notre choix  reste de retrouver Hutch, de suivre ses aventures ; nos deux compères définitivement séparés. N’est ce pas là, la vie de beaucoup de couple.

    Voilà les nouvelles bases sont posées.

    Et déjà, nous retrouvons celui-ci, pas encore aux commandes du pays, mais nouant contact, cherchant à composer son équipe, prenant le pouls.

    Il investit le personnage avant que d’entrer en fonction, comme essayant l’habit avant de le porter.

    On n’entend que les commentateurs réclamer le nom du futur premier ministre ; Nombres des éventuelles possible  rejettent une nomination, le futur président pas encore investi il à raison de ne pas dévoiler ses combinaisons de gouvernement, bref cette envie de toujours vouloir devancer les choses.

    A chaque jour suffit sa peine, et si nos journalistes, commentateurs ne savent pas de quoi parler, certes ils ont une image à tenir, et devant les médias le silence n’existe pas dommage.

    Ils ont pourtant suffisamment repassé ces derniers temps l’image de Giscard disant son «  au revoir », et l’interminable silence qui en suivit, la porte étant plus loin qu’imaginé.

    Alors gens de télés-radios, on ne vous demande pas de vous taire, non, mais déjà de ne pas dire n’importe quoi histoire de combler, ensuite, au lieu d’accélérer votre débit, pressé que vous êtes, apprenez à vous délecter des événements, à jouir de situations, à nous laisser digérer les éléments du langage.

    Réapprenez votre métier, redonnez lui la noblesse qu’un Jacques Chancel offrait, et à ses intervenants, et à son auditoire.

    Ah la classe, la sérénité.

    Allez réfléchissez à cela, à demain.

  • Chapitre 68. Chapeau !.

    D’abord, 20 h. une immense clameur monte de la rue, les radios la télé annonce.

    Ensuite bla !... bla…

     ….on attend le  nouveau président, ça y est il arrive, il fend la foule, la place de la Bastille est noir de monde.

    Même le chien doit savoir qu’il se passe quelque chose de pas ordinaire, lui toujours si prompt à venir aux nouvelles pour sortir, ce soir, il est zéro h et plus il ne moufte pas, attends patient, comme, nous qui regardons, écoutons ce déferlement de commentaires, de témoignages, de directe, de..enfin ça y est.

    Oh ! certes le score, s’il est suffisant, n’est guère très brillant ; 51,7  %et     1 115 000 électeurs d’écart entre les deux.

    N’empêche Starcosy à reconnu sa défaite, à annoncé, qu’il remerciait les électeurs…

    Qu’il souhaitait bon courage à la France, qu’il se retirait mais gardait un œil…

    Pendant ce temps Hutch, traversait la France, fendait les foules, des milliers de poignées de mains, des centaines de millier de supporters, des moments de longues et terribles incertitudes pour les journalistes commentateurs postés, au quatre coin de l’hexagone comme sur la place mythique de cette Bastille ; Ainsi Trente et un an après un autre François,  Mitterrand lui, il est l’objet de toutes les attentes des Français, surtout ceux  réunis là ce soir.

    Ce soir chez nous il est tard certes, et les rues sont déserte, elles sont entièrement livré à mon chien ; lequel comme à son habitude, va collecter ses messages aux pieds de chaque arbre.

    Donc ce soir mots magique, respect, merci, et à demain.

  • Article 67.Le grand jour !.

    -          « Tiens déjà il faudra ne pas oublier de faire un erratum dans mon blog ; Oui, j’avais pronostiqué il y à six mois que le PS prendrait une branlé, et que jamais deux sans trois…Bref, savez qu’à retourner voir, » le petit coin du râleur »

    Ok moi je suis beau joueur, et je n’hésite pas à faire mon mea culpa, normal, il faut savoir reconnaitre ses erreurs, pour ça je ne suis pas chien.

    Même si je n’irais pas voter, la dessus je reste fidèle à mes principes, j’ai voté une fois PS en 1981, jamais plus ils n’auront ma voix ; Moi on ne me trompe pas deux fois, alors pour les histoires et pour l’histoire avec un grand H je suis avec eux dame je ne vais pas donner ma voix à l’autre petit teigneux de la droite extrême.

    J’ai mes principes anciens gauchiste, plutôt anarcho, en tout les cas révolutionnaire, bref, la gauche mole ou la droite dur, ce n’est pas mon style, je ne cautionnerais pas leurs magouilles. Il n’empêche je préfère voir gagner ces traitres que ces salonards de droite, chacun ses contradictions et chacun ses vieux démons.

    Pour ma part je m’accommode assez biens de ma situation, critique et lucide !.

    Surement que les puristes me prouveront que en m’abstenant….Ok, pas de problèmes, en plus quant il faut je n’hésite pas à descendre dans la rue ; C’est une bonne école la rue vous savez, demandez à nos S D F, et eux est-ce qu’ils votent, oh le droit ils l’ont mais question de pouvoir s’inscrire, sans adresse,  je doute ? et puis leurs choix dans leurs situations, alors vous entendez, il y en à un qui prétend faire un peu payer les riches et l’autre qui lui fait des cadeaux aux riches, mais qui s’intéresse  aux pauvres aux moins que rien, n’est ce pas ainsi qu’ils nous dénomment  «  Exclus, moins que rien ».Bien sûr nous ne rapportons pas, et dans leur PIB, nous sommes plutôt une épine ; mais vous savez nous ne coutons pas grand-chose, peut-être juste un peu quant- il s’agit de nous enterrer, ils sont obligés de faire des recherches de nous retrouver une histoire, un passé , et de trouver qui va payer les frais, voilà notre sinistre réalité.

    Nous ne renions pas pour autant tous ces Organisations Non Gouvernementale, qui essaient de nous venir en aide, merci au Secours Catholique de mettre à notre disposition un kit d’hygiène, comprenant un bout de savon, une brosse à dents à usage unique, comme le préservatif, ben sur nous aussi on à nos envies, nos désirs et nos pulsions ? ils auraient pu rajouter une petite bouteille d’eau, voir un slip en papier, comme dans les quartiers de haute sécurité ; ou un rouleau de P Q, enfin notre attente est énormes comme nos besoins, mais c’est gentil de penser à nous. Pour la toilette on s’arrange, merci à Decaux de nous laisser l’entrée gratuite de ses sanisettes, pour nous s’est un plus.

    Voilà c’était mon coté Abbé Pierre de l’abée souri, un regard croisé sur des situations qui ne prêtent pas à sourire, et sur lesquelles personnes ne devraient se croiser les bras. !.Ni leur jeter l’opprobre, nul n’est à l’abri !.....

    Et à propos de quarter de sécurité les prisonniers, eux est ce qu’ils votent, ben non pour ceux condamnés à une peine ils se trouvent du coup privé de leur droit civique.

    Ceux en attente de jugements devraient voter, comment ca se passe, je ne sais pas n’ayant jamais été du côté de cette barrière.

    Peut-être de gentils lecteurs pourront nous apporter des précisions ; merci d’avance.

    C’est facile vous trouver pas comment on arrive à remplir des pages sans parler de nos deux escogriffes. Starcosy, et Hutch.

    Rappelons que dans peu d’heures pour le premier c’en sera fini, pour le deuxième les ennuis commencent, Allez au boulot.

    Remarquez les surdoués de Tweeter, ou autres, si vous aves des infos avant vingt heures nous sommes preneurs.

    A vous Paris à vous les studios.

  • Article 66. Le jour d'avant !.

    Alors samedi, d’abord jour des courses.

    Défilé chez carrefour, vous arrivez, comme à son habitude le parking est plein, vous faites trois fois le tour avant d’aller vous perdre au 2eme sous sols,  à trois kilomètres de vos lieux d’achats, bien sur vous commencez par râler, putain, fait chier, c’est toujours comme ça le samedi, depuis le temps que je me dit qu’il faudrait bien que je finisse par changer mes jours.

    Arrivé à l’espace caddies il vous faudra trois essais avant d’en trouver un qui roule à peu prêt droit ; ce qui est très important, car vu le monde il va falloir faire du rodéo entre les clients.

    Dés l’entrée vous êtes agressé par la musique d’ambiance, laquelle déverse ses flots de messages publicitaires, tous plus débile les uns que les autres, « alors aujourd’hui au rayon vin vous pourrez emporter lot de six bouteilles de saint Machin, directement en provenance du petit producteur, lequel vous offrira en plus un saucissons pur de là-bas, en direct de la copropriété !.

    Maintenant Madame, ne loupez pas notre super promotion sur les yaourts, pour  le lot de 24 vous en aurez trente, un miracle la multiplication des petits pain, rien que pour vous mesdames… »

    Oh zut moi je veux juste des sacs aspirateur,  ça y est j’ai bien sur oublié la marque de l’appareil en question, et devant la vingtaine de modèle exposé, rappel toi le numéro c’était pas 301, non peut être 501, toujours pas ça, ca m’énerve, la prochaine fois je prendrais un model, sinon la référence.

    Attends là, je suis devant le rayon des cartouches d’encre pour imprimante ; là je sais j’ai une Dell laser 1101, Oh chouette un vendeur, c’est bien de leur avoir mis des vestes, indiquant leur état.

    -          Pardon Monsieur  dites s’il vous plait, ça coute rien d’être poli, ou pourrais-je trouver le model pour ma machine…..

    -          Nous on ne vend pas ce modèle là mais je vous conseil telle marque, vous savez c’est la meilleur !

    -          Ok merci, c’est pas ce que je lui demande, mais comme d’habitude je  ne trouverais pas, bon je passerais ma commande directement auprès de ma marque, par internet, classique non ?.

    Après deux heures vous ressortez de là vidé, le porte monnaie allégé et le caddie plein, d’ailleurs il y à bien une dizaine de chose que vous n’auriez jamais pensé d’acheter, tiens comme ce triple mètre avec visée laser, et témoin à bulle de niveau, trouvé dans un fatras d’outils de ficelles et de bricoles en tout genre.

    Ah le chien lui il est gâté, oreilles de cochon grillés, size euros les douze, oh la vache, plus les petites barres à mâcher de toutes les couleurs, en reconstitué, en peau de buffle, pleins de chou-chouteries !

    Pour la petite dernière, bof ! cette petite poupée de chiffon, elle fera les poussières avec, au moins ça l’occupe, du haut de ses deux ans elle passe partout, avec ses poupées, ou son bib, qu’elle propose à un petit chat vu à la télé, c’est top pour l’écran !

    Pour l’autre les classiques livres de coloriage avec les crayons faits pour, au moins pendant ce temps elle ne sera pas devant la télé, à regarder des dessins animés plus débiles les uns que les autres, ce n’est pas ça, dans l temps il y avait des messages certes, mais cela concernaient les valeurs, ce qui est bon, ce qui est mauvais, aujourd’hui c’est, que des référence qui à l’argent roi, voilà la force d’untel sur l’autre.etc…

    Soudain alors que je parcours les trois cent mètres qui me séparent de la voiture, cette impression d’avoir oublié quelque chose de fondamentale, mais ca vous revient pas ; bon tant pis, Ah si la mousse nettoyante pour le tapis, Ah non je n’y retourne pas, on verra ca la prochaine fois, de toute façon entre le chien qui perd ses poils et les gosses, il y aura qu’à passer un bon coup d’éponge avec du Saint Marc.

    Allez ! on rentre. Et le chien qui attend dans la voiture demande quand on va se promener, pour lui ca veut dire courir dans les bois, et les pelouses voir sur les bords de Marne, vous lui proposez bien de descendre faire un petit pipi, mais pour l’instant ce sera tout. En tous cas il jappe de plaisir de nous retrouver. Eux au moins ont conservé les justes valeurs des choses.

    Bon sortir de ce parking, éviter de se cogner avec, les caddies, les mémés qui ne sortent leur voiture que pour venir à Carrefour.

    Encore passer à la boulangerie, oui il est meilleurs, certes plus cher, mais vraiment meilleurs, et puis un petit bonjour à cette très jolie-gentille, jeune serveuse, avec elle on se laisserait bien rouler dans la farine, non je déconne, n’empêche, c’est plus agréable de voir une jolie personne qu’un laiderons.

    Je suis durs, il faut bien que tout le monde travail !. C’était pour rire tu vois pas c’est samedi je suis relaxe.

    Tiens 13 h les infos, j’aime bien savoir ce qui ce passe enfin ce que les commentateurs disent.

    -          L’arrêt de la dernière centrale atomique au japon, ils risquent de manquer d’électricité.

    -          Ah merde les vingt ans de Furiani, déjà, on ne voit pas le temps passé, 18 morts 2000 blessés, on ne saura jamais rien des résultats de l’enquête, de toutes façons c’est encore le lampiste qui aura payé.

    -          Les candidats qui ont regagnés leur fief.

    -          Oh le con il peut pas clignoter quand il tourne…

    Déjà la météo, temps gris et humide, ça on le savait, les températures en baisse, pas beau quoi !.

    Tant mieux, avec le chien au moins on aura les bords de Marne pour nous tout seul.

    Bref voilà encore un samedi qui s’écoule tranquille, comme disent nos ados, oui c’est drôle leur expressions, quand ils se rencontrent, il se tape dans la main, font une espèce de signe de croix et disent « tranquille » ben oui, moi aussi.

     

    A suivre…vivement dimanche !.

  • Chapitre 65. Le mot de la fin !.

    Encore, ou plus que quelques heures et s’en sera fini de cette campagne 2012 pour les élections présidentielles, Ouf !.

    Que les amateurs se rassurent, juin portera son lot de discours, débats, propositions et choix en tous genres.

    Encore de longs  sujets de fâcherie avec, vos voisins, parfois amis, avec votre belle famille, avec les collègues, ah ces rencontres à la machine à café.

    Oh ces discussions âpres le midi à la cantine, autour du plat à la grimace.

    Sans compter cette écoute que vous, allez encore, porter, supporter pour vos journalistes, chroniqueurs, humoristes préférés. Ah les bougres ils sont pas prés d’être chomedu !

    Combiens de fois allez vous tourner rageur le bouton de la radio, chercher la télécommande de cette fichu-télé, c’en est trop je change de chaîne !.nous font chier avec leur……

    Après le rituel des présidentielles, le supplice des législatives.

    Toutes ces promesses faites, toutes ces accords en catimini, pour pas… ou pour parce que, tu comprends il vaut mieux un bon arrangement, qu’un mauvais député ?.

    Tous ces traitres, ces faux culs, ces apôtres de la magouilles.

    Et vous marionnettes de vos partis, comme les illusionnés de ces partis pris.

    Et toujours cette cartes aux trois couleurs.

    Nos départements, tiens les revoici qui ressortent et servent encore, subdivisés en cantons, bref un drôle de décompte.

    La Bretagne rose qui se trouble, et…

    Oh l’est, ce bleu, vire au….et le sud, sous le soleil sans doute enfin, mais ou les extrêmes bataillent avec les républicons , qui auront passé le Rubicon, tout en se jouant du rubicube !.

    Et le Nord qui redoute, voir,comme lors de sa grande braderie, ça jette tout dans la rue,  ça chine,  ça sent la moule, ca bouffe des tonnes de frites, ca se roule dans la bière, enfin la foire quoi ! Ah bon ?

    Et tous ces futurs faiseurs de loi, ceux qui déferont ce que les précédents ont commis. Et tricoterons ces textes que le conseil constitutionnel, mettra en pièce, de trois ou quatre actes.

    A propos les bougres, je veux parler de nos débateurs en deux heures cinquante ils n’ont pas trouvé le temps de nous dire ou on se retrouve dimanche soir pour la fiesta.

    Ils pensent vraiment qu’à eux !.

    Bon je vous parlais de nos départements, enfin de ce qu’il en reste après que les régions se soient appropriée tous les pouvoirs, après que nos buralistes aient  perdu la recette de la vignette, après que nos conseils forts généreux, aient, eux vu disparaître la manne de la taxe Pro ; Oui ; en être réduit à vendre des boules de gommes et des sucettes, ou des cartes à gratter, bien sur la clope tue et à petit feu, mais déjà et surtout nos pauvres buralistes, déjà qu’ils étaient fort exposés ; c’est un des commerces qui subit le plus de petits braquages, pour de petites recettes,.

    Ah la vie c’est plus ce que c’était, ils tuent les petits commerce !

    Questions éducations, il faudra bien en reparler, dans le temps il nous fallait connaître ceux-ci par cœur, avec  Préfecture et tout, aujourd’hui à quoi ça sert, nos petites têtes biens faite n’en ont cure.

    Et puis sur la route on voyait au fin fond de l’étranger un pays, on klaxonnait, maintenant voiture incognito, noyé dans les masses, tous le même profile ; Inconnu.

    Plus de rapport, fini les rapprochements ; Donc les départements on s’en tape.

    Alors dimanche au fait, lequel finira rue des Morillons, du coté des objets trouvé, enfin perdu !.Je crois que Starco, a annoncé qu’il partait en vacances aux Maldives dit-on.

    L’autre Hutch à déjà passé l’habit, même si on lui a dit que l’habit ne fait pas le moine !

    J’en profite j’ai encore le droit de parler d’eux, après on ne sait pas, bon enfin, après demain sera un autre jour.

    Et le temps n’est pas prévu au beau fixe, bon comme je dit pas grave, il y aura moins de monde à se promener, et c’est mon chien qui va pouvoir en profiter.

    Aller à demain alors, et dormez bien.

  • Aprés débat 64.

    Ainsi donc encore une fois, notre pays sort divisé de cette épreuve.

    Bien sur chacun prétend avoir gagné, moi je  (parfois je m’engage) trouve que les restes de cette grande bouffe, parfaitement indigeste.

    Vainqueur, vaincu, que l’affaire soit jouée, ou qu’une surprise de dernière minute…Et alors après guignol, le peuple voudra du concret.

    Conciliabules et invectives, ce n’est pas ça qui stoppera le chômage demain.

    Néanmoins demain, il faudra retourner au boulot, demain il faudra continuer d’acheter son beefsteak, le lait du petit, et le pain.

    Demain les banques continueront d’imposer leurs agios et autres intérêts.

    Demain, pour certain le café aura un goût plus amère, ou, trop ou pas sucré.

    Demain, chefs ou collègues voudront que le travail soit fini avant que d’avoir même été commencé.

    Demain les gosses râleront car ils ne veulent toujours pas manger des haricots vert.

    Demain il faudra faire réparer la chaudière qui est tombé en panne, ou le lave vaisselle ; bref, les ennuis continuent.

    Demain ne pas oublier qu’il faut emmener le chien chez le véto, eh oui ça fait déjà un an, et il faut aussi le vacciner.

    Demain il faudra faire bonne figure et sourire aux vannes des collègues.

    « tiens tu as mis une chemise rose aujourd’hui, pourquoi ?; Oui pourquoi, » même vous ne savez pas, comme ca parce que à cinq heure du mat dans le noir, j’ai pris la première sur la pile.

     

    Enfin  après demain sera le week-end, enfin !, juste un peu moins de stress….

    Bon alors à demain.

  • Opus débat 63.

    En deux mots, l’un en sort "Prosident", l’autre finira "condidat".

    Tout ça pour ca....

    On va enfin en finir et passer notre tour.

    A suivre...

  • Article 62. Le grand débat-lage !

    Franchaises, Franchais, mes chers concitoyens. Gageons que ces termes ouvriront le débat.

    De mea-culpa, en promesses, toutes les variantes, tous les appels du pied serviront nos deux protagonistes.

    Pensez leur avenir, votre avenir en dépends, Cinq nouvelles, parfois longues, pénibles, douloureuses  années, nous engagent.

    Serez vous raides dans vos bottes, imperturbable devant tant de basses ignominies.

    Ou esprit volatil, prêt à changer d’idées, d’avis au gré des détours de cette diatribe.

    Faut-il comme le prétendent, journalistes, sondeurs, perturbateurs de vos certitudes ; prétendre que vous puissiez changer d’idées comme de chemise aux détours d’une phrase.

    Seriez- vous versatiles, sans fondement, sans racines sans attaches, disposé, prédisposé, à virer casaque, à tourner, le dos aujourd’hui, à ce que vous fûtes hier, ou à ce que fût votre hier ?.

    Sans être devin, grand vizir, ou quelque autre clairvoyant, ces extralucides de la pensée versatiles.

    Ces faiseurs de sens, de bon, et de contre sens, doublant aux feux de la bienséance.

    Perdus dans cette marée de mots passées ; et des démons à venir.

    Inquiétante division entre l’absurde et le réel, c’est à voir.

    Quels seront les points de chute de ces cerveaux pas finis pour les uns trop étriqués pour d’autres simples esprits chagrins.

    Ah le désenchantement, oh ! la vindicte populaire !.

     Que Faut-il attendre d’une telle confrontation, le bien sort-il grandi ? le mal finit-il par l’emporter.

    En médecine Oui, dans votre politique, vos mots seraient plus forts que nos maux !

    Faut-il, encore entendre De Gaule ce grand Général, mais simple président, parler à votre égard de peuple de moutons.

    Ce n’est pas possible que vous vous laissiez condamner sur un simple débat..

    Les certitudes existent qui ont déjà parlées.

    Cinq années qui peuvent se jouer en deux heures et demie. Et ce débat intérieur vous poursuivre, vous persécuter, que vous ne sachiez plus penser.

    Oui ces joutes oratoires, ces jeux offerts, à vos yeux comme à vos oreilles ne peuvent déterminer votre jugement, tout un vécu à dû laisser ses traces.

    Ces marques indélébiles ne peuvent se laver en si peu de temps.

    Seules les girouettes vont le sens du vent. Vous, être pensant, accepteriez de tourner  bêtement.

    Demain, comme aujourd’hui, le sort en est jeté.

    Et dimanche, nous seront fier, débarrassé et libéré de notre histoire pour affronter l’avenir.

     

    A Suivre…