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Feuilleton - Page 9

  • Chapitre 53 La vie quoi !

    Ah ces petits matins qui déchantent, enfin l’humeur n’est pas au top ; Peut-être les agapes de la veille, à moins que ce ne soit, à retardement un reste de ce résultat, Oh putain ces élections.

    Attends j’ai l’impression de prendre ça comme une défaite personnel, bon sang je n’y suis pour rien, je suis sûr que mes mémés ont voté Marines.

    Oui ces petites vieilles, oh gentille, bien vrais.

    Raciste, évidement, éduquées pas trop, le genre de discussions qui tournent autour de : »alors qu’-est ce que tu mange à midi ?, moi ce sera… », je m’en fou de ce quelles bouffe, et l’autre qui surenchérit toujours, « eh ben moi je »….j’exècre les moi je.

    Eh oui mes compagnes de sorties le matin, comme on dit petit tour les chiens : « Oh ça fait la quatrième fois qu’il fait sa crotte depuis ce matin ! »

    Oh merde, compter le nombre de fois que, eh oui,….  « et toi tu fais quoi à manger »… ?

    Moi je reste muet, je m’en fou, je rentrerais ouvrirais le frigo je verrais bien, j’improviserais.

    Et toujours la sempiternelle « t’as entendu aux infos »… Ben oui sûrement, mais lui dire que mes centres d’intérêts ne sont pas les même ; ses histoires de bouffe, de crottes et de chiens écrasés.

    Pitoyable, mais voilà c’est mon monde mon environnement, mes voisins, mes rencontres.

    On choisi pas sa famille, ses voisins non plus, il faut bien se tenir compagnie, et oui des petits vieux comme moi, avec leur mal de dos, ou dans les jambes ; Aujourd’hui, c’est mon épaule, je sais moi aussi, le temps disent-elles et mon rhumato qui est en vacance ! je leur dit qu’elles ont qu’à prendre des médocs, « avec tout ce que l’avale déjà, mais avec mon estomac je peux pas prendre n’importe quoi, tu comprends, et que je suis obligé pour mon asthme, sans compter mon diabète » oh la pauvre !.

    La dernière fois elle avait voté Sarko, bon évidement il l'a déçu, «  Alors lui plus jamais, tu as vu cette montre à cinquante cinq mille euros, un cadeau de Carla comment on peut porter çà la mienne tu te souviens je l’ai eu avec les points U. »

    Ben oui, moi aussi j’ai une montre acheté chez Lidl, six euros, eh oui, pas le même monde !.

    L’important c’est d’être à l’heure, même si cela n’a plus guère d’importance, encore que cette obsession de devoir entendre, écouter les infos pour se tenir informé, sentir l’opinion, cette fenêtre ouverte sur le monde ; de se sentir vivant participant, alors moi je me joue de ces arguments, de leur, maintenant voici la météo, alors après on attend ,la mettez bas, évidement encore demain le soleil se lève à… c’est une chance, il pourrait rester coucher, se mettre en grève ou prendre des RTT, t’imagines.

    Bon pendant ce temps nos Starco et Hutch rivalisent eux aussi, « moi je lui propose trois débats, histoire de voir ce qu’il à dans le ventre « !. Et en bon chef il relève que ses presque ex ministres eh bien ca tirent un peu dans tous les coins, remettre de l’ordre, re -prendre le devant de la scène, s’affirmer, se positionner, se faire entendre et se faire voir. Il veut encore croire qu’il peut gagner ; Et ma foi qui sait ! Oh non, pas encore…

    Et l’autre Hutch, sui prend le train comme monsieur tout le monde, c’est ça le populaire, il y en a un qui en cause, l’autre qui fait.

    L’un, l’autre, encore douze jours, non je ne puis m’extraire, attiré malgré moi, comme ces soleil, la fleur qui se tourne vers l’autre le vrai, celui qui éclaire, réchauffe.

    Je regarde spectateur passif certes, néanmoins je colle à la roue de notre vécu ce quotidien.

    Eh toi le chien, on y va, tu as du courrier au pied des arbres….

    A suivre…

  • Chapitre 52. Lendemain de fëtes.

    La fête est finie, les invités partis, ne reste plus que des restes, le désordre, les cendriers débordent, l’évier est rempli de vaisselles, et de restes il règne une ambiance, de désastre, les lumières brûlent encore partout. Sur la table, des verres, certains à moitié, vide, plein, des serviettes jeté là, avec parfois des traces de rouge à lèvres ; Un joyeux festin aura pris fin, tout est resté en plan, comme si quelques départs précipité les eut empêchés de ranger, de plier, de vider, d’en terminer proprement.

    Ah les petits matins ou l’esprit baigne encore entre sommeil et devoir. Ranger, nettoyer, remplir les poubelles, Organiser, le lave vaisselle, chaque chose, une place, le panier se garni, rincer quand même ces assiettes pour y enlever ces gros restes, Les bouteilles s’entassent dans un coin, tiens celle là n’est pas vide, la sortir du lot. Ranger trier, ces CD qui traînent un peu partout, chacun ayant affiché son choix, puis oublié ici et là déposé par une main qui à été entre temps appelée a autre chose.

    L’aspirateur, non demain, tout à l’heure.

    Ouvrir pour aérer, un instant, tiens l’air est frais, je n’avais pas remarqué.

    Et toutes ces victuailles à organiser, mettre dans des boites, ranger dans le frigo, toutes ces miettes que laissent le pain, serviette, on récupère tiens dehors par la fenêtre pour les oiseaux.

    Et le chien qui, se ramène, nous regarde de son œil interrogateur, et moi alors je sors quand semble-t’il dire.

    Ah oui c’est vrai, en même temps descendre la poubelle, C’est bien les amis, la prochaine fois j’espère que ce seront eux qui recevront.

    Aller le chien tu viens, des chaussures enfilés à la hâte, veste, quand même l’air est frais, ah les clés, on y va.

     

    Dehors grand silence, normal à cette heure, tiens la lune est pleine, majestueuse le ciel dégagé, le jour sera peut-être beau, un dimanche de repos.

     Le chien va snifer chaque pieds d’arbres, il lève la patte aussi pour arroser, marquer ce passage, un clin d’œil aux copains, demain il cherchera la réponse.

    Tiens un train dans le lointain, c’est fou ce que la nuit les bruits portent loin, pourtant l’étrange silence. Le jour on n’y prête guère attention.

    Voilà ca y est retour maison.

    A nouveau un regard circulaire, on verra ca demain, allons nous coucher.

    Idem pour ces élections, ils ont, on à voté, fait notre devoir disent-ils ; Tu parles, on s’est plutôt encore fait avoir, comment peut-on donner sa voix, déléguer, élire des gens qui vont nous organiser, agir, penser pour nous. Tout régenter, réglementer.

    Comme si il y avait ceux qui pensent et les autres bras docile, esprit bien disposé petite vie en ordre. Bien rangées elle aussi, une case pour chaque chose.

    La pensée, quelle pensée, vous n’y penser pas, ce n’est pas votre rayon.

    Certains commandent, d’autres obéissent.

    On se croit libre, nous sommes attachés, liés de toutes part, aux valeurs, aux habitudes, aux devoirs.

    Nous sommes au service de l’état nation ; même plus tu crois quoi, c’est l’Europe, la finance, les commissions, les Enarques, leur parlement.

    C’est ca la démocratie, la voix du peuple, et si celui-ci prenait une autre voie.

    Ton pouvoir, de mettre un bulletin dans une urne ?

    De toutes façon ce soir les candidats sont rentrés chez eux, pour eux aussi la fête est finie.

    Là encore il faudra ranger, trier, dépouiller, expliquer, justifier.

    En finir, alors content, oui, non. Tu crois que ça va changer notre vie ?.

    Aller dors bonne nuit.

     

    A Suivre...

  • Chapitre 51. Mousieur est servi !

    D’abord revenons à nos valeurs, celle fondamentale de nos fondements, je veux dire, nous débarrasser de  cette supercherie qui consiste à jouer, voir à se jouer des autres.

    N’est-il pire sourd que celui qui ne veux entendre.

    Tout homme de bien ne peut que sortir grandi de cette confrontation.

    Ainsi nos valeureux guerriers auraient du acquérir la sagesse, profiter des largesses, même de la gentillesse, de la délicatesse, de ces hommes de l’ombre.

    Duel à fleuret moucheté, ils ont rivalisé de passes, de tir, de piques.

    Le combat épuisé, deux seuls restent.

    Aucun ne prétend crier  grâce il leur faudra achever, s’affronter jusque au bout : un seul doit subsister.

    Gloire éphémère, ton crédit, épuisé, à la loyale tu es disqualifié.

    Un deuxième tour stupide, le peuple arbitre n’a-t-il pas déjà qualifié le vainqueur.

    Pourquoi prolonger l’agonie ; Nos romains dans leurs joutes, après avoir affronté le lion ou quelque autre bourreau, s’ils en ressortaient, étaient libre et César les graciait.

    Nos jeux modernes, déjà trop long épuisent le public et flétrissent l’image de la démocratie.

    Le choix n’est ‘il pas fait, l’opinion à tranché.

    Pour moi j’en reste là, je ne suis pas de ceux à achever un combattant à terre.

    Que le deuxième se retire, et des lauriers l’autre soit couronné.

    L’individu mesquin pense qu’une deuxième chance, un deuxième essai ; Si tu ne l’as pas au grattage tu pourras encore gagner au tirage.

    Et toi le premier de la classe, te voilà élu, nominé, glorifié.

    Diriges maintenant, montre toi digne, il te faudra rendre compte.

     

    A Suivre....

  • Chapitre L. Une journée ordinaire.

    Dés le réveil la première chanson qui accroche mon esprit, cette vieille rengaine, chantée en son temps par Michel, je crois avoir oublié le nom de cet illustre chanteur, pourtant je suis sur que la chanson est de lui, souvenez vous « Aujourd’hui peut-être, pourquoi pas demain… »ah! toute ma jeunesse qui revient, avec cet air méridional, voyez ce qu’ils ont fait de notre beau pays.

    Donc en ce dimanche printanier dés l’aube j’étais pris d’une humeur vagabonde, pourquoi ne pas en profiter pour aller faire une grande balade avec le chien.

    Vite un coup de téléphone à Connerie sous bois, pour savoir l’état de la circulation.

    -          Allo monsieur l’Adjudant de gendarmerie, pouvez vous nous préciser l’état du trafic.

    -          Oui ici le PC je vous reçois 5/5, le trafique est aujourd’hui rentable, dans les citées.

    -          Une pointe de Cocaïne passe actuellement du coté de Marseille.

    -          Du coté des Champs la citée Blanche porte bien son nom, et les réseaux y sont solidement implanté.

    -          Nous avons eu  vent vers la méditerranée qu’un fort mistral souffle dans la vallée du Rhône. Sur Cannes et sa croisette doublée par Nice, pour le nombre de pieux au M2 règne une étrange ambiance surement un effet due Cannes à Bis, c’est quand il faut deux cannes un p’ti vieux pour marcher droit.

    -          En mer du Nord une flottille de petits bateaux de pêche serait prise dans une nappe de gaz. L’atmosphère est surchauffée, et l’ambiance explosive. Total s'en moque.

    -          La région Pharisienne est toujours bloquée par un épais brouillard ; et les files d’attente s’allongent devant les écoles, trop nombreux sont les gens qui veulent encore apprendre quelque chose, nous vous tiendrons informé de l’évolution de la situation….

    -          Sur la région Toulousaine le plan rouge à viré au rose, et la ville mérite ainsi son surnom de Ville Rose, après les boues rouge, voilà ce ciel chargée de Souffre surtout du côté des minimes.

    -          La région Loraine Germanisé en 14/18 comme en 40 regrette de ne pas être resté sous la botte Teutonne, toutes nos industries n’auraient pas traversé le Rhin.

    -          Du coté de l’Elysée comme sur Neuilly il règne plutôt une espèce de trafic d’influence.

    -          Voilà ce que nous pouvions dire de la situation du pays en ce dimanche à balais.

    -          A vous le Paris si vous arrivez à vous relever.   

    Bon dis-je au chien toujours en attente, on va faire  ti pipi !.

    La place de la Concorde à retrouvée son air désert, austère, cette obélisque dressée, sa pointe vers le ciel, comme un énorme paratonnerre, voir comme un rappel de l’invasion des TarTares. La circulation à repris, les klaxonnes s’injurient, les conducteurs se croisent obstinément hostile, pressés, grincheux, auront-ils le temps de rentrer chez eux faire leur devoir, honorer et leurs femmes et la république.

    Ah ! ces dimanches,! la télé déverse sont flot d’imbécilité, les enfants hurlent qu’ils n’ont pas envie, la mère râle aussi ; c’est toujours pareil, c’est moi qui fait tout, si t’es pas content tu vas voir au pressing ! Na. Car Monsieur à oser demander si ses chemises étaient repassées pour le lendemain.

    Le chien ronfle, mais l’oreille au aguets à l’écoute de sa future gamelle.

    Le téléphone s’en mêle, sonne et recommence, le père tonitruonne, Alors, y a personne qui répond ?.

    Et en plus tous attendent les résultats.

    Demain sera-t-il un autre jour ?

    Alors !.

     

    A demain…

  • Chapitre XXXXIX. Comme le temps passe , histoires de famille.

    Rappelez vous c’était hier, enfin il y a peu.

    La campagne battait son plein, et les jeux déjà étaient fait.

    Face à face un candidat de gauche, enfin dit de gauche.

    La très chère était sur de son fait, elle l’avait emporté, ses rivaux balancés.

    Avantageusement mis en avant par sa stature, que dis-je sa carrure. Elle pérorait partout, elle avait visitée la Chine, je ne sais quel autre pays étranger.

    Elle présentait la Franche, voire la représentait.

    Elle était femme, fière, mère ; Peut-être même maitresse, tant d’atouts.

    Jeune encore, belle, surement, souvenez vous ses tailleurs, rouge, bleu ; ou blanc, chic.

    Le peuple la désirait, l’attendait, l’applaudissait, l’adulait, ou presque.

    L’autre jeune coq impétueux, petit mais grand dans ses désirs.

    Orateur, manipulateur, ancien, encore récent ministre, il avait crée ses réseaux, mis en place ses arrières, lancé sa machine de guerre. Il s’était moqué, avait bafoué cette toute jeune adversaire.

    L’avait écrasé, ridiculisé, désarçonné et surtout piétiné ; peuple l’à dénie ; Et élit le jeune guerrier et brillant pourfendeur.

    Cinq longues et parfois difficile années après, l’usurpateur, manipulateur, rend grâce  à son tour, et est mis hors piste par le peuple échaudé.

    Et retour à la source l’ancien mari de la précédente, prétendant à son tour, qui n’aura de cesse  de bouter, le nabot, hors des circuits de la réussite.

     La boucle est bouclée.

    La politique comme au Etats unis serait elle ici aussi, histoire de clan, de famille.

    Les Reagan, Bush, et autres ; de père en fils.

    Nos lignées passent- elles par des décompositions, recomposition.

    Il en va de même de notre Chambre des députés, combien de valeureux capitaines, hommes de biens, bien sur en vue, toujours au devant de la scène.

    Allons nous encore, revoir ces Notaires, Avocats Médecins et autres stratèges, pro de la politique, prendrent en main nos affaires, élaborer des lois, dictées par leur rang.

    Comment peuvent –ils, penser le peuple et ses besoins.

    Pourquoi les mères de familles, les jeunes parfois pleins de talent ne pourraient-ils pas venir siéger sur les velours de la république.

    Ah ! système qui pour se préserver, place ses pions, ses fidèles valets.

    Et porte à vos suffrages de bien tristes figures, et peu digne représentants.

    Alors si on changeait. Ca serait bien d’essayer. Chiche !

     

    A suivre….

  • Chapitre XXXXIII.Les jeux sont faits..Aléa jacta est!.

    Profession de foi et bulletins reçu.

    Demain, urnes et isoloirs seront installés, restera plus au simple quidam que de se rendre faire son devoir, ou d’oublier.

    Comme nombres de ces votes auront lieux dans des écoles je voudrais exceptionnellement non glorifier, mais interpeller ce soir un individu, un candidat que mes propos auront quelques peu oublié ; Je veux nommer François Bayrou, homme de lettres et de biens, certes ses valeurs pour nobles quelles soient n’en restent pas moins celles d’un homme de droite, ses ambitions centristes, seraient plus louables si elles se revendiquaient humanistes, au service de l’homme et de ses besoins.

    Or là pas questions, seule vérité encore non posée, la majorité qui serait issue des urnes pour les législatives, celle-ci ne pourrait être que de droite et pour radicale n’en serait pas moins réactionnaire, donc antipopulaire, intérêts obliges.CQFD.

    Cet homme de courage certes, néanmoins serviteur du capital pourrait-il composer d’une majorité de gauche, même molle, tendance Socio-démocrates réactionnaires mais guère porteuse de changement pour les travailleurs, pour le peuple.

    Souvenez vous les années Giscard D’Estaing,(1974-1981)

    -Remises en cause des acquis de 1968, (hausses des salaires…droits des travailleurs…)

    Première crise mondiale de l’énergie et spéculation sur le pétrole.

    Première attaque contre la sécurité sociale, laquelle serait désormais géré par décret.

    Inflation galopante, il fallait bien que les capitalistes récupèrent les augmentations de 68.Bref ou est le centre, et en quoi ces mesures diffèrent-elles de celle de la droite classique ?

    Alors Monsieur Bayrou, vous vous dites centristes ; Confucius ou êtes vous, expliquez moi ?

    Voilà peut être, à mon petit niveau, la justification de notre moindre intérêt à votre égard.

    Il est vrai aussi que les crises cristallisent les extrêmes, et radicalisent les valeurs. Et réserve de beaux jours au clivage droite gauche.

     

    En attendant Godot, ou un autre !.

    ( " Je n'en sais rien ! Si je le savais je l'aurais dit".

    A Suivre……..

  • Chapitre XXXXVII. A moi conte deux mots....

    Connais tu bien Starcosy, il n’est pas homme à en rester là, il a connu pire comme situation, il a su affronter la crise mondiale à lui seul, il a redonné du crédit aux banques en faillite.

    Il a mis en place l’ouverture prenant dans son gouvernement, des gens rejetés de leur parti et aussi de partout !

    Pris des hommes et des femmes d’exception : Rachida Dati,

    Fadelamara, Francis wurths, et même Super MAM, Michele Aliot Marie, grande voyageuse devant l’éternel, l‘Eric Bresson, traitre, comme tant d’autres il aura su tourner les têtes et pas mal de jacquette. Bref homme aux talents multiples souvenez-vous :

    -          Il a fait voter par l’Europe une close de sauvegarde, il a remis sur pied le traité Européen qui avait du plomb dans l’aile et était rejeté par une majorité, ou presque.

    -          Il  a fait voter des lois d’exception sur ;

    -          Le stationnement des jeunes dans les halls d’immeubles

    -          Le port des casquettes cagoules et autres burkas.

    -          Il a mis un enfant sur deux en situation d’’échec.

    -          Fermé des quantités de services publics.

    -          Obligés les travailleurs à bosser les jours de grèves.

    -          Organisé et légiféré pour le travail 24 h / 24, permettant aux employeurs de faire travailler le dimanche comme les autres jours.

    -          Fait un décret permettant à tout ancien ministre de devenir Avocat, sans même avoir mis les pieds dans un prétoire.

    -          Reculer l’âge de la retraite à 67 ans.

    Cinq années de bons et loyaux services, la justice à ses ordres.

    Comment pouvez-vous imaginer qu’un tel homme de bien ; une telle grandeur d’âme puisse être rejeté par l’opinion, encore un coup des Arabes, ou bien d’Al Quida, (au magret balsamique) ou les russes qui veulent pas. (ils font un rejet du Goulasch).

    A moins que ce ne soit la fin d’un chapitre.

    Retour aux justes valeurs.

     

    Retour vers l’humain, vers des matins plus serein.

    La finance au service de l’homme comme la justice pour tous.

    L’éducation redonnée aux maîtres et apportée aux enfants.

    L’écologie porteuse d’avenir, et les industries rendues pour le travaille et remisent en état de marche…..

    ·         Note de l’auteur,( Je n’ai pas de programme électoral, je ne suis pas candidat, c’est histoire de donner des idées.)

    Demain fin de la campagne. Hardi petit et haut les cœurs !..

    A suivre.

  • Chapitre XXXXVI. Bulletins et autres profession de foi !

    La voici arrivée, cette enveloppe brune, tous y ont leur place,  chacun y défie l’autre, un zeste de stratégie, dernière explication, à toi de faire ton choix, épreuve ultime d’avant l’isoloir. Dernière révision, c’est juste un examen de la situation, avant l’examen de conscience.

    Amis ou ennemis tous dans un même lot, tu y retrouve la tronche des uns, la gueule de l’autre, Ah non surtout pas lui !.

    Trois jours un premier tri.

    Dans nos médias les choses semblent figées, de discours accrocheurs, aux petits noms d’oiseaux, ils nous pressent encore de bien nous décider.

    La pêche aux voies reste bien sur ouverte.

    Les anathèmes et autres subterfuges servent d’appât.

    Ne me demandez pas quel sera le meilleur, je vous direz quel sera le moins pire !.

    Pourtant c’est vrai un premier tour pour marquer votre choix, les petits au même rang que les grands, ceux-ci d’ailleurs en râle, ils espèrent votre choix.

    Il faut voter, tiens là je m’offre un luxe, petit tu peux compter sur moi.

    Toutes nos radios- télés se préparent au grand soir, les on n’est pas couché, pour une fois sans Rutquié. Allez réfléchissez vous en prendrez pour cinq longues, petites années ; Bon un deuxième tour restera pour les indécis, et les imbéciles, pour le porter au nues, à la félicité.

    Pourtant n’attendez pas des miracles, ce ne sera pas le père Noël, et la note et les dettes ils vous les feront payer.

    Certains voudraient que ce soit plus à la manière des Irlandais, des Argentins plutôt de la Grèce. Réussiront-ils à faire bouger l’Europe, à mettre en avant les forces pour reconstruire au lieu de tout casser, je parle de cet équilibre humain non pas des coffres des banquiers.

    Une plage de publicité ;

    - A Grigny la police semble avoir trouvé l’arme du crime, pas le meurtrier.

    - Une hirondelle ne fait pas le printemps.

     

    Maintenant la météo, temps instable et frais, généralement humide, mais on va vers les beaux jours.

    La météo Marine : En mer du nord, la situation est toujours explosive, mais le silence est toujours Total.

    Coup de tempête et avis de grand froid sur la Bretagne comme sur le Nord, forte brise Marine 6 à 7 beau fort.

    Avis de coup de tabac en Méditerranée, les Musulmans veulent mettre les Arabes dehors de là-bas. Ils vont être obligés de se réfugier Ailleurs ; il y à déjà des camps qui s’improvisent, et nos O N G, (Oncles Non Généreux) vont devoir interpeller L’eau Nue, laquelle devra rappeler qu’il ne faut pas se découvrir quand on est dans un champ de tirs.

    Retrouvons maintenant nos candidats en directe, dans notre émission-jeux préféré, qui veux passer pour un couillon, laquelle sera suivi par questions pour un champion.

    Que le meilleur gagne.

    Et demain dans notre matinale de cinq à sept, l’heure de la boulange, et des expulsions, à ce sujet nous ferons un reportage sur la maternité Notre dame de l’enfant Jésus.

    Ensuite nous recevrons pleins de Poutous, de quoi enfin ravir notre P C (Pétasse de charme) toujours en manque.

    A quand la libéralisation, et la dépénalisation de la Cam à bis.

    Vous le saurez (peut-être) dans le prochain épisode de Starcosy et Hucht Mollet.

     

    A Suivre….