compteur site

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

François, Jean Marc, Vincent et les autres!... - Page 8

  • Article 66. Le jour d'avant !.

    Alors samedi, d’abord jour des courses.

    Défilé chez carrefour, vous arrivez, comme à son habitude le parking est plein, vous faites trois fois le tour avant d’aller vous perdre au 2eme sous sols,  à trois kilomètres de vos lieux d’achats, bien sur vous commencez par râler, putain, fait chier, c’est toujours comme ça le samedi, depuis le temps que je me dit qu’il faudrait bien que je finisse par changer mes jours.

    Arrivé à l’espace caddies il vous faudra trois essais avant d’en trouver un qui roule à peu prêt droit ; ce qui est très important, car vu le monde il va falloir faire du rodéo entre les clients.

    Dés l’entrée vous êtes agressé par la musique d’ambiance, laquelle déverse ses flots de messages publicitaires, tous plus débile les uns que les autres, « alors aujourd’hui au rayon vin vous pourrez emporter lot de six bouteilles de saint Machin, directement en provenance du petit producteur, lequel vous offrira en plus un saucissons pur de là-bas, en direct de la copropriété !.

    Maintenant Madame, ne loupez pas notre super promotion sur les yaourts, pour  le lot de 24 vous en aurez trente, un miracle la multiplication des petits pain, rien que pour vous mesdames… »

    Oh zut moi je veux juste des sacs aspirateur,  ça y est j’ai bien sur oublié la marque de l’appareil en question, et devant la vingtaine de modèle exposé, rappel toi le numéro c’était pas 301, non peut être 501, toujours pas ça, ca m’énerve, la prochaine fois je prendrais un model, sinon la référence.

    Attends là, je suis devant le rayon des cartouches d’encre pour imprimante ; là je sais j’ai une Dell laser 1101, Oh chouette un vendeur, c’est bien de leur avoir mis des vestes, indiquant leur état.

    -          Pardon Monsieur  dites s’il vous plait, ça coute rien d’être poli, ou pourrais-je trouver le model pour ma machine…..

    -          Nous on ne vend pas ce modèle là mais je vous conseil telle marque, vous savez c’est la meilleur !

    -          Ok merci, c’est pas ce que je lui demande, mais comme d’habitude je  ne trouverais pas, bon je passerais ma commande directement auprès de ma marque, par internet, classique non ?.

    Après deux heures vous ressortez de là vidé, le porte monnaie allégé et le caddie plein, d’ailleurs il y à bien une dizaine de chose que vous n’auriez jamais pensé d’acheter, tiens comme ce triple mètre avec visée laser, et témoin à bulle de niveau, trouvé dans un fatras d’outils de ficelles et de bricoles en tout genre.

    Ah le chien lui il est gâté, oreilles de cochon grillés, size euros les douze, oh la vache, plus les petites barres à mâcher de toutes les couleurs, en reconstitué, en peau de buffle, pleins de chou-chouteries !

    Pour la petite dernière, bof ! cette petite poupée de chiffon, elle fera les poussières avec, au moins ça l’occupe, du haut de ses deux ans elle passe partout, avec ses poupées, ou son bib, qu’elle propose à un petit chat vu à la télé, c’est top pour l’écran !

    Pour l’autre les classiques livres de coloriage avec les crayons faits pour, au moins pendant ce temps elle ne sera pas devant la télé, à regarder des dessins animés plus débiles les uns que les autres, ce n’est pas ça, dans l temps il y avait des messages certes, mais cela concernaient les valeurs, ce qui est bon, ce qui est mauvais, aujourd’hui c’est, que des référence qui à l’argent roi, voilà la force d’untel sur l’autre.etc…

    Soudain alors que je parcours les trois cent mètres qui me séparent de la voiture, cette impression d’avoir oublié quelque chose de fondamentale, mais ca vous revient pas ; bon tant pis, Ah si la mousse nettoyante pour le tapis, Ah non je n’y retourne pas, on verra ca la prochaine fois, de toute façon entre le chien qui perd ses poils et les gosses, il y aura qu’à passer un bon coup d’éponge avec du Saint Marc.

    Allez ! on rentre. Et le chien qui attend dans la voiture demande quand on va se promener, pour lui ca veut dire courir dans les bois, et les pelouses voir sur les bords de Marne, vous lui proposez bien de descendre faire un petit pipi, mais pour l’instant ce sera tout. En tous cas il jappe de plaisir de nous retrouver. Eux au moins ont conservé les justes valeurs des choses.

    Bon sortir de ce parking, éviter de se cogner avec, les caddies, les mémés qui ne sortent leur voiture que pour venir à Carrefour.

    Encore passer à la boulangerie, oui il est meilleurs, certes plus cher, mais vraiment meilleurs, et puis un petit bonjour à cette très jolie-gentille, jeune serveuse, avec elle on se laisserait bien rouler dans la farine, non je déconne, n’empêche, c’est plus agréable de voir une jolie personne qu’un laiderons.

    Je suis durs, il faut bien que tout le monde travail !. C’était pour rire tu vois pas c’est samedi je suis relaxe.

    Tiens 13 h les infos, j’aime bien savoir ce qui ce passe enfin ce que les commentateurs disent.

    -          L’arrêt de la dernière centrale atomique au japon, ils risquent de manquer d’électricité.

    -          Ah merde les vingt ans de Furiani, déjà, on ne voit pas le temps passé, 18 morts 2000 blessés, on ne saura jamais rien des résultats de l’enquête, de toutes façons c’est encore le lampiste qui aura payé.

    -          Les candidats qui ont regagnés leur fief.

    -          Oh le con il peut pas clignoter quand il tourne…

    Déjà la météo, temps gris et humide, ça on le savait, les températures en baisse, pas beau quoi !.

    Tant mieux, avec le chien au moins on aura les bords de Marne pour nous tout seul.

    Bref voilà encore un samedi qui s’écoule tranquille, comme disent nos ados, oui c’est drôle leur expressions, quand ils se rencontrent, il se tape dans la main, font une espèce de signe de croix et disent « tranquille » ben oui, moi aussi.

     

    A suivre…vivement dimanche !.

  • Chapitre 65. Le mot de la fin !.

    Encore, ou plus que quelques heures et s’en sera fini de cette campagne 2012 pour les élections présidentielles, Ouf !.

    Que les amateurs se rassurent, juin portera son lot de discours, débats, propositions et choix en tous genres.

    Encore de longs  sujets de fâcherie avec, vos voisins, parfois amis, avec votre belle famille, avec les collègues, ah ces rencontres à la machine à café.

    Oh ces discussions âpres le midi à la cantine, autour du plat à la grimace.

    Sans compter cette écoute que vous, allez encore, porter, supporter pour vos journalistes, chroniqueurs, humoristes préférés. Ah les bougres ils sont pas prés d’être chomedu !

    Combiens de fois allez vous tourner rageur le bouton de la radio, chercher la télécommande de cette fichu-télé, c’en est trop je change de chaîne !.nous font chier avec leur……

    Après le rituel des présidentielles, le supplice des législatives.

    Toutes ces promesses faites, toutes ces accords en catimini, pour pas… ou pour parce que, tu comprends il vaut mieux un bon arrangement, qu’un mauvais député ?.

    Tous ces traitres, ces faux culs, ces apôtres de la magouilles.

    Et vous marionnettes de vos partis, comme les illusionnés de ces partis pris.

    Et toujours cette cartes aux trois couleurs.

    Nos départements, tiens les revoici qui ressortent et servent encore, subdivisés en cantons, bref un drôle de décompte.

    La Bretagne rose qui se trouble, et…

    Oh l’est, ce bleu, vire au….et le sud, sous le soleil sans doute enfin, mais ou les extrêmes bataillent avec les républicons , qui auront passé le Rubicon, tout en se jouant du rubicube !.

    Et le Nord qui redoute, voir,comme lors de sa grande braderie, ça jette tout dans la rue,  ça chine,  ça sent la moule, ca bouffe des tonnes de frites, ca se roule dans la bière, enfin la foire quoi ! Ah bon ?

    Et tous ces futurs faiseurs de loi, ceux qui déferont ce que les précédents ont commis. Et tricoterons ces textes que le conseil constitutionnel, mettra en pièce, de trois ou quatre actes.

    A propos les bougres, je veux parler de nos débateurs en deux heures cinquante ils n’ont pas trouvé le temps de nous dire ou on se retrouve dimanche soir pour la fiesta.

    Ils pensent vraiment qu’à eux !.

    Bon je vous parlais de nos départements, enfin de ce qu’il en reste après que les régions se soient appropriée tous les pouvoirs, après que nos buralistes aient  perdu la recette de la vignette, après que nos conseils forts généreux, aient, eux vu disparaître la manne de la taxe Pro ; Oui ; en être réduit à vendre des boules de gommes et des sucettes, ou des cartes à gratter, bien sur la clope tue et à petit feu, mais déjà et surtout nos pauvres buralistes, déjà qu’ils étaient fort exposés ; c’est un des commerces qui subit le plus de petits braquages, pour de petites recettes,.

    Ah la vie c’est plus ce que c’était, ils tuent les petits commerce !

    Questions éducations, il faudra bien en reparler, dans le temps il nous fallait connaître ceux-ci par cœur, avec  Préfecture et tout, aujourd’hui à quoi ça sert, nos petites têtes biens faite n’en ont cure.

    Et puis sur la route on voyait au fin fond de l’étranger un pays, on klaxonnait, maintenant voiture incognito, noyé dans les masses, tous le même profile ; Inconnu.

    Plus de rapport, fini les rapprochements ; Donc les départements on s’en tape.

    Alors dimanche au fait, lequel finira rue des Morillons, du coté des objets trouvé, enfin perdu !.Je crois que Starco, a annoncé qu’il partait en vacances aux Maldives dit-on.

    L’autre Hutch à déjà passé l’habit, même si on lui a dit que l’habit ne fait pas le moine !

    J’en profite j’ai encore le droit de parler d’eux, après on ne sait pas, bon enfin, après demain sera un autre jour.

    Et le temps n’est pas prévu au beau fixe, bon comme je dit pas grave, il y aura moins de monde à se promener, et c’est mon chien qui va pouvoir en profiter.

    Aller à demain alors, et dormez bien.

  • Aprés débat 64.

    Ainsi donc encore une fois, notre pays sort divisé de cette épreuve.

    Bien sur chacun prétend avoir gagné, moi je  (parfois je m’engage) trouve que les restes de cette grande bouffe, parfaitement indigeste.

    Vainqueur, vaincu, que l’affaire soit jouée, ou qu’une surprise de dernière minute…Et alors après guignol, le peuple voudra du concret.

    Conciliabules et invectives, ce n’est pas ça qui stoppera le chômage demain.

    Néanmoins demain, il faudra retourner au boulot, demain il faudra continuer d’acheter son beefsteak, le lait du petit, et le pain.

    Demain les banques continueront d’imposer leurs agios et autres intérêts.

    Demain, pour certain le café aura un goût plus amère, ou, trop ou pas sucré.

    Demain, chefs ou collègues voudront que le travail soit fini avant que d’avoir même été commencé.

    Demain les gosses râleront car ils ne veulent toujours pas manger des haricots vert.

    Demain il faudra faire réparer la chaudière qui est tombé en panne, ou le lave vaisselle ; bref, les ennuis continuent.

    Demain ne pas oublier qu’il faut emmener le chien chez le véto, eh oui ça fait déjà un an, et il faut aussi le vacciner.

    Demain il faudra faire bonne figure et sourire aux vannes des collègues.

    « tiens tu as mis une chemise rose aujourd’hui, pourquoi ?; Oui pourquoi, » même vous ne savez pas, comme ca parce que à cinq heure du mat dans le noir, j’ai pris la première sur la pile.

     

    Enfin  après demain sera le week-end, enfin !, juste un peu moins de stress….

    Bon alors à demain.

  • Opus débat 63.

    En deux mots, l’un en sort "Prosident", l’autre finira "condidat".

    Tout ça pour ca....

    On va enfin en finir et passer notre tour.

    A suivre...

  • Article 62. Le grand débat-lage !

    Franchaises, Franchais, mes chers concitoyens. Gageons que ces termes ouvriront le débat.

    De mea-culpa, en promesses, toutes les variantes, tous les appels du pied serviront nos deux protagonistes.

    Pensez leur avenir, votre avenir en dépends, Cinq nouvelles, parfois longues, pénibles, douloureuses  années, nous engagent.

    Serez vous raides dans vos bottes, imperturbable devant tant de basses ignominies.

    Ou esprit volatil, prêt à changer d’idées, d’avis au gré des détours de cette diatribe.

    Faut-il comme le prétendent, journalistes, sondeurs, perturbateurs de vos certitudes ; prétendre que vous puissiez changer d’idées comme de chemise aux détours d’une phrase.

    Seriez- vous versatiles, sans fondement, sans racines sans attaches, disposé, prédisposé, à virer casaque, à tourner, le dos aujourd’hui, à ce que vous fûtes hier, ou à ce que fût votre hier ?.

    Sans être devin, grand vizir, ou quelque autre clairvoyant, ces extralucides de la pensée versatiles.

    Ces faiseurs de sens, de bon, et de contre sens, doublant aux feux de la bienséance.

    Perdus dans cette marée de mots passées ; et des démons à venir.

    Inquiétante division entre l’absurde et le réel, c’est à voir.

    Quels seront les points de chute de ces cerveaux pas finis pour les uns trop étriqués pour d’autres simples esprits chagrins.

    Ah le désenchantement, oh ! la vindicte populaire !.

     Que Faut-il attendre d’une telle confrontation, le bien sort-il grandi ? le mal finit-il par l’emporter.

    En médecine Oui, dans votre politique, vos mots seraient plus forts que nos maux !

    Faut-il, encore entendre De Gaule ce grand Général, mais simple président, parler à votre égard de peuple de moutons.

    Ce n’est pas possible que vous vous laissiez condamner sur un simple débat..

    Les certitudes existent qui ont déjà parlées.

    Cinq années qui peuvent se jouer en deux heures et demie. Et ce débat intérieur vous poursuivre, vous persécuter, que vous ne sachiez plus penser.

    Oui ces joutes oratoires, ces jeux offerts, à vos yeux comme à vos oreilles ne peuvent déterminer votre jugement, tout un vécu à dû laisser ses traces.

    Ces marques indélébiles ne peuvent se laver en si peu de temps.

    Seules les girouettes vont le sens du vent. Vous, être pensant, accepteriez de tourner  bêtement.

    Demain, comme aujourd’hui, le sort en est jeté.

    Et dimanche, nous seront fier, débarrassé et libéré de notre histoire pour affronter l’avenir.

     

    A Suivre…

  • Jours 61 Moins Cinq !.

    Voilà, les défilés, les rassemblements, les manifestations, chacun sont appellation, chacun son désir, chacun sa place, tous la même attente, montrer sa force, son pouvoir de rassemblement, de persuasion, après les urnes la rue, avant le urnes faire face, faire front, foire bonne figure, mettre ses forces en ordre de bataille  ; Tel les guerriers romains, nos foules offrant le sacrifice de l’autre, toutes les forces en ordre de marche, les généraux dans un dernier combat, après avoir dressés les plans, passés en revu les troupes,  vont dans un ultime sursaut bouter l’autre hors du jeu.

    Ces batailles portent des noms illustre de Trocadéro, Opéra, Denfert,  à moins que Nevers sié plus aux  puristes. Tous ces hauts lieux prorogeront-ils la dynastie Starcosy.

    A moins que l’ère Hutch-Nollande  arrive, et porte le retour du changement.

    Quoiqu’il en soit, les commentateurs commentent, les foules hurlent ; les septiques attendent, d’autres s’en fichent.

    Mais chacun y va de son couplet, se son anathème, de son arrogance.

    Les sondeurs hésitent, peut être ben qu’oui ; Peut être bien que non.

    Ils ne veulent plus se mouiller, ils vous parleront de la versatilité du choix de l’opinion pas certaine, de ce coté aléatoire, voir de l’incertitude, de l’imprécision.

    Certes cette science pose le problème de la question ?

    Et puis un sondage ne fait pas l’opinion.

    Encore quatre soirs et nous saurons, Les probabilités, en question.

    Attendre, ne  pas vouloir savoir.

    Wait and see, messieurs les Anglais.

    En attendant, Starcosy porte plainte, encore et toujours, son Altesse sérénissime ne supporte pas d’être mis au banc des accusé. Comment le financement de sa campagne, comment les sondages commandés pour un oui, pour un non, et pour n’importe quoi !.

    Alors il faut qu’il en profite, » vous comprenez, Monsieur le juge, ils ne pouvaient pas m’accuser j’étais dans le cadre de mes fonctions, et couvert par l’immunité du chef de l’état « !.

    Oui il est temps que cela cesse.

    A Voir !.

    Et voir non, mais écouter demain la joute de nos deux héros devant les caméras, ultime affrontement, ils auront droit aux arrêts de jeux.

    Augurons que ce soir, ils auront pris forces comprimés déstressant, relaxant, juste pour les aider à dormir.

     

    En attendant demain au boulot, il serait temps que les travailleurs travaillent, la French à besoin d’eux.

    Et tous ces jours fériés encore à venir, voilà qui n’est guère propice à notre reprise économique, ni à notre développement, salle temps pour la balance extérieur.

    C’est pas comme çà qu’on va retrouver la croissance, regardez Lallemagne, elle au moins !.

    Et d’ailleurs c’est vrai nous n’avons entendus parler des manifestations, qu’en Nespagne, en Grèche, ben alors  et Leurope dans tout ça. ?

     

    A Suivre…

  • Repos 60. La fëte du travail!!!

    Retrouvons nous dans la rue : au choix des manifs, rassemblements, ou autres amusement, à la mode Starcosy.

    D’abord, retrouvons nous au hasard, dans cet hôpital parisien, tiens mieux même pour y venir, comme  pour aller à cette manif vous vous êtes rendu au métro, :

    -          Bonjour madame la caissière, comment vous n’allez pas à la manif je voudrais un billet pour Denfert, »

    et elle :

    -           Eh non hélas je suis réquisitionnée, je travail ! .

    Bon ah oui, sur le quai tant de gens heureux, c’est braves travailleurs les autres jours ; vous leur demandez alors aujourd’hui pas de boulot, vous allez à la manif, bien sûr ! …

     -  C’est pas qu’on aurait pas voulu, seulement voilà le petit il à marché sur une bouteille cassé, résultat, les urgences, ils ont du le recoudre, et là on va le voir !. 

    Implacable logique, vous vous tournez vers un autre, appareil photo en bandoulière, les enfants déguisés, styles retour de chez Disney, idem,

    -          Et vous alors vous partez à la manif !.

    -            la manif, quelle manif, non on va au salon de la navigation de plaisance, ou pour d’autre, la foire de Paris, bref, encore loupé !

    Saurons nous trouver dans cette foule, un, voir des personnes allant à la manif.

    Essayons encore pourtant quoi, il paraît que l’UMP, à réservé 350 trains pour amener des gens pour cette super manif, tous à la tour Eiffel ! alors faudrait bien qu’on en, trouve au moins un. Remarques c’est jolie la tour Eiffel, c’est vrai ça fait bien plus de trente ans qu’on n’y à pas mis les pieds, c’est peut être l’occasion !...

    Mais pour aujourd’hui notre lieu de villégiature c’est pour nous aussi l’hôpital mémé qui s’est cassée le col du fémur est en train de se remettre et d’apprendre à marcher avec des béquilles, eh bien je ne sais pas si vous avez déjà essayé, mais pas facile, alors pensés à 78 ans…

    Bon voilà pourquoi ils bossent à l’hôpital, voila pourquoi les infirmières ne sont pas dans la rue, même si elles ont fort envie de s’y trouver de dire leur ras le bol de leur conditions de travail, de montrer qu’on à beau être cœur et corps dévoués aux autres à nos prochains, on n’en à mare, cadences, sous effectif, les malades pas toujours facile, mais les toubibs non plus ! et rentrée chez nous on à pas finie il y à les gamins !.

    Oui pas une vie, oui, c’est pour elle que je vais aller à cette manif, pas aux Champs Elysée, ni au Champs de mars, non juste Denfert-Rochereau Bastille. Oui il y aura des drapeaux rouge manquerais plus qu’on s’affiche pas. C’est ça la lutte des peuples et des travailleurs, vous savez ceux qui bossent, pas comme les patrons à Starcosy, eux y se salissent pas les mains ; même pour signer des chèques !la encore ils ont des délégations de pouvoir, pas con ces fainéants, ils font bosser les autres !

    Il n’y a peut-être qu’à la maison, mais de toutes façons bobonne elle ne le voit pas souvent, les gamins ils savent juste que leur père est président, ils disent même qu’il travail beaucoup ; Tu parles, ils font surtout bosser les autres.

    Bon alors cette manif on y va !.

    En effet il serait temps qu’on se remobilise, il va falloir repartir au combat, il faudra bien qu’il comprenne Hutch qu’il fera pas ce qu’il veut il lui faudra compter avec nous.

    Avec Starco, on avait essayé, plus de 3 million dans la rue contre sa retraite, enfin pour qu’il arrête de nous faire bosser jusqu'à ce qu’on soit mort, Ah ben comme ca les caisses de retraite c’est tout bénefs, le bonheur des assurances tu comprends pourquoi ils voudraient tellement que tu cotises à des trucs privé.

    Tiens comme à l’hôpital, ce qui rapporte au privé, ce qui coute au publique.

    Ca aussi il faudra bien que Hutch y fasse queque chose !.

  • Département 59. Comme un lundi.

    Expression biblique, leitmotiv des travailleurs près de la machine à café.

     Là les langues se délient, l’humeur se laisse-aller, certains craignent, tu imagines si, au cas ou, non je n’ose pas l’envisager ; Tu as vue la tête d’intel, alors vont-ils enfin sortir ce plan, tout le monde s’y attend, tu vois les dégâts ; Ou encore, moi j’ai de la chance tu sais avec mon beau père….depuis le temps qu’on voulait le faire….Oh les enfants sont grands, il serait temps qu’on pense un peu à ,nous !...finalement c’est bien fait, c’est vrai que cette affaire,  ça n’est pas de chance, tu te rends compte ressortir ce truc, trop gros.

     Ou toujours « alors chef, on prépare son déménagement, ben dame, les riches »…et la petite pin bèche, je suis sur qu’elle à voté Mesrine….. C’est ça leur brain storming comme ils disent. bah moi  ça m’est bien égale, tiens je suis sur qu’il écoute ce qu’on dit !. Bon faut y aller, à plus !......

     

    Lundi noir en Afrique, la NASA compte sur sa fusée, le ciel s’éclaircie…..En Colombie, les Farqs après avoir fini par relâcher tous leurs otages viennent de faire une nouvelle victime un journaliste…le vent à soufflé à jusque 157 Km/ h arrachant des arbres, des fils électriques sont à terre, le téléphone est coupé, les agents de ERDS qui avaient été mis sur le pied de guerre travaillent d’arrache pied…. Machin, célèbre inventeur de la carte à puce est mort, ses puces lui survivent. Tombé dans le domaine public cette innovation ne lui aura rapporté qu’un succès d’estime, pourtant il aura vécu toute sa vie à chercher…. Le premier mai, c’est l’histoire de ses travailleurs de la soie, qui avaient un jour de congé que chaque année lorsqu’ils changeait d’employeurs.. Obama est chargé de faire rire les foules, il y réussit cette année encore mais n’à pas dit «  à l’année prochaine ». PPDA, n’aura pas de fauteuils à l’académie, il n’a pas obtenu le nombre de voix…Tout cela, tout un monde en quelques phrases, des vies réduites en trois mots.

    Tous ces faits qui nous prennent, trier, garder, archiver, rien ne doit nous échapper, l’homme surhumain doit tout posséder, tout connaître, son ordinateur central emmagasine.

    Dans une semaine la French aura changé de président !...Ah bon, alors le petit, ouf c’est fini, enfin, ça y est il dégage, remarque il le dit un peu quand devant tel sportif, il dit que chacun fait son parcours, que un autre viendra remplacer le premier…. Angéla M ; comme la banque Centrale Européenne ont déjà avalisé ce changement des données….Et semblent vouloir accepter une certaine forme de relance, tout en estimant….

    L’Espagne manifeste, le pays ne sait plus comment sortir de la crise, le roi lui ne sait comment occuper ses journées, fini l’Afrique et ses chasses mirifiques.

    Pour les éléphants et autres gros gibiers, cela fait un prédateur de moins.

    Le téléphone sonne : «  Bonjour, vous êtes bien madame Machin.. Oui je me présente, je suis Angélina… je vous appel pour vous dire que vous avez été tiré au sort, que vous voudrez bien vous rendre à l’hôtel Sofitel de Prouteau les Combines pour y retirer votre lot » ! Foutaise et conneries, je renchérie à la dame, «  c’est gentil de m’avoir appelé, justement je pensais à vous, et me disait qu’une petite rencontre au Sofitel serait l’idée géniale, que j’y avais pas pensé, mais comme elle si alors je veux bien… »

    Zut loupé, déstabilisée elle raccroche.

    Dehors défile dans un énorme panneau, la lessive 0%.

    Oh coup de génie vendre un bidon vide, laver avec rien au moins voilà de quoi préserver la planète, merci Perfide.

    Bon allez dodo, demain sera un nouveau jour, demain qui sait !....................