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François, Jean Marc, Vincent et les autres!... - Page 10

  • Chapitre L. Une journée ordinaire.

    Dés le réveil la première chanson qui accroche mon esprit, cette vieille rengaine, chantée en son temps par Michel, je crois avoir oublié le nom de cet illustre chanteur, pourtant je suis sur que la chanson est de lui, souvenez vous « Aujourd’hui peut-être, pourquoi pas demain… »ah! toute ma jeunesse qui revient, avec cet air méridional, voyez ce qu’ils ont fait de notre beau pays.

    Donc en ce dimanche printanier dés l’aube j’étais pris d’une humeur vagabonde, pourquoi ne pas en profiter pour aller faire une grande balade avec le chien.

    Vite un coup de téléphone à Connerie sous bois, pour savoir l’état de la circulation.

    -          Allo monsieur l’Adjudant de gendarmerie, pouvez vous nous préciser l’état du trafic.

    -          Oui ici le PC je vous reçois 5/5, le trafique est aujourd’hui rentable, dans les citées.

    -          Une pointe de Cocaïne passe actuellement du coté de Marseille.

    -          Du coté des Champs la citée Blanche porte bien son nom, et les réseaux y sont solidement implanté.

    -          Nous avons eu  vent vers la méditerranée qu’un fort mistral souffle dans la vallée du Rhône. Sur Cannes et sa croisette doublée par Nice, pour le nombre de pieux au M2 règne une étrange ambiance surement un effet due Cannes à Bis, c’est quand il faut deux cannes un p’ti vieux pour marcher droit.

    -          En mer du Nord une flottille de petits bateaux de pêche serait prise dans une nappe de gaz. L’atmosphère est surchauffée, et l’ambiance explosive. Total s'en moque.

    -          La région Pharisienne est toujours bloquée par un épais brouillard ; et les files d’attente s’allongent devant les écoles, trop nombreux sont les gens qui veulent encore apprendre quelque chose, nous vous tiendrons informé de l’évolution de la situation….

    -          Sur la région Toulousaine le plan rouge à viré au rose, et la ville mérite ainsi son surnom de Ville Rose, après les boues rouge, voilà ce ciel chargée de Souffre surtout du côté des minimes.

    -          La région Loraine Germanisé en 14/18 comme en 40 regrette de ne pas être resté sous la botte Teutonne, toutes nos industries n’auraient pas traversé le Rhin.

    -          Du coté de l’Elysée comme sur Neuilly il règne plutôt une espèce de trafic d’influence.

    -          Voilà ce que nous pouvions dire de la situation du pays en ce dimanche à balais.

    -          A vous le Paris si vous arrivez à vous relever.   

    Bon dis-je au chien toujours en attente, on va faire  ti pipi !.

    La place de la Concorde à retrouvée son air désert, austère, cette obélisque dressée, sa pointe vers le ciel, comme un énorme paratonnerre, voir comme un rappel de l’invasion des TarTares. La circulation à repris, les klaxonnes s’injurient, les conducteurs se croisent obstinément hostile, pressés, grincheux, auront-ils le temps de rentrer chez eux faire leur devoir, honorer et leurs femmes et la république.

    Ah ! ces dimanches,! la télé déverse sont flot d’imbécilité, les enfants hurlent qu’ils n’ont pas envie, la mère râle aussi ; c’est toujours pareil, c’est moi qui fait tout, si t’es pas content tu vas voir au pressing ! Na. Car Monsieur à oser demander si ses chemises étaient repassées pour le lendemain.

    Le chien ronfle, mais l’oreille au aguets à l’écoute de sa future gamelle.

    Le téléphone s’en mêle, sonne et recommence, le père tonitruonne, Alors, y a personne qui répond ?.

    Et en plus tous attendent les résultats.

    Demain sera-t-il un autre jour ?

    Alors !.

     

    A demain…

  • Chapitre XXXXIX. Comme le temps passe , histoires de famille.

    Rappelez vous c’était hier, enfin il y a peu.

    La campagne battait son plein, et les jeux déjà étaient fait.

    Face à face un candidat de gauche, enfin dit de gauche.

    La très chère était sur de son fait, elle l’avait emporté, ses rivaux balancés.

    Avantageusement mis en avant par sa stature, que dis-je sa carrure. Elle pérorait partout, elle avait visitée la Chine, je ne sais quel autre pays étranger.

    Elle présentait la Franche, voire la représentait.

    Elle était femme, fière, mère ; Peut-être même maitresse, tant d’atouts.

    Jeune encore, belle, surement, souvenez vous ses tailleurs, rouge, bleu ; ou blanc, chic.

    Le peuple la désirait, l’attendait, l’applaudissait, l’adulait, ou presque.

    L’autre jeune coq impétueux, petit mais grand dans ses désirs.

    Orateur, manipulateur, ancien, encore récent ministre, il avait crée ses réseaux, mis en place ses arrières, lancé sa machine de guerre. Il s’était moqué, avait bafoué cette toute jeune adversaire.

    L’avait écrasé, ridiculisé, désarçonné et surtout piétiné ; peuple l’à dénie ; Et élit le jeune guerrier et brillant pourfendeur.

    Cinq longues et parfois difficile années après, l’usurpateur, manipulateur, rend grâce  à son tour, et est mis hors piste par le peuple échaudé.

    Et retour à la source l’ancien mari de la précédente, prétendant à son tour, qui n’aura de cesse  de bouter, le nabot, hors des circuits de la réussite.

     La boucle est bouclée.

    La politique comme au Etats unis serait elle ici aussi, histoire de clan, de famille.

    Les Reagan, Bush, et autres ; de père en fils.

    Nos lignées passent- elles par des décompositions, recomposition.

    Il en va de même de notre Chambre des députés, combien de valeureux capitaines, hommes de biens, bien sur en vue, toujours au devant de la scène.

    Allons nous encore, revoir ces Notaires, Avocats Médecins et autres stratèges, pro de la politique, prendrent en main nos affaires, élaborer des lois, dictées par leur rang.

    Comment peuvent –ils, penser le peuple et ses besoins.

    Pourquoi les mères de familles, les jeunes parfois pleins de talent ne pourraient-ils pas venir siéger sur les velours de la république.

    Ah ! système qui pour se préserver, place ses pions, ses fidèles valets.

    Et porte à vos suffrages de bien tristes figures, et peu digne représentants.

    Alors si on changeait. Ca serait bien d’essayer. Chiche !

     

    A suivre….

  • Chapitre XXXXIII.Les jeux sont faits..Aléa jacta est!.

    Profession de foi et bulletins reçu.

    Demain, urnes et isoloirs seront installés, restera plus au simple quidam que de se rendre faire son devoir, ou d’oublier.

    Comme nombres de ces votes auront lieux dans des écoles je voudrais exceptionnellement non glorifier, mais interpeller ce soir un individu, un candidat que mes propos auront quelques peu oublié ; Je veux nommer François Bayrou, homme de lettres et de biens, certes ses valeurs pour nobles quelles soient n’en restent pas moins celles d’un homme de droite, ses ambitions centristes, seraient plus louables si elles se revendiquaient humanistes, au service de l’homme et de ses besoins.

    Or là pas questions, seule vérité encore non posée, la majorité qui serait issue des urnes pour les législatives, celle-ci ne pourrait être que de droite et pour radicale n’en serait pas moins réactionnaire, donc antipopulaire, intérêts obliges.CQFD.

    Cet homme de courage certes, néanmoins serviteur du capital pourrait-il composer d’une majorité de gauche, même molle, tendance Socio-démocrates réactionnaires mais guère porteuse de changement pour les travailleurs, pour le peuple.

    Souvenez vous les années Giscard D’Estaing,(1974-1981)

    -Remises en cause des acquis de 1968, (hausses des salaires…droits des travailleurs…)

    Première crise mondiale de l’énergie et spéculation sur le pétrole.

    Première attaque contre la sécurité sociale, laquelle serait désormais géré par décret.

    Inflation galopante, il fallait bien que les capitalistes récupèrent les augmentations de 68.Bref ou est le centre, et en quoi ces mesures diffèrent-elles de celle de la droite classique ?

    Alors Monsieur Bayrou, vous vous dites centristes ; Confucius ou êtes vous, expliquez moi ?

    Voilà peut être, à mon petit niveau, la justification de notre moindre intérêt à votre égard.

    Il est vrai aussi que les crises cristallisent les extrêmes, et radicalisent les valeurs. Et réserve de beaux jours au clivage droite gauche.

     

    En attendant Godot, ou un autre !.

    ( " Je n'en sais rien ! Si je le savais je l'aurais dit".

    A Suivre……..

  • Chapitre XXXXVII. A moi conte deux mots....

    Connais tu bien Starcosy, il n’est pas homme à en rester là, il a connu pire comme situation, il a su affronter la crise mondiale à lui seul, il a redonné du crédit aux banques en faillite.

    Il a mis en place l’ouverture prenant dans son gouvernement, des gens rejetés de leur parti et aussi de partout !

    Pris des hommes et des femmes d’exception : Rachida Dati,

    Fadelamara, Francis wurths, et même Super MAM, Michele Aliot Marie, grande voyageuse devant l’éternel, l‘Eric Bresson, traitre, comme tant d’autres il aura su tourner les têtes et pas mal de jacquette. Bref homme aux talents multiples souvenez-vous :

    -          Il a fait voter par l’Europe une close de sauvegarde, il a remis sur pied le traité Européen qui avait du plomb dans l’aile et était rejeté par une majorité, ou presque.

    -          Il  a fait voter des lois d’exception sur ;

    -          Le stationnement des jeunes dans les halls d’immeubles

    -          Le port des casquettes cagoules et autres burkas.

    -          Il a mis un enfant sur deux en situation d’’échec.

    -          Fermé des quantités de services publics.

    -          Obligés les travailleurs à bosser les jours de grèves.

    -          Organisé et légiféré pour le travail 24 h / 24, permettant aux employeurs de faire travailler le dimanche comme les autres jours.

    -          Fait un décret permettant à tout ancien ministre de devenir Avocat, sans même avoir mis les pieds dans un prétoire.

    -          Reculer l’âge de la retraite à 67 ans.

    Cinq années de bons et loyaux services, la justice à ses ordres.

    Comment pouvez-vous imaginer qu’un tel homme de bien ; une telle grandeur d’âme puisse être rejeté par l’opinion, encore un coup des Arabes, ou bien d’Al Quida, (au magret balsamique) ou les russes qui veulent pas. (ils font un rejet du Goulasch).

    A moins que ce ne soit la fin d’un chapitre.

    Retour aux justes valeurs.

     

    Retour vers l’humain, vers des matins plus serein.

    La finance au service de l’homme comme la justice pour tous.

    L’éducation redonnée aux maîtres et apportée aux enfants.

    L’écologie porteuse d’avenir, et les industries rendues pour le travaille et remisent en état de marche…..

    ·         Note de l’auteur,( Je n’ai pas de programme électoral, je ne suis pas candidat, c’est histoire de donner des idées.)

    Demain fin de la campagne. Hardi petit et haut les cœurs !..

    A suivre.

  • Chapitre XXXXVI. Bulletins et autres profession de foi !

    La voici arrivée, cette enveloppe brune, tous y ont leur place,  chacun y défie l’autre, un zeste de stratégie, dernière explication, à toi de faire ton choix, épreuve ultime d’avant l’isoloir. Dernière révision, c’est juste un examen de la situation, avant l’examen de conscience.

    Amis ou ennemis tous dans un même lot, tu y retrouve la tronche des uns, la gueule de l’autre, Ah non surtout pas lui !.

    Trois jours un premier tri.

    Dans nos médias les choses semblent figées, de discours accrocheurs, aux petits noms d’oiseaux, ils nous pressent encore de bien nous décider.

    La pêche aux voies reste bien sur ouverte.

    Les anathèmes et autres subterfuges servent d’appât.

    Ne me demandez pas quel sera le meilleur, je vous direz quel sera le moins pire !.

    Pourtant c’est vrai un premier tour pour marquer votre choix, les petits au même rang que les grands, ceux-ci d’ailleurs en râle, ils espèrent votre choix.

    Il faut voter, tiens là je m’offre un luxe, petit tu peux compter sur moi.

    Toutes nos radios- télés se préparent au grand soir, les on n’est pas couché, pour une fois sans Rutquié. Allez réfléchissez vous en prendrez pour cinq longues, petites années ; Bon un deuxième tour restera pour les indécis, et les imbéciles, pour le porter au nues, à la félicité.

    Pourtant n’attendez pas des miracles, ce ne sera pas le père Noël, et la note et les dettes ils vous les feront payer.

    Certains voudraient que ce soit plus à la manière des Irlandais, des Argentins plutôt de la Grèce. Réussiront-ils à faire bouger l’Europe, à mettre en avant les forces pour reconstruire au lieu de tout casser, je parle de cet équilibre humain non pas des coffres des banquiers.

    Une plage de publicité ;

    - A Grigny la police semble avoir trouvé l’arme du crime, pas le meurtrier.

    - Une hirondelle ne fait pas le printemps.

     

    Maintenant la météo, temps instable et frais, généralement humide, mais on va vers les beaux jours.

    La météo Marine : En mer du nord, la situation est toujours explosive, mais le silence est toujours Total.

    Coup de tempête et avis de grand froid sur la Bretagne comme sur le Nord, forte brise Marine 6 à 7 beau fort.

    Avis de coup de tabac en Méditerranée, les Musulmans veulent mettre les Arabes dehors de là-bas. Ils vont être obligés de se réfugier Ailleurs ; il y à déjà des camps qui s’improvisent, et nos O N G, (Oncles Non Généreux) vont devoir interpeller L’eau Nue, laquelle devra rappeler qu’il ne faut pas se découvrir quand on est dans un champ de tirs.

    Retrouvons maintenant nos candidats en directe, dans notre émission-jeux préféré, qui veux passer pour un couillon, laquelle sera suivi par questions pour un champion.

    Que le meilleur gagne.

    Et demain dans notre matinale de cinq à sept, l’heure de la boulange, et des expulsions, à ce sujet nous ferons un reportage sur la maternité Notre dame de l’enfant Jésus.

    Ensuite nous recevrons pleins de Poutous, de quoi enfin ravir notre P C (Pétasse de charme) toujours en manque.

    A quand la libéralisation, et la dépénalisation de la Cam à bis.

    Vous le saurez (peut-être) dans le prochain épisode de Starcosy et Hucht Mollet.

     

    A Suivre….

  • Chapitre XXXXV. Ex-Voto.

    Starcosy tu prétendais changer notre vie, tant de promesses, aujourd’hui rejetée, tu patauges, t’ébroues, nous rabroue, nous adresse encore monts et merveilles, Tu trépignes, virevoltes, te prends les pieds dans ton tapis de  ta « re-nommé », las, nos citoyens pour cons qu’ils soient ne sont pas  des imbéciles, ils peuvent se faire avoir, on ne les reprendra pas!.

    Ta cour, pour brillante qu’elle soit, laisse nos penseurs rêveurs, Désabusés, tu as trop joué, ton côté populaire, mêlant l’indigne aux débordements de tes pitoyables esquives.

    Profites bien de tes derniers moments, tu vas retomber dans l’oubli, la solitude et l’ennui.

    Retour à la case départ, mais tu n’en sortiras pas grandi.

    Adieux les talonnettes, les ronds de jambe les regards alanguis, et même les marionnettes.

    Il te reste Carla, fais gaffe, elle aime trop le devant de la scène.

    Allez part, adieux, et même plutôt, Dégages. Ouf enfin la dignité retrouvée.

    Un air de liberté.

  • Chapitre XXXXIV. La peau de l'ourse !

    Oh peuple de Franche, oh toi bon peuple, qui a su porter haut le drapeau de la révolte, toi fruit de cette terre d’élection, voire de prédilection, te voici une nouvelle fois à un tournant de ta vie, tu avais en son temps pris la Bastille, et bien d’autres bastion.

    Tu avais porté la révolte des faibles des opprimés, tu avais sur le sang de tes barricades construit cet avenir qu’une nouvelle fois nous prétendons glorifier.

    Peuple digne, fièr te voilà porteur d’espérance nouvelle ; déjà avant même le grand soir et ses théoriques suffrages tu nous montres ton choix, tu retrouves cette foi !

    Pas encore nominé te voilà donc choisi, élu, Oh ! La terrible aventure, enfin une nouvelle espérance, cette reconnaissance que dis-je cette renaissance, il te faut la pousser et même la finaliser ; Demain de tes urnes doit sortir cet : Enfin changement, l’espoir à trop attendu tu ne peux nous tromper.

    Oui nous sommes là attentifs, nous étions en confiance, nous voilà presque trépignant de l’impatience du vainqueur qu’il te faudra assumer.

    La course se poursuit pourtant bien loin devant, tu caracoles en tête et nous crions ta victoire comme nous devançons l’arrivée.

    Tiens bon, tant de vies prétendent à ta réussite.

    Si nous craignons quelque trouble fête, rassure nous, ta logique implacable, ton chemin bien tracé, sera pour nous l’espoir promis et l’avenir assuré.

    La route sera longue et la tâche ardue, reste bien dans tes pompes et garde toi de quelque frilosité.

    Que n’est il trop tôt si ta victoire certaine, tu nous semble déjà porteur de cet espoir, de la liesse populaire.

    Je tremble d’attendre le verdict final, je rêve de nous réveiller ce 7 mai, un jour plus tard, dans un matin peut-être encore frisquet, comme nos convictions.

    Réchauffe notre devenir, tu peux changer la vie.

  • Pointure XXXXIII. Vingt Chênes cette année là !

    Le lendemain sur cette place historique, ou rappelons le nous fut guillotiné la Reine en mille sept cent et quelque d’où le nom qui lui fut donné plus tard le boulevard de la reine, il s’agissait bien sur de Marie et Toinette sa fidèle servante qui voulut partir en même temps que sa noble maitresse.

    Les serviteurs de l’époque suivaient leurs maitres jusque sur les chafauds.

    Aujourd’hui la place à retrouvée son calme, c’est à peine s’il reste quelques coquelicots sur les pelouses au bord de du fossé qui sépare cet antique château, aujourd’hui centre de recrutement de l’armée. Et toujours ces affiches annonçant la venue prochaine du cirque Barnum. Lesquelles restent accrochés à des troncs d’arbres, il faut dire que la veille, les passants ne pouvaient pas approcher cette place tellement celle-ci était noir de monde ; un peu du style noir désir avant le grand soir.

    Bien évidement le retentissement de ce super spectacle avait dépassés les limites de la place et on en entend encore les échos, surtout dans la presse d’opinion.

    Il n’en reste pas moins important que le retentissement de ce mouvement de foule fera date dans l’histoire, et dans les souvenirs des témoins venus écouter la prestation de notre orateur, lequel entama d’entrée le grand chant du Trouvère quand il approche des murs de Troie et qu’il sait que derrière la belle Ophélie de Winter attend le retour de son valet parti à Lombre chercher une copie de sa rivière enchantée.

    Oh le super tableau qui devrait être accroché sur le mur du Douvre au pied du Cas Rousselle à coté la tour de garde.

    Pour en revenir à notre Gland mou qui à une tête de nœud comme disent les droitistes, il est reparti en campagne du coté de Carmina Burana, la ville qui vit la naissance de Chaures.

    Partout ou il intervient trépasse l’idée du méchant petit garnement, et l’on ne retiendra de ses péroraisons que l’idée qu’il faut changer quelque chose dans le décor..

    Cette méga bousculade qui prit la place de court laissa pantois les chaud-sio démocrates qui aspirent au grand soir.

    Pourtant ils savent que les lendemains seront rudes et les corps mis à l’épreuve par la très haute finance qui refuserait de payer les pots cassés, voir les sacrifises.

    Il faudra faire le coup de force et imposer nos vues à nos voisins Lallemand et les autres Trésor-Eupéen.

    Enfin l’histoire retiendra qu’il fallait se lever tôt pour remuer les foules.

    Nos deux Ex-cogriffes réussiront ils la prouesse de ramener à eux cette populace désabusée, surtout les ex-clus qui sont sortis du troupeau.

    Enfin nous verrons si les Brebis quelque peu égarées sauront retrouvé le chemin de la breuvoir, et reprendre du poil de la bête, à moins que l’autre ne leur tondent l’haleine sur le dos.

    Amis rêvons à des jours meilleurs, mais chassons que pour cela il faudra changer les genres, et pas mal d’idées.( C’est pourquoi il faut chasser les idées noirs.)

     

    A Suivre…Nos deux  A.Colytes seront-ils retrouver l’espoir ?