compteur site

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

François, Jean Marc, Vincent et les autres!... - Page 9

  • Suite 58 : Dis Papa, comment on reconnaït un chef ?...

    Le ciel semblait avoir fini sa grande lessive, quelques gouttes tombaient encore d’un nuage mal essoré.

    La terre se lave de nos ignominies. Elle balais nos relents se débarrasse de ces effluves, elle se nettoie de vos turpitudes. Elle tient à retrouver son côté midinette, a moins que jeunes soubrette elle accède à vos attentes. Aspire à vous donner le meilleur d’elle-même. Ces caprices mesurent vos souillures.

    Et vous être doué de pensées d’où jaillit la réflexion, vous, dit civilisé, éduqué, aujourd’hui vos querelles intestines, vos minables escarmouches, il vous faut salir, gâcher, vous prétendez que les crottes de nos chiens défigurent votre superbe agencement, ces espaces parfois plantés net comme tiré au cordeau, pas un plant ne dépasse et vos OGM, ou engrais, pesticides débarrasseront les herbes folles, à moins qu’elles ne soient mauvaises, en tout cas disgracieuse.

    Pas une feuille ne doit dépasser, vos vigiles pro-nature surveillent, coupent, taillent, nivelle, calibre.

    L’homme se veut, ordonné, fier puissant, il régente.

    Dame nature à ses règles lesquelles se laissent aller, des arbres semés par le vent prospèrent et croissent, insolites ils égaient nos campagnes, nos forêts. La fleure du pissenlit viendra rompre la monotonie des pelouses. Les trèfles aussi sortiront  du lot, faisant un tapis de ces millions de brins.

    L’individu parfois pousse aussi de travers, voilà qui fait alors ces petits délinquants, à moins que plus grave, quelques tares les sortent des réseaux, de ces têtes biens pleines ; bien faites, et superbement éduqués, deviennent violeur, escrocs.

    Nous ne sommes pas toujours égaux devant la naissance, certains prétendront mieux réussir, quand d’autres seront à la merci de leurs concitoyens.

    La maladie, comme l’âge fait partie de cette différence.

    La nature humaine à aussi ses mauvaises herbes.

    Pourtant notre civilité nous permet d’effacer ces difformités.

    L’éducation est sensée mettre tout le monde sur un pied d’égalité, c’est aller un peu vite, et, comme il y à des grands des petits, il y aura certains ayant plus de facilités, et d’autres. Pour faire du bon pain il n’est pas besoin d’avoir fait l’Ena, ni sciences Po ou bien Polytechnique.

    La valeur des individus ne se mesure pas à son degré d’instruction, mais à sa faculté de s’en sortir, voir de s’adapter.

    Il en est de même de nos frères de couleur, qu’importe cette pigmentation de la  peau, qu’importe leur choix religieux, ni leur manière de vivre.

    Comme tous ils travaillent, éduquent leurs enfants, les arbres de la forêt ne sont pas tous identiques. Pourtant ils poussent, parfois mélangent leur cimes, certains iront tout droit, d’autres de travers.

    L’homme roseau pensant va aussi de travers et aura des écarts, même nos super cerveaux ont parfois des déviances, faut-il s’en accommoder. ?

    Trouver le juste équilibre et  celui qui saura gérer tout cela, tous ceux là.

    Que  notre Starcosy ayant plaidé pendant cinq ans, la cause de la réussite, et ait mis hors du chemin tout ceux en désaccord, ou  de  pensée différente.

    Le changement c’est maintenant, assure Huch sui à son tour propose de changer de remèdes, fini les potions de cheval, revenons en aux remèdes de grand mère….

    Puisque le mal est fait, il nous faut essayer, et chercher les traitements qui nous redonnerons goût, à la vie, et rendra au pays une certaine normalité, et un art de vivre une simple sécurité.

    Plaideurs orgueilleux ou gens de biens, même s’ils n’en ont pas.

    La juste cause, le vrai choix c’est celui de l’humain, de l‘éducation, du développement, du vivre ensemble.

    Moi j’en veux.

  • Chambre 57. La suite, j'ouvre une porte !.

    Elle avait traversé ma vie un jour comme ça en courant. Je n’avais pas marqué cette présence.

    Comme à mon habitude, mon chien accompagnait mes ballades, comme chaque jour, nous faisions corps avec cette nature, la terre humide des sous bois, ces pelouses, tant de jeunes pousses dans cette immensité à perte de vue, à n’en plus voir la fin, Tiens ils ont plantés des tulipes, oh ces taches rouge sur cette ile ; Et nos pieds nous portaient, insensibles ils allaient de l’avant.

    Un pas, encore un autre, Tes bords, toi Marne coulant sereine, rarement emballée, tu poursuivais cette tranquille assurance, rarement trop pleine, tu savais porter les flots de tempétueux orages, ou impassible, nulle pluie ne semblait t’atteindre, juste se mêler en toi ; et  tu ne semblais jamais débordé.

    Paisible tu coulais des jours heureux, tes berges, toujours à découvert, montraient le mal que tu te donnais pour être au niveau.

    Souvent aux files de tes maigres courants, tu laissais voir tes fonds, et ces souches à fleurs d’eau, reposoirs à oiseaux.

    Des Cormorans stoïques semblant se sécher toutes ailes déployés, ou tes canards se coursant, d’un vol saccadé, derrière quelques femelles, tout n’était que jeux. Ces cygnes lourds frappaient l’eau pour appuyer leur envol, puis ces cris rassembleurs, comme pour évacuer une zone, peut-être trop risquée ; A moins qu’ils ne noient leur long coup, la tête en plongée fouillant ces fonds nourriciers.

    Chaque jour je cheminais, tu courrais, nos échanges pour civilisés qu’ils fussent, restaient ce salut, simple marque de respect, partagés entre eux foullées.

    Juste un bonjour échangé au gré de tes  souffles court, comme un ce cri d’oiseau semblant nous pousser «  plus vite, plus vite !.. »Pourtant tu as stoppé, tu es venus offrir un baisé, affirmer ce besoin de connaissance, de  partage.

    Dans un souffle, juste un répit, simple bol d’air.

    Cet élan que tu as renouvelé, juste une embrassade, simple clin d’œil quand l’un s’offre une évasion, et l’autre marche vers son destin, imperturbable, cette course s’emballe.

    Parfois je t’attends, t’espères, aucun signe, nulle détour qui nous permette cette rencontre, ces retrouvailles.

    Alors dans mes tribulations il demeure cette recherche, je t’espère, et chaque lendemain une nouvelle errance, des tours pour essayer de te revoir, tu sais j’ai de la suite dans les idées !.

    De toutes façons nos destins se retrouveront forcément, au gré d’un simple détour alors saurais-je capter ton besoin, je ne te cours pas après, je marche à mon rythme, je serais encore cette pause, ta recherche d’un nouveau souffle.

     

    Et toi très tendre amie, tes mots, propositions m’invitent, aux détours d’un autre chemin, ou tu t’offres, comme tu proposes ces petits festins, rencontre provoquée ou pour un simple passage, juste une visite, tes sous entendus, des mots équivoques que je fais mine de n’avoir pas percuté.

    Braves tu t’offres presque, et moi penaud, je fais celui qui ne comprends pas. Je passe à coté, je fuis même pourquoi ?.

    Toute ma vie j’ai esquivé, toute ma vie j’ai joué, je me suis refusé, j’ai triché.

    Et si j’avais  moi aussi, ce désir cette envie, alors c’est elles qui se refusaient.

    Cruelles turpitudes, J’y ai laissé, aux files de ces années passés, plus que des regrets, et tout ce temps perdus.

    Et ma vie qui est resté sur le bas côté ; je m’en suis contenté.

    Aujourd’hui, il est temps je déchante, je m’ennui, je me sens oublié.

    Trop tard, je suis passé, j‘ai laissé ma vie sur l’autre rive.

    Et si je me retourne, mes regards vers ce vide me laissent tellement songeurs.

    Alors demain, oui à demain.

     

    A Suivre….

  • Chambre 56 . Encore un jour sans, ca vient .

    Hardi petit, haut les cœurs.

    La victoire est au bout, et cette ombre qui plane, ne saurait cacher ce soleil même s’il est encore voilé.

    Parler, toujours, convaincre porter haut le drapeau, fier flambeau, étendard ou fanion, il indique cette nation, laquelle revendique, et tremble dans l’attente.

    Porteur de notre espérance, ne trompe pas ces braves, gens de biens. Tu porte la flamme de tout un peuple, et chacun encourage ton irrésistible ascension.

    C’est bien une adhésion qui te pousse, et le courage de cette nation, tu entres dans l’histoire, représente, et porte cet élan, ne les abuses pas.

    Ta tâche sera rude, soit juste, sincère, redonnes à tous ces braves, enthousiasme et courage.

    Reconstruit ce pays que d’autres ont mis à mal.

    Si la peine est rude, devant l’ampleur ce cette fabuleuse mission, tu peux compter sur pleins de talents et de nombreuses richesses, si tu sais leur parler, si tu veux aider, ils accompagneront ta réussite.

    Sans oublier du travail pour tous, et que celui-ci bénéficie à ses gens ordinaires, et non à des castes qui ne prétendent qu’à entasser des richesses, et piler les nations.

    Stop aux rémunérations mirobolantes, avec les salaires de ces gens là, il y a de quoi faire vivre et travailler des centaines de bons et braves, bras, mains tètes aussi.

    Ces richesses porteuses d’espérance s’offrent à toi, accompagne les dans la réussite.

    Les pauvres sont riche d’espoirs, et cette jeunesse oublié, avec des perspectives tu verras ils sont biens, redonne leur justes quelques valeurs moral surtout.

    Tu vois il y à du boulot ; il faut simplement s’y mettre.

     

    A Suivre…

  • Chapitre 55. Le changement c'est maintenant !.

    Reprenons simplement ce slogan de campagne, et prônons le sens qu’il nous indique. Comme pour accompagner la suite de notre regard sur ; Les vitupérations de l’un, face à la force persuasive et tranquille de l’autre.

    Rare déferlement de haine, de violence, de saloperies ; surement que l’enjeu est à la taille, non des hommes mais des arguments utilisés.

    Donc Hutch à, je pense l’avantage de rester digne, d’avancer ses  projets, d’essayer de convaincre, au point que le déferlement de Starcosy, ses grossièretés, ses apitoiements quant aux électeurs du Front National, font passer au second plan, la sincérité du candidat socialiste.

    Il est certain, je l’espère que tant de reniements, tant de bassesse du clan de la droite ne pourra que se retourner contre ceux-ci.

    Le peuple de French excédé par des années de Starcosysme, saura montrer le 6 mai, et son attachement à la démocratie, et porter à la direction du pays, à la responsabilité des affaires, un homme propre honnête, digne ; à contrario de l’autre qui baigne et patauge dans les affaires.

    Cette probité passe par le respect  des valeurs, par l’écoute des travailleurs, des simples gens.

    Hommes de bons sens courage encore 11 jours, et enfin une autre France verra le jour, il serait temps.

    Juste un mot sur cette affaire dont je ne saurais dire le nom, peu importe, un policier tire et atteint mortellement un « dangereux individu » qui s’enfuyait.

    Touché dans le dos ! Vous avez beau protester, essayer de justifier la légitime défense, le file est trop gros, sans compter que expliquez nous ?  nos policiers gens de la bac, ne sont sensés ne posséder comme arme style Teisers ou autres flashball , ce n’est pas le GIGN, ni les autres corps d’elites équipés eux de pistolets : Alors Touché coulé !.

    Bien sûr la police manifeste, certes ses hommes sont comme tous passible devant la justice, de la présomption d’innocence, mais qu’un juge, devant la gravité des faits prenne des mesures conservatoires de mises en examen, en attendant que cette même justice fasse son travail. Et alors Normal rien à dire.

    Donc stop à votre déferlement d’invectives, et à votre simagrée de protestations.

     

    A suivre….

  • Chapitre 54. La chasse est ouverte !

    Certes elle l’était depuis longtemps et nos ministres de l’intérieur, successifs ne se sont pas privé, pour, poursuivre, chasser, enfermer, renvoyer des gens « indésirables ».

    (que l’on ne veut pas, car ils ne correspondent pas à leurs, à nos critères).

    Qui es tu pour juger ainsi, Ah un grand hôtel restaurant, du genre Fouquet’s qui emploie, irrégulièrement, des travailleurs non déclarés, sous payés, comme au bon temps de la traite des nègres !.

    Que l’on, que vous par vos discours, vos actions stigmatisiez, des populations entières ; Roms, Arabo-musulmans. C’est vrai que certaines viandes sont moins chères que d’autres. Et dans vos supers marchés l’intérêt passe avant tout.

    Seul trouvent gré à vos yeux la race Blanche, blonde, a l’Allemande ; Ca ne vous rappelle rien ?

    Après avoir prétendu que ces hommes, ces femmes volaient le travail des Franchais, après avoir cherché à relever haut le drapeau de l’identité nationale.

             Puis avoir sous entendue que certains, trop à vos yeux étaient aidé, et donc encore des nuisibles.

    Maintenant vous entendez, séparer les travailleurs, des chômeurs, des oisifs !

    Tristes sir qui avez donnés vos voix et tous les arguments au front national pour vivre, croitre et embellir, plus  prospérer.

    En 2007, ce même petit jeu, vous avait rapporté, aujourd’hui, ces  électeurs reviennent à leur extrême d’origine. Et vous êtes là à quémander, à minauder pour retrouver leurs suffrages, plaidant que le parti en question n’est pas illégitime, que sa candidate avait raisons et toutes les raisons de jouer dans votre jeu, de se positionner pour égarer, tromper, illusionner les foules.

    Vous vous attendez avec quelques pirouettes, retrouver ces gens que vous avez volontairement mis sur un chemin de travers, mais parallèle au votre, réserve de voies, réserve d’énergies, ou poires pour la soif ?.

    Certes ces esprits simples trompés abusés se sont fourvoyés.

    Pourtant tous ces honnêtes citoyens, ne vous reviendrons pas, la bassesse à ses limites, peut-être pas chez vous.

    Oui ces gens, des jeunes des vieux, des travailleurs dépités de la politique, de votre politique, de vos abus, de vos simagrées.

    De tous ces malheurs que vous nous avez apportés.

    Allez disparaissez du vent, dégagez tous ces Starcosistes.

    Demain la France retrouvera son image dans le monde.

    Un autre visage, enfin, rendra son crédit à nos talents, à nos esprits, à nos humains.

    Vivement demain !

    Il nous faudra rouvrir les écoles que vous avez fermés, recréer toutes cette activité perdue, disparue.

    Aller à demain tous le monde !.

  • Chapitre 53 La vie quoi !

    Ah ces petits matins qui déchantent, enfin l’humeur n’est pas au top ; Peut-être les agapes de la veille, à moins que ce ne soit, à retardement un reste de ce résultat, Oh putain ces élections.

    Attends j’ai l’impression de prendre ça comme une défaite personnel, bon sang je n’y suis pour rien, je suis sûr que mes mémés ont voté Marines.

    Oui ces petites vieilles, oh gentille, bien vrais.

    Raciste, évidement, éduquées pas trop, le genre de discussions qui tournent autour de : »alors qu’-est ce que tu mange à midi ?, moi ce sera… », je m’en fou de ce quelles bouffe, et l’autre qui surenchérit toujours, « eh ben moi je »….j’exècre les moi je.

    Eh oui mes compagnes de sorties le matin, comme on dit petit tour les chiens : « Oh ça fait la quatrième fois qu’il fait sa crotte depuis ce matin ! »

    Oh merde, compter le nombre de fois que, eh oui,….  « et toi tu fais quoi à manger »… ?

    Moi je reste muet, je m’en fou, je rentrerais ouvrirais le frigo je verrais bien, j’improviserais.

    Et toujours la sempiternelle « t’as entendu aux infos »… Ben oui sûrement, mais lui dire que mes centres d’intérêts ne sont pas les même ; ses histoires de bouffe, de crottes et de chiens écrasés.

    Pitoyable, mais voilà c’est mon monde mon environnement, mes voisins, mes rencontres.

    On choisi pas sa famille, ses voisins non plus, il faut bien se tenir compagnie, et oui des petits vieux comme moi, avec leur mal de dos, ou dans les jambes ; Aujourd’hui, c’est mon épaule, je sais moi aussi, le temps disent-elles et mon rhumato qui est en vacance ! je leur dit qu’elles ont qu’à prendre des médocs, « avec tout ce que l’avale déjà, mais avec mon estomac je peux pas prendre n’importe quoi, tu comprends, et que je suis obligé pour mon asthme, sans compter mon diabète » oh la pauvre !.

    La dernière fois elle avait voté Sarko, bon évidement il l'a déçu, «  Alors lui plus jamais, tu as vu cette montre à cinquante cinq mille euros, un cadeau de Carla comment on peut porter çà la mienne tu te souviens je l’ai eu avec les points U. »

    Ben oui, moi aussi j’ai une montre acheté chez Lidl, six euros, eh oui, pas le même monde !.

    L’important c’est d’être à l’heure, même si cela n’a plus guère d’importance, encore que cette obsession de devoir entendre, écouter les infos pour se tenir informé, sentir l’opinion, cette fenêtre ouverte sur le monde ; de se sentir vivant participant, alors moi je me joue de ces arguments, de leur, maintenant voici la météo, alors après on attend ,la mettez bas, évidement encore demain le soleil se lève à… c’est une chance, il pourrait rester coucher, se mettre en grève ou prendre des RTT, t’imagines.

    Bon pendant ce temps nos Starco et Hutch rivalisent eux aussi, « moi je lui propose trois débats, histoire de voir ce qu’il à dans le ventre « !. Et en bon chef il relève que ses presque ex ministres eh bien ca tirent un peu dans tous les coins, remettre de l’ordre, re -prendre le devant de la scène, s’affirmer, se positionner, se faire entendre et se faire voir. Il veut encore croire qu’il peut gagner ; Et ma foi qui sait ! Oh non, pas encore…

    Et l’autre Hutch, sui prend le train comme monsieur tout le monde, c’est ça le populaire, il y en a un qui en cause, l’autre qui fait.

    L’un, l’autre, encore douze jours, non je ne puis m’extraire, attiré malgré moi, comme ces soleil, la fleur qui se tourne vers l’autre le vrai, celui qui éclaire, réchauffe.

    Je regarde spectateur passif certes, néanmoins je colle à la roue de notre vécu ce quotidien.

    Eh toi le chien, on y va, tu as du courrier au pied des arbres….

    A suivre…

  • Chapitre 52. Lendemain de fëtes.

    La fête est finie, les invités partis, ne reste plus que des restes, le désordre, les cendriers débordent, l’évier est rempli de vaisselles, et de restes il règne une ambiance, de désastre, les lumières brûlent encore partout. Sur la table, des verres, certains à moitié, vide, plein, des serviettes jeté là, avec parfois des traces de rouge à lèvres ; Un joyeux festin aura pris fin, tout est resté en plan, comme si quelques départs précipité les eut empêchés de ranger, de plier, de vider, d’en terminer proprement.

    Ah les petits matins ou l’esprit baigne encore entre sommeil et devoir. Ranger, nettoyer, remplir les poubelles, Organiser, le lave vaisselle, chaque chose, une place, le panier se garni, rincer quand même ces assiettes pour y enlever ces gros restes, Les bouteilles s’entassent dans un coin, tiens celle là n’est pas vide, la sortir du lot. Ranger trier, ces CD qui traînent un peu partout, chacun ayant affiché son choix, puis oublié ici et là déposé par une main qui à été entre temps appelée a autre chose.

    L’aspirateur, non demain, tout à l’heure.

    Ouvrir pour aérer, un instant, tiens l’air est frais, je n’avais pas remarqué.

    Et toutes ces victuailles à organiser, mettre dans des boites, ranger dans le frigo, toutes ces miettes que laissent le pain, serviette, on récupère tiens dehors par la fenêtre pour les oiseaux.

    Et le chien qui, se ramène, nous regarde de son œil interrogateur, et moi alors je sors quand semble-t’il dire.

    Ah oui c’est vrai, en même temps descendre la poubelle, C’est bien les amis, la prochaine fois j’espère que ce seront eux qui recevront.

    Aller le chien tu viens, des chaussures enfilés à la hâte, veste, quand même l’air est frais, ah les clés, on y va.

     

    Dehors grand silence, normal à cette heure, tiens la lune est pleine, majestueuse le ciel dégagé, le jour sera peut-être beau, un dimanche de repos.

     Le chien va snifer chaque pieds d’arbres, il lève la patte aussi pour arroser, marquer ce passage, un clin d’œil aux copains, demain il cherchera la réponse.

    Tiens un train dans le lointain, c’est fou ce que la nuit les bruits portent loin, pourtant l’étrange silence. Le jour on n’y prête guère attention.

    Voilà ca y est retour maison.

    A nouveau un regard circulaire, on verra ca demain, allons nous coucher.

    Idem pour ces élections, ils ont, on à voté, fait notre devoir disent-ils ; Tu parles, on s’est plutôt encore fait avoir, comment peut-on donner sa voix, déléguer, élire des gens qui vont nous organiser, agir, penser pour nous. Tout régenter, réglementer.

    Comme si il y avait ceux qui pensent et les autres bras docile, esprit bien disposé petite vie en ordre. Bien rangées elle aussi, une case pour chaque chose.

    La pensée, quelle pensée, vous n’y penser pas, ce n’est pas votre rayon.

    Certains commandent, d’autres obéissent.

    On se croit libre, nous sommes attachés, liés de toutes part, aux valeurs, aux habitudes, aux devoirs.

    Nous sommes au service de l’état nation ; même plus tu crois quoi, c’est l’Europe, la finance, les commissions, les Enarques, leur parlement.

    C’est ca la démocratie, la voix du peuple, et si celui-ci prenait une autre voie.

    Ton pouvoir, de mettre un bulletin dans une urne ?

    De toutes façon ce soir les candidats sont rentrés chez eux, pour eux aussi la fête est finie.

    Là encore il faudra ranger, trier, dépouiller, expliquer, justifier.

    En finir, alors content, oui, non. Tu crois que ça va changer notre vie ?.

    Aller dors bonne nuit.

     

    A Suivre...

  • Chapitre 51. Mousieur est servi !

    D’abord revenons à nos valeurs, celle fondamentale de nos fondements, je veux dire, nous débarrasser de  cette supercherie qui consiste à jouer, voir à se jouer des autres.

    N’est-il pire sourd que celui qui ne veux entendre.

    Tout homme de bien ne peut que sortir grandi de cette confrontation.

    Ainsi nos valeureux guerriers auraient du acquérir la sagesse, profiter des largesses, même de la gentillesse, de la délicatesse, de ces hommes de l’ombre.

    Duel à fleuret moucheté, ils ont rivalisé de passes, de tir, de piques.

    Le combat épuisé, deux seuls restent.

    Aucun ne prétend crier  grâce il leur faudra achever, s’affronter jusque au bout : un seul doit subsister.

    Gloire éphémère, ton crédit, épuisé, à la loyale tu es disqualifié.

    Un deuxième tour stupide, le peuple arbitre n’a-t-il pas déjà qualifié le vainqueur.

    Pourquoi prolonger l’agonie ; Nos romains dans leurs joutes, après avoir affronté le lion ou quelque autre bourreau, s’ils en ressortaient, étaient libre et César les graciait.

    Nos jeux modernes, déjà trop long épuisent le public et flétrissent l’image de la démocratie.

    Le choix n’est ‘il pas fait, l’opinion à tranché.

    Pour moi j’en reste là, je ne suis pas de ceux à achever un combattant à terre.

    Que le deuxième se retire, et des lauriers l’autre soit couronné.

    L’individu mesquin pense qu’une deuxième chance, un deuxième essai ; Si tu ne l’as pas au grattage tu pourras encore gagner au tirage.

    Et toi le premier de la classe, te voilà élu, nominé, glorifié.

    Diriges maintenant, montre toi digne, il te faudra rendre compte.

     

    A Suivre....