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François, Jean Marc, Vincent et les autres!... - Page 5

  • Chaud-chialos, c'est pas du boulot....!

    J’ai repris la plume, car une nouvelle fois l’entré en guerre de mon pays me semble être une chose trop grave, et je considère que aucun fait ne valût une telle situation.

    Je me souviens avoir déjà en son temps récriminé contre ces Chaud –chialos, qui avaient voté à l’assemblé, avec la droite  la mobilisation que la Franche déclencha contre l’Irak.

    Au prétexte d’aller combattre contre des « dictateurs », comme contre des « rebelles, que ce soit en  Afghanistan, comme aujourd’hui  au Mali,  pour poursuivre des « pseudos Terroristes » certes ces gens ont commis des Kidnappings, voir des attentats.

      Certes ces rebelles poussés dans leur jusqu’auboutisme religieux, tel des détrousseurs de  caravanes, ont tués pillés, surtout nos intérêts,  AREVA et l’Uranium oblige.

    Les médias aujourd’hui encore ont beau jeu de prétendre que l’ensemble de la classe politique, unanime, considère que notre implication dans ce conflit comme nécessaire, juste voir indispensable..

    Imbécile que vous êtes, nos jeunes à peine rentré du merdier Afgan vont devoir aller affronter, et se faire tuer par des groupes ; Fussent-ils Islamiques ou autres.

     Déjà deux, voir trois morts, mais au nom de quel idéal,. Uranium, AREVA Oblige !

    Nous Françhais, seul, sans aucune dispositions, de l’ONU, juste une vague résolution, 

    Il y à peu si je ne me trompe pas c’était le Président de Centre-Afrique qui appelait la France à la rescousse contre des minorités intérieurs qui tentaient de déstabiliser le pouvoir en place, n’avons-nous pas entendu notre chef de l’état, ce même Franchois Hollande répondre que c’en était fini le temps de la Franche-Afrique, qu’il n’était pas question pour nous d’intervenir dans la politique des autres pays fussent-ils Africains et amis.

    Et puis quelques jours plus tard tournez casaque, et l’on nous précise que cette intervention pensée depuis déjà des semaines et préparée en secret dans les alcôves des ministères.

    Et sans, fut’ elle formelle, aucune déclaration devant les élus de la nation.

    Oui Je l’avais souligné, Droite, PS même combat.

    Et le peuple…

    Le peuple, pour parti défile ce jour contre le mariage pour tous, le peuple, subit les augmentations d’états, Impôts, taxes, comme les tarifs des services publiques.

    Le peuple ces Franchais moyens que l’on gave de pseudo discours ou on mêle des débats entre Patronats et syndicats sur la flexibilité du travail ; ou l’on nous ferra absorber encore plus de soumissions, encore plus de travail précaire, souvent occasionné par le pouvoir employeur, n’est ce pas cet état lui-même premier pourvoyeurs de contrats CDD, dans l’administration, comme dans les services public.

    La poste entre autre ne fut-elle pas condamnée pour de telles pratiques.

    Alors vouloir donner des leçons c’est bien, mais ne faudrait il pas se les imposer à sois même.

    Renégats de tous les pays, dirigeants, vous êtes bien et des tristes sir, mais aussi vous savez user de ficelles pour arriver à vos fins, vous connaissez toutes les combines pour gravir les marches du pouvoir.

    Que de poudre aux yeux avez-vous pu diffuser.

    Oui le peuple, ces braves gens sont crédules, oui ils vous ont fait confiance.

    Que n’avale t-il pas vos sornettes.

    Chaud-cialos, vous aurez attendu vingt ans pour revenir aux affaires, le petit peuple n’oubliera pas votre nouvelle traitrise.

    Profitez, car je vous le dis nous ne sommes pas prés de faire de nouveau appel à vous.

     

    C’était mon entré en guerre perso.

     

    A suivre….

  • Quelque six mois aprés !......

    Quelque six mois environ ont passé, retrouvons nos protagonistes.

     

    Ainsi suite à son coup d’éclat le clan Françhois Hollande est aux affaires.

    Le Parti «  Social  schiste » règne.

    Le Gland mou a obtenu la place tant convoitée, le voici Gland manitou.

    Son équipe avec en numéro I, le grand prêtre de Notre-Dame-des-Landes ; François Héros.

      En second homme de main Emanuel Valse ; « C’est la valse brune, des chevaliers de là lune, chacun, avec sa chacune… » Le petit Gléand, »…, le regard sombre et il ne vaut mieux pas lui marcher sur les pieds.

    Le troisième homme, le préposé aux affaires, l’homme du coffre, le tenancier du bordel ; Pierre Mascotvichy, tout en rondeur, préposé aux dépenses recettes, celui qui est à la cuisine, et tient les cordons de la bourse.

     Enfin l’homme à tout faire, spécialiste des embrouilles Sir Arnaud Calembour.

    Leur crédo ; Donnez-moi un an ; et je vous redresse le pays, je vous le remets sur les rails ; Vous m'en direz des nouvelles !....

    Finie les dettes, adieux chômage ; le meilleurs des mondes.

    «  Allez venez Milord…Tu nous fais tourner la tête…Mon manège à toi c’est moi…. »

     

    J’avais envie de retrouver nos héros, de sentir, combien ils nous avaient bien eu.

    Povre Franche, triste gens, comme tous ces cons qui  avez donnés vos suffrages à ces guignols.

    Et oui, face aux Sarko-chiste, vous avez voulu reprendre de la potée Chaud-chialiste, et la potion est durs à avaler.

    Bon le cadre est mis, nos piteux à leur place, il nous reste à suivre «  Glandeur et décadence »…….

     

    À bientôt….

  • Recherche éventuelle publication.

    Bonjour,

    Petits clins d’œil à un éventuel éditeur…

    Avant que toute cette histoire ne tombe dans l’oubli du passé…..

     

    Faites moi signes.

     

    Sans prétention, juste pour écrire un peu l'histoire.

    Merci.

     G.B.

  • Chapitre 86 Une vie ordinaire.

    Je vous l’ai déjà dis, et décris au cours de mes lignes, mon chien et moi sommes en tout point bien ordinaire.

    Notre vie, généreuse et ouverte nous pousse vers les autres, et hormis quelques vraiment mauvais coucheurs, nous nous entendons avec tout le monde.

    Ce qui rend la vie nettement plus agréable.

    Nous vivons comme beaucoup de nos congénères, intéressés les nouvelles du monde, non les ragots, mais l’information et la vie.

    Notre regard critique certes, lucide pour autant, le cœur à gauche, comme les humanistes, l’esprit ouvert mais point trop n’en faut.

    Ayant pendant notre vie, la mienne surtout servi d’abord la science et la médecine.

     

     

     

    Toujours en vie grâce à celle-ci, et par le fait de quelques chirurgiens, pionner, ils apprirent sur moi, c’était vers la moitié du vingtième siècle, ils organisaient les miracles faisaient avec un bout de ficèle une réparation, de notre plus bel organe, celui qui donne et puis reçoit, celui qui aime, celui qui fait tourner la machine.

    Bref ce cœur, généreux, pourtant moteur. Le mien pas tout à fait fini à la naissance, avait du être bricolé, c’était au siècle passé, depuis l’aventure à évolué, les hommes ont appris à réparer, voir à changer les moteurs, ils m’ont permis de traverser cette vie.

    Aujourd’hui retraité il faut bien encore de temps en temps resserrer quelques boulons, faire les classiques révisions. Comme tout un chacun.

    Aussi un grand, un encorne merci, à tous ces gens de biens, même d’exception de la simple et humaine infirmière, toujours disponible leurs bras fort m’ont maintenu, porté, aidé à traverser ces épreuves.

    Chapeau les toubibs, chirurgiens bricoleurs, fous et de génie.

    Leurs doigts explorateurs, leurs mains réparatrices, je reste votre dévoué.

    Et en plus j’ai vécu, j’ai toujours et voulu et, réussi à travailler, intégré à une vie qui avait commencé en marge, j’ai franchi lentement les étapes, physiquement diminué, j’ai traversé les difficultés.

    Mes parents, puis mes maîtres comme mes profs après, ont accompagné mes redoublements, grand merci à tous, aujourd’hui beaucoup estiment cela, comme du temps perdu, moi je démontre que ces acquis gagnés, ces savoirs emmagasinés, ces connaissances, qui s’inscrivaient au plus profond de nos neurones, cette expérience, et ce qui ne se révélait pas tout de suite ressortirait plus tard.

    Je maturais, j’ai envi de créer un mot, entre maturation et mutation ; cela dans mon cas prenait tout son sens. Puisque mon cerveau en manque d’oxygène, avait du mal à restituer ce qu’on lui offrait, malgré tout il emmagasinait.

    Vous aurez pourtant noté qu’il me reste quelques lacunes et des gros problèmes que je n’ai jamais su résoudre avec l’orthographe.

     

     Tout seul j’appris que pour libérer celui-ci de nombreux maux de têtes j’avais compris que pour fluidifier mon sang trop lourd, il me fallait avaler quantité d’aspirine, là encore laissé a volonté à ma disposition.

    Pour occuper mon temps, et améliorer mes ignorances les jours ou mon corps m’empêchait d’aller à l’école, je puisais mes richesses dans une énorme bibliothèque d’où je profitais sans retenu et ou ma curiosité profitait de ces écrits.

    Passionné par les textes, sans m’en rendre compte à douze ans, âge ou le cerveau forme sa pensée je construisais la mienne de toute une littérature adulte.

    Parfois comme avec La P. Respectueuse, de JP Sartre au bord de l’ennui, tant je ne mesurais pas la densité du texte lu. Le blé en herbe de Colette, me paraissait déjà plus compréhensible ; je me délectais de Vipère au poing, d’Hervé Bazin, Y trouvant quelques similitudes avec une partie de ce que nous vivions, mais l’époque était à l’éducation rude, mais, nous le comprendrions plus tard juste. Il me rappel aussi des, Julien green, ou autres Céline, dans lesquels je ne pu rentrer, Surement entre douze et quatorze je restais fermés à leurs écrits. Alors que je sublimais Steinbeck, qui me fessait découvrir la beauté des paysages Américains dans « les Raisins de la colère, ou des souris et des hommes ».Plus tard je reçus la poésie, m’y plongeait comme dans une mer immense, Oh les soirées passée à honorer nos anciens, les heures à découvrir la puissance et la force des vers, de la richesse de leur écrits.

    Quelques soixante ans après, quelques coutures en plus, je diserte avec vous, vous apportant et mon point de vu, et mon humble regard.

     

    J’ai traversé la vie tout en gardant le cap, bien sûr je ne fus jamais un foudre de guerre, petit homme de rien, je donnais parfois du fil à retordre à mes chefs respectifs.

    Rentré dans le rang, pourtant toujours rebelle, je ne voulais pas suivre celui-là bêtement, l’injustice, et la bêtise humaine me révoltait, mettant hors de moi et j’avais appris que l’lorsque l’on se bat pour soit cela sert aussi les autres, je me fondis dans tous ces mouvements, pour défendre l’intérêt et la cause. Ces grandes valeurs humaines que l’on offre aux autres

    Heureusement nous sommes nombreux dans cette situation, et surement plus fort et influent que tous ces professionnels, élus, chargés de défendre des intérêts particuliers plutôt que le bien commun. Ou bien promus par une caste, pour garder l’œil sur la loi, surtout quand il s’agit de créer ou d’organiser celle-ci.

    Il y à les gens de bien, et les autres, beaucoup moins bien.

    Et dans le mot bien je précise je n’entends pas matière sonnante et trébuchante, mais générosité du cœur.

    Ma générosité est celle du partage, de l’échange, le savoir ne sert que s’il profite aux autres, je ne sais que ce que je puis donner, sinon je ne suis rien.

    L’homme, l’individu n’existe que rapport aux autres, un être seul est une bête dans une nature ou tout est possible mais rien organisé.

    Le lion court après la Gazelle, pour manger, la vache broute l’herbe tendre.

    L’homme peut, et manger la vache, et se nourrir de l’herbe. Mais il ne sait courir après le lion.

    L’homme, ne s’en sort que par sa pensée et les armes, qu’il aura fabriquées.

    Les lions, les vaches comme les chiens ne connaissent pas les armes, sinon les nôtres qui ne servent qu’à les tuer.

    Honorons ces arbres de vies, ceux-ci méritent tellement d’être vécue ; soyez en explorateur, et profitez en.

     

    Fin.

  • Article 85.La routine quoi!

    Le soleil semble enfin, avoir retrouvé le chemin de nos contrées, nos paysages, découvrent un clinquant, renouveau. Les palmes vont briller sur la croisette,  et les marches retrouveront petites robes légères, de nos stars, émoustillées par le futur palmarès.

    Le gouvernement gouverne.

    Le président consulte, visite, qui en train, d’autres plus lointain, pour leur rappeler leur prochain retour à la maison.

    Oui nos soldats verront leur mission abrégée ; Trop de mort pour rien ; et la cause, sans véritable enjeu.

    L’Amérique avait recruté, le président d’alors avait jeté nos, vos forces dans la bataille.

    Peines perdu et nombres d’hommes en plus.

     A nouveau Président, nouvelle gouvernance.

    De toute manière nos hommes ne changeront plus le cours de l’histoire, donc limiter les dégâts, trop d’accidents stupides au détour d’un chemin là bas dans cette « Capitza ». Là ou les Talibans, et autres troupes des zones  tribales d’Afghanistan, poursuivent leur domination, préservent leurs activités. Contrôle partout ; Contrôle des masses par la religion, contrôle des esprits, de la culture surtout,  celle du pavot et autres recettes mirifiques, s’ils n’ont pas de pétrole il leur reste l’or vert. Aussi nos guerriers…

    Ils avaient voulu sauver ce monde, enfin au départ c’était pour déloger Ben Laden et le rendre à la raison. C’était là la version officielle ; Car cette Amérique hégémonique est quasiment perpétuellement en guerre, on ne compte plus les conflits qu’elle aura ou crées, ou repris à son compte. Et oui l’esprit guerrier Yanke, les pourfendeurs des indiens, après avoir en deux siècles exterminés ceux-ci, il leur fallait bien pour s’entretenir trouver, créer d’autres conflits.

    On comprend leur amour des armes…. Alors cette fois l’Afghanistan, sinon qu’auraient ils fait des hommes, pardon des soldats.

     Aprés  l’Irack, là bas ils avaient  pillés, ruinés le pays, écrasés l’insurrection, ah bon l’armé de Saddam… bref, la Syrie sera peut être leur futur, nouvel Eldorado pour ces soldats Ricains, on sent que ça les démanges, sous couvert, de, nouvelle chasse aux dictateurs. Et puis dans la région, histoire de garder le moral des troupes ils auront l’Iran, ah là un gros risque, nouveau bourbier en vue, mais leur déraison l’emporte sur la raison, qui sait ! Et puis Israël le désir tellement, alors !..

     Revenons aujourd’hui, ici, chez nous, pour l’instant.

     …Dehors le soleil ravi les oiseaux, les hirondelles ou leurs semblables, font de longs voles piqué, plané, un ballet de joyeux subtiles battements d’ailes rasent le sol et remontent.

    Sur les pelouses fleurissent les premiers corps, gisant, déjà déshabillés, dame les premiers rayons faut pas louper ça.

    C’était pourtant hier la journée nationale des mélanomes et autres affections cutanées ; Les dermatos en fêtes recevaient « gratos » dépistage oblige.

    Bon pas grave, il parait que quatre vingt quinze pour cent des gens ne développent rien. Vous comprenez pourquoi certaines préfèrent rester voilé, chacun ses truc !.

     Pour les cinq qui restent alors là gaffe, le tout est de savoir dans quel cas vous vous trouvez.

    Bon soleil et bain obligatoire, les gamins en toutes liberté courent dans tous les sens avec ou sans ballon.

    Il règne comme une ambiance de vacances, de liberté, un goût retrouvé.

    Les tenus se sont transformés, non il reste quelques grands irréductibles de la capuche, petits commerces obligent, ne pas trop se faire voir, mais être partout présent.

    Doses ou lignes au coin de la rue, quiqui n’en veut ! C’est la marque de nos banlieues, il n’y à pas de mal à faire du bien.

    Une journée ordinaire vous dis-je.

     

     

    A suivre.

  • Article 84 : En droit !

    Nous avions déjà abordé lors d’un chapitre antérieur,( article XXXV)  cette remise en cause de la cours de cassation, du jugement de l’Erika.

    Les années de procédures et les jugements annoncés seraient donc Nuls et Non avenus.

    Notre monde marche bien sur la tête, s’apercevoir plus de dix ans après que les batailles engagés par plusieurs tribunaux, avec des dizaines de magistrats, juges, avocats, que les rendus, arrêtés et autres Tartuferies, après des sommes mises en jeux colossales, après, les condamnations obtenus.

    Pfit… plus rien, oublié, les « Total » pollueurs, les pavillons de complaisances, les agréments de circonstance.

    Des juges ont jugé, d’autres les déjugent.

    La plus belle gifle que l’histoire, donnée, retirée.

    Oh bon sang la bonne mère ! les plaignants, renvoyés dans leurs bous grasses, dans leur merde.

    Allez, Total, circulez bateaux poubelles, roulez trafiquants, pollueurs, nous ne pouvons vous condamner dans vos eaux internationales.

    Arrangez vous, personne pour vous poursuivre, vous êtes dédouanés, la justice ne peut acter.

    O Merde, pauvre monde.

    Allez-y messieurs les nouveaux pirates internationaux, les mers vous appartiennent, pillez, détournez, sabordez, vous ne pourrez être jugés.

    En droit, et en devoir, d’ailleurs qui dit que vous avez pollué, il n’en reste plus aucune trace monsieur le juge, je demande que la cour se rende sur place vérifier les faits, les méfaits  et autres dégâts, ou son les preuves, l’Erika d’ailleurs ne transportait que de l’eau de mer.

    Tout ça pour ca !. La belle histoire.

    Oyez, oyez ! Braves gens ce n’est plus qu’un conte de fée. Illusion d’optique, et puisque nous sommes en plein festival de Cannes, un film en noir et blanc à l’ancienne, Lelouch et :Vivre pour vivre, revu et contourner, deux jeunes gens, ils s’aiment ils courent le long d’une plage, sur le sable, noir, bien sûr les pieds ont la couleur de la vase, mais ils s’aiment et c’est bien là l’essentielle.

    Donc nous admettons il y à l’endroit, et l’envers, celui du décor.

    Et la foule applaudie. Et le jury, les juges sortent par la petite porte, circulez, il n’y a rien à voir.

    Et alors, l’affaire reste en délibéré, du calme.

     

    A suivre.

  • Article 83 : Une vie de chien !

    Bravo, merci quand même, pour une fois que l’on nous donne la parole.

    Bon, sans vilipender la gente humaine, si en plus nos droits s’améliorent, il reste que notre vie pour bon nombres de cas ne reste pas enviable.

    Je les entends, humains se quereller sur la place des femmes et le peu de représentativité de celle-ci dans l’organisation sociale, je comprends, et approuve le désir de ces dames quant à une réelle parité, et à juste égalité dans les postes comme dans les salaires, cela nous semble une telle évidence, d’autant que question gamelle, ce sont souvent elles qui assurent notre pitance.

    Quoique quand c’est lui, comme pour se faire pardonner il multiplie les bons petits plats, des restes qui n’en sont pas, et souvent bonne choses, et puis toutes ces gâteries.

    Pour les sorties les rôles sont différents, madame assurera plutôt nos besoins légitimes, monsieur nous fera partager ses balades.

    Tant de longues sorties, où parfois nous servons de faire valoir à quelque rencontres, m’enfin je ne veux pas leur jeter la pierre, le principale pour nous étant ces rencontres animales avec les congénères de l’autres l’amie ou simple connaissance.

    Quand cela se trouve nous faisons de ces partis, il  y en à une notamment, chien de race, belle fille Dogue de Bordeaux, alors elle m’adore, se jette sur moi et je sors de nos étreintes généralement plein de bave, en nage, je lui sort le grand jeu, lui mord les pattes, essaie de l’attraper par le cou, et puis je me mets sur le dos, quand elle se précipite, j’inverse la situation, et dans une magnifique pirouette je reprends le dessus.

    Et histoire de montrer ma supériorité je pars en courant faisant comme un grand cercle, ronde provocation, domination, enfin le grand jeu quoi, et mon maître, comme la jolie-gentille dame maîtresse de ma copine du moment, discutent, comparent nos réactions, étalent leur agissements respectifs, ne tarissent pas d’éloges, bref, je suppose qu’ils, à leur manière, par leur attitude et comme si leur rencontre offrait de bons moments et leurs yeux langoureux parfois en disait long. Nous tant que ça peut nous profiter.

     j’ai une autre copine, toute petite boule noire, croisée d’un caniche nain et d’une mère Yorkshire, adorable gamine, obligé de sauter pour de ses petites pattes m’attraper le museau.

    Elle est tout en mouvement et cherche mes pincements, pour elle aussi je me roule, là laisse me grimper dessus, adorable petite chose, je mesure mes morsures, simple jeux.

    Je trouve qu’elle est belle ma vie.

    Il faut reconnaître que j’ai fini par avoir de la chance.

    Ma première vie, tombé dans les mains d’un maître chien, je devais, montrer beau, grand fort, et toujours avec un certain mordant.

    Ce n’étais pas ma nature, moi docile, mais nullement agressif, faire le beau m’allais bien, moi gentil Malinois ; Mais pour questions attaques ou bien défense, ce n’était pas mon fort.

    Battu, enfermé mon petit chef d’alors prétendait me rendre à sa mesure, rien n’y fit.

    Aussi quand il me perdit, me jeta, m’oublia, je crus bien en crever, la faim, le froid, cruelle incertitude.

    Et il m’a rencontré gisant dans le ruisseau, m’a parlé gentiment, et puis encouragé, allez viens, t’es perdu, malheureux, abandonné ; Suis moi.

    Et je fus son nouveau compagnon.

    Imaginez en plus une vie de retraité, a moi les grandes ballades, il aime la nature aussi nous cheminons tiens même par tous les temps, je n’ai plus à me plaindre, et puis je dors au chaud. Et pour me sortir il n’est pas chien, toujours prêt.

    Il y a aussi des chiens heureux.

    Je sais que ce n’est pas le cas de tous mes congénères, c’est pourquoi avec lui nous luttons pour la cause animale et la défense de nos droits.

    Vous pouvez compter avec nous.

  • Article 82. Tout baigne !.

    N’est ce pas là un des slogans du vieux père Noë.

    Celui qui à inventé le radeau de la méduse, y fit monter un représentant de chacune des races animales, puis vogue la galère.

    Je pense que d’ici peu la météo va nous annoncer que nous vivons le plus humide mois de mai depuis la nuit des temps.

    Beau temps pour les escargots, encore qu’ils feraient pas mal de faire attention quand ils traversent car ils vont finir, non à la cocotte, mais en limace, donc sans carapace, et gluant, bref. Les marchands de parapluie vont eux aussi peut-être tirer leur épingle du jeu.

    Surement que médecins et pharmacies tireront profit de la situation, laquelle ne sera pas du goût des assureurs et autres caisses.

    Sans compter les éventuels dégâts des eaux, caves inondées, garages idem, moteurs noyés.

    Pas de quoi mettre en péril notre économie nationale, mais que d’eau, que d’eau.

    Je pense que nos nappes phréatiques  y trouveront profit, et sauront se montrer reconnaissante.

    A moins que ce ne soit pas au goût de nos déchets radioactifs ou autres enterrés dans des cavités souterraines, espérons que les contenus ne se dissolvent pas dans cette humidité latente.

    Vous imaginez Chernobile dont le couvercle n’est plus étanche, lessivé pendant des jours, bonjour  les eaux découlement !. Idem Fufuschima, et plus prés de chez nous nos vieilles centrales quarantenaires, perméables aux visites abusives certes, mais pourtant réussies des Greeenpeace, ou autres vert protecteur.

    Bien sûr Areva s’en laverait les mains, renvoyant la faute sur EDF, mais pour la facture là ils ne se bagarreront pas comme d’habitude sera le contribuable qui paiera.

    Et comme dit le dicton de ma grand-mère, « tant va la cruche à l’eau »…

    Voyez ou nous mène, «  le bruit doux de la pluie, par terre et sur les toits… »

    Et pendant ce temps nos agriculteurs comment vont-ils prendre la chose ;  c’est bon pour le fourrage, ils n’ont pas besoin d’arroser les maïs, bon vous me direz vu la taille de ceux-ci, ils risquent au mieux d’être lessivé.

    Pour les vaches, de toute manières leur cuir les protèges, et puis la pluie chasse les mouches, elles doivent en être ravie, plus besoin d’utiliser leur queue comme chasse-mouches.

    Donc pluie en mai, bon grain pour l’ivraie !. Et la viande y trouvera sons compte.

    Pour nos vignobles, cela ne risque pas de mettre de l’eau dans leur vin, ni de détruire les jeunes pousses, certes les fruits manqueront de maturité si le soleil de juin ne vient pas remédier à tout cela.

    Nos enfants resteront sagement devant la télé, tout au plus feront-ils la tète si on leur demande de sortir le chien, « mais maman tu vois pas il pleut on peut pas sortir ».

    Eux que généralement rien n’arrête trouveront tous les prétextes pour rester au chaud.

    A j’oubliais une profession qui doit jubiler, les chauffagistes, penser, devoir garder un peu de chaleur par les temps qui courent ce n’est pas un luxe.

    Monsieur EDF va y trouver aussi son compte, la belle affaire !.

    Et puisque c’est la saison des festivals, Cannes oblige, il vous reste le choix d’aller vous mettre au chaud dans un bon ciné ; il y a tant de film à voir.

    Attention conducteurs et autres routier, les phénomènes d’aquaplaning, il faut savoir rester maitre de son véhicule, à tous moment en tous lieux.

    Il vous reste aussi la lecture, tiens voilà une bonne idée, le chien se contentera de sortie minimum.

    Bon c’et pas tout ça il faut que j’y aille.