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François, Jean Marc, Vincent et les autres!... - Page 6

  • Espace 82.Aprés la pluie!

    Seul le temps avait changé, il semblait enfin se montrer plus serein.

    Le petit matin blême, laiteux assurai une transition, l’air était plus frais, comme pour nous rappeler les frimas d’un hiver qui trainant en longueur, jouait les prolongations.

    Les cerises, étaient en place, toujours verte, comme des perles, ou de grosses gouttes d’eau, alourdissant les branches.

    Les gamins, comme les oiseaux devraient attendre avant de partager  ce festin.

    La terre lourde de ses trop pleins encore chargée de ces empruntes, se marquait en surface, traces de tous les passages, restes de  pas qui partaient dans tous les sens, croisée des chemins.

    L’herbe haute, revigorée, à peine foulé.

    Dans ma tête pareille, esprit de redécouverte, comme ces cris d’oiseaux emplissant ce vide que la nuit avait laissé.

    Subtile apesanteur, présence d’un jour nouveau.

    Seule la boutique du boulanger attirait quelques badauds. Au loin les lourdes cloches rappelaient au devoir céleste et nous dataient ce dimanche.

    Quelques véhicules troublaient notre univers, ce terrible abandon prédisposait ce repos, et mon chien broutait l’herbe tendre, et tournait à la recherche du meilleur angle pour arroser ce jeune buisson qui le laisserait porteur de millier de petites fleurs blanches.

    Comme des confettis en modèle réduit, posés sur sa fourrure.

    Un promeneur nous arrête, il à perdu sa femme, ben non ! nous ne l’avons pas vue.

    Retour, le café chaud nous prend par les narines, la tasse, deux sucres, cela nous coule, la bouche goutte cherchant dans cet arome, comme un besoin de trouver une énergie prometteuse qui nous permettra d’envisager un jour nouveau.

    La radio déverse son lot de faits divers, nouvelles d’un monde qui nous semble étranger.

    Et puis la météo, oui c’était bien cela, éclaircies….Je vous l’avais bien dit.

     

    A suivre…

  • G8, G20 ; Et nous on goûte l'eau!

    Avez-vous déjà essayé de vous lancer depuis un plongeoir qui, fait 8, puis 20 m, Lui ne l’avait jamais fait et tout de go il dû, dame le monde le regardait, tous ces gens dirigeant de ceci, de cela, et chacun attendait qu’il se reçoive dans un grand flop ! ; Eh ben même pas ; Là aussi, mission accomplie.

    Raspoutine lui s’était déballonné, c’est dire si l’exploit est méritoire.

    Et notre François grand seigneur reçut les honneurs.

    Autre flop, pourtant la mise en scène relevait d’Hollywood, et les médias en grandes pompes avaient été prévenu, ce sera magistrale : Le beau, le grand, le séduisant Mark Zuckerberg, devait récupérer des milliards, mettre en bourse son agenda perso ou presque, fut-il agrée par des millions d’internautes, et ben il aura pas ramassé le gros lot, juste récupéré sa mise, bon ils parlent de bulle informatique, à suivre, de tout façon c’est pas parce qu’il à notre trombinoscope sur son truc, qu’il faut qu’il se croit arrivé le petit Marc. Même s’il connais les je ne sais plus combien des copains de Starco, m’enfin les pauvres.

    Bon pas grave erreur de jeunesse, et puis à trop vouloir, enfin il n’est pas à plaindre. Et il apprend encore la vie ; bonne formation.

     

    Histoires de changer de sujets, je voudrais rendre un vibrant hommage à tous ces gens de la Météo, pari gagné, la pluie ce matin en Bretagne devait arrivée en Ile de France en fin de soirée idem en Seine et Marne, préconisaient-ils .

    Dix sept heure trente mon chien fidèle comme toujours accompagne mes pas, nous cheminons, allant porter notre marche de promenade de l’autre coté de notre Marne, puis retour, une dizaine de kilomètres à travers bois, plaines, bord de l’eau, il n’y à pas de plus sympa détours pour cheminer, allant au gré de nos déambulations, certes le soleil n’était pas de la partie en ce samedi tranquille, les familles protégeaient leurs loupiots devant la télé ou autres distractions sagement à l’abris de toutes les intempéries intempestives prévus.

    Personne pour distraire notre sortie, ces chemins de détours que nous connaissons par cœur, la tête en l’air scrutant la cime des arbres à la recherche de quelques excentricités de dame nature, nous avions à peine aperçu le soir descendre plutôt que d’habitude, et que nous importe, puis quelques gouttes fraiches nous portèrent comme un apaisement, les grandes herbes, la forêt profonde, de ce vert qu’une bonne dose de pluie peut peindre ainsi.

    Tant de vert sur une même palette, tous ces mélanges harmonieux entre la jeune pousse et la fragile agonie d’une autre déjà fatiguée.

    Feuilles de milles états, du chêne pourpre, aux cèdres sombre, ou noir du Liban.

    Feuilles, aiguilles ou autres ficèles qui s’entremêlent entre terre et ciel, et ces troncs dressés  entre les deux, leurs lourdes ramures qui brassent l’air, ou s’agitent doucement.

    Et l’eau qui crépite, se pose sur ces feuilles puis s’égouttent.

    Un lointain grondement nous laisse présager la montée en puissance d’un orage à l’approche, et ce parfum subtile et profond qui prend des senteurs nouvelles, «  oh le bruit doux de la pluie, par terre et sur les toits ».

    Cette pluie change notre décor, il semble se fondre, prend des odeurs qui nous imprègne, une goutte sur les lèvres c’est un ruisseau de fraicheur. Nous baignons dans cette humidité, nous y lavons nos soucis, au sol déjà l’eau ravine la terre, se frayant un chemin pour évacuer, pour balayer la poussière. Cure bienfaitrice, apaisante.

    Un dernier virage nous sortons de cette verdure, un petit bout de chemin, et l’abri, la maison, les serviettes, le chien d’abord, il dégoutte, s’ébroue, et cours chercher sa balle.

    Ma tignasse humide ensuite, bof l’eau de pluie rend le teint pur et doux et laisse le cheveu soyeux.

    Voilà c’était notre sortie  au, file de l’eau et au gré des courants.

    «  il pleut sur la ville comme il pleure dans mon cœur… pour un cœur qui s’ennui oh le chant de la pluie ».

  • Chapitre 80. Obanamania!

    Enfin notre cher François reconnu, reçu par the big boss ; Diner et coucher à la maison Blanche, le saint des saints.

    Un parcours sans fautes, enfin la consécration.

    En France, le climat semble apaisé, presque serein ; Sauf en météo, temps toujours instable, vent frais venant de l’Atlantique, voir de la mer du Nord, et à ce propos il semblerait aux dernières nouvelles que Total ait enfin réussi à éteindre la fuite de gaz. Voilà parti dans l’atmosphère de quoi chauffer toute une ville pendant un bout de temps, mais si vous, vous oubliez une échéance EDF, attention la coupure et les ennuis.

    A part cela si vous aimez le cinéma, rendez vous à Cannes et sa croisette, son festival, ses marches et ses paillettes, bon surement des stars, et autres guignols, du style Jean Paul Gautier, je ne sais pas dans quel film il à tourné, mais il est sur tous les écrans.

    Bon sans intérêt, au mieux allez au ciné, parce que à la télé ils nous préparent au classique programme d’été, ça promet.

    Heureusement il vous reste internet, à vous le programme.

    Je vous abandonne pour ce soir, bonne nuit à tous.

  • Article 79 Changement d'intitulé.

    Chers amis lecteurs,

    Depuis plus de deux mois, je vous ai fait vivre la palpitante et glorieuse histoire de nos deux, fidèles et néanmoins valeureux  héros.

    Nous avons suivi leurs péripéties, tout au long de cette campagne.

    Aujourd’hui, si mes piètres connaissances techniques le permettent, nous laisserons Starcosy, parti en vacance, au Maroc lui souhaitant bon vent. (Il aurait mieux fait de choisir la Tunisie ; cela lui aurait rappelé des souvenirs.) Allez tchao.

    Et continuerons donc de vivre les nouvelles et passionnantes aventures de François, jean Marc, Vincent, et les autres, comme le célèbre film de Claude Sautet, chronique au quotidien d’une bande d’amis.

    Merci du futur soutien que vous ne manquerez pas de nous apporter.

    Et à bientôt la suite…..

  • Chapitre 78.Ca roule !

    Bonjour à toutes, bonjours à tous, Bon ca y est tout le monde est en place, chacun prend ses marques, tout baigne, on peut y aller, au boulot.

    Bon voilà bien le message que le nouveau président, et son nouveau premier Ministre vont pouvoir tenir demain jeudi pour le premier conseil des ministres de cette nouvelle ère.

    Nouvelle équipe, nouvelle donne, objectif la relance, la rigueur certes mais sans que cela ne soit trop voyant, dame faut pas commencer par se mettre le peuple à dos.

    Et puis il ne faut pas traumatiser les riches, ni stigmatiser les pauvres.

    Comme on voudrait que les sous ils rentrent dans les caisses de l’état ; on va redistribuer, c’est bon pour la com, et la consommation.

    Un petit coup de pouce au Smic, juste pour que les Patrons comprennent qu’il vaut mieux ouvrir les cordons de la bourse, plutôt que tout mettre en bourses.

    Et puis il faut qu’on gagne ces foutues législatives, dans la foulée de la grâce-béatitude.

     «  Allons voir si la rose qui ce matin était éclose »…

    Le doux rêve d’une chambre en rose bonbon.

    Après son discours sur l’école, et le besoin d’avenir, tiens voilà un bon slogan pour la campagne.

    En avant la jeunesse, reprenez le chemin de l’école, de la connaissance, de l’éducation, auquel nous ajouterons une dose culture, un zest de savoir faire et le tour et joué, fini le tout bête internet, (je ne sais rien mais internet sait tout !)

    Retrouver ses racines, se réimplanter dans un terreau fertile, pousser et croitre en ayant un certain sens des valeurs.

    Et primordiale, réinventer l’école des parents, les amener à comprendre, à s’impliquer, faire qu’ils participent, et aient les codes pour ouvrir chez leurs moutards, cette envie de connaissance, de partage, d’apprendre les richesses des autres, ( A ce propos refaire baisser la TVA Sur les livres, les mettre au même rang que le lait, le pain, première nécessité.).

    Un besoin primaire ; sortir du primate pour aller vers le respectable, de l’hommo-erectus ; à l’hommo citoyens.

    On ne demande pas à tous les citoyens de faire l’ENA, ni polytechnique ou sciences-po.

    Seulement de conquérir ce besoin de savoir.

    Abandonner le ministère de l’éducation pour faire Un grand ministère, celui du savoir, et de la richesse, pour tous. Apprendre et aimer connaître.

    Mettre les musés et les  bibliothèques dans les écoles. Remonter dans les écoles des pièces de théâtre, en plus du jeu de rôle, c’est faire travailler la mémoire, et un travail en commun, le mélange des genres.

    Le bac pour tous c’est bien, mais ce n’est pas comme le biberon, il ne faut pas en faire une finalité, mais un moyens de s’ouvrir, de faire entrer en nous, ce que d’autres, même anciens, possédaient ; Reconquérir l’Iliade et l’Odyssée.

    Retrouver nos racines Grecques et Latines.

    Stop à la culture tambouille, globalisé, uniformisé, réduite, à cette bouillie, à la sauce Américaine.

    Rendre le goût de la terre.

    Au boulot.

     

    A suivre.

  • Article 76, Charte pour une nouvelle gouvernance.

     Bien venu Monsieur François Hollande, Président de la république Française.

     

    Juste pour vous saluer, vous rendre les honneurs qui sont dues à votre rang.

    Avec vous, nous avons parcouru ce chemin, lequel vous permet aujourd’hui de grimper les marches de ce Palais.

    Nous nous félicitons de cette ascension, nous sommes votre peuple, humble serviteur, mais garant de vos promesses, nous ;

    - Resterons vigilant, vous accompagneront tout au long de votre parcours,

    - Veilleront à ce que votre gouvernance serve, les intérêts de votre peuple, les avantages de votre nation et notre place dans ce monde.

    Sans forfanterie, avec humilité, nous tiendrons notre rang, aiderons les nations à vivre en bonne intelligence, à commercer loyalement, en partageant les richesses, à progresser dans la connaissance, et à œuvrer pour le bien des peuples, et à préserver notre planète.

    Le beau défi qu’il vous incombe de relever.

    Bon courage.

  • Département 75. Tiens Paris, pourquoi pas !

    Oh toi capitale, qui as grandi sur les berges de cette seine, Hausmann avait dessiné ton architecture, puis la Tour, qu’Eiffel proposa, semblant,  joindre les deux rives, et défier les étoiles, caresser les nuages, tour de magie, tour des miracles ; vouée à finir en canon, mais sauvée par les débuts de la radio, et des communications ; Signe d’une nouvelle ère.

    Paris grandeur. Tu as donné au monde, en plus de ton image, jusque cette statue liberté, enfant de chez nous qui regarde l’Amérique.

    Tu as gardée jalouse trois de ses enfants, petite sœur jumelle, pourtant modèle réduit de cette lointaine ancêtre.

    Ta noblesse passée aujourd’hui bouleversée, dame il faut bien se loger, et même y faire travailler tant de gens si pressés, entassés, ils ont creusés, ton donné ce métro, système nerveux qui fait voyager, et surtout se déplacer.

    Dix, douze, voir même quinze million de gens parcours tes entrailles, le monde te regarde, t’envie.

     

    Et comme su dire le Général De Gaule, " Paris, outragé, mais Paris libéré "! Tu as gagné tes statues d’universalité.

    Tu as grandi, généreuse ; tu as même poussé, un peu n’importe comment, brisant tes façades ciselées, cette pierre travaillée, tu es devenue béton, ou vitrine laissant voir tes dessous. Et même Montparnasse, autre tour, pour faire pendant à la première, il fallait voir loin.

     Edifice pour faire monter le prix du mètre carré.

    Façade de verre, de briques ou bien de brocs !

    Chacun prétend y mettre sa pierre, souvent peu glorieux édifice. Beaubourg, ce centre Ponpidou, détesté, centre de gravité, tu réponds malgré tout à ta mission, faire voir, et être vu.

    Seule grâce divine dans ce temple de pierre des monuments du Louvres, cette superbe pyramide, posée là tel un diamant ciselé ; Entrée libre, telle la verrière du Grand Palais, témoin de la transparence de l’âme humaine.

    Sinon, tu as perdu tes usines et tant de simples ateliers, tu te vides de tes commerces, lieux de vies et d’échanges. Ton centre nourricier, de ses halles, vidés, et cet énorme trou, trente-sixième dessous, centre névralgique, toutes  les croisées des chemins, et toutes ses boutiques qui vivent dans la nuit .Du rêve passé, à ces restes dorés, ton clinquant dépouillé irrigue encore le chaland ; tes besoins ont changés, tu offres désormais comme sous le manteau, toutes sortes de frusques.

    Plus loin,  le génie de la Bastille regarde cette façade grise, plate, et triste de cet opéra de pacotille qui aurait pu être riche de promesses. Pourtant œuvre magistrale, reflet de la laideur du siècle, je n’ose même plus te mettre une majuscule.

    Aujourd’hui Paris n’est plus qu’un lieu de bataille, de concurrence, tes vitrines de joailliers,  à tes cafés-grand hôtel, tous aux mains des étrangers.

    Le peuple de Paris s’est battu pour te conserver, Sur tes places le sang à coulé, de ses barricades à dame Guillotine, tes pavés ont rougi tant de fois deshonorés.

    Puis ce fut le Paris des années folles, Le Moulin Rouge, les Grands Boulevards, Paris des poètes, Paris chanté, De Fréhel à la môme Piaf, Ferré, tant de talent se sont dévoilés, tant de seigneurs se sont révélés, il n’y a pas si longtemps Jacques Dutronc et son admirablement vrai « Il est cinq heures Paris s’éveil ! ». Paris d’désenchanté !.

     

    Bon dieu Paris qui bouge, qui vibre encore d’épistolaires sursauts, de légendes, toi aussi prisonnièr de la finance, te voilà rabougri, qui cherche un nouveau souffle.

    Paris n’est pas le centre du monde, il reste notre univers.